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Poeme : L E T E M P S D ’ A I M E R.



L E T E M P S D ’ A I M E R.

Tu ne seras ni du passé, ni du futur, mais bien de ce temps présent.
Oui, ensemble nous conjuguerons notre futur simple,
Nous unirons l’ imparfait de notre passé antérieur
Pour en retirer le plus-que-parfait.
Car t’aimer à l’infinitif, ce n’est pas passer simplement dans ton cœur
Mais plutôt y rester pour partager ta vie.
Je, tu, il, elle… nous, vous, ils, elles.
Au singulier comme au pluriel.

Aimer peut être un jour à l’indicatif, un autre jour au subjonctif,
Il me restera toujours impératif, car il participe à la source conditionnelle de vie
Et de joie que notre Père nous a transmise.
(Bf) Tite Bêbête

PostScriptum

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Poème en Phonétique

ty nə səʁa ni dy pase, ni dy fytyʁ, mε bjɛ̃ də sə tɑ̃ pʁezɑ̃.
ui, ɑ̃sɑ̃blə nu kɔ̃ʒyɡəʁɔ̃ nɔtʁə fytyʁ sɛ̃plə,
nuz- yniʁɔ̃ lɛ̃paʁfε də nɔtʁə pase ɑ̃teʁjœʁ
puʁ ɑ̃ ʁətiʁe lə plys kə paʁfε.
kaʁ tεme a lɛ̃finitif, sə nε pa pase sɛ̃pləmɑ̃ dɑ̃ tɔ̃ kœʁ
mε plyto i ʁεste puʁ paʁtaʒe ta vi.
ʒə, ty, il, εllə… nu, vu, il, εllə.
o sɛ̃ɡylje kɔmə o plyʁjεl.

εme pø εtʁə œ̃ ʒuʁ a lɛ̃dikatif, œ̃n- otʁə ʒuʁ o sybʒɔ̃ktif,
il mə ʁεstəʁa tuʒuʁz- ɛ̃peʁatif, kaʁ il paʁtisipə a la suʁsə kɔ̃disjɔnεllə də vi
e də ʒwa kə nɔtʁə pεʁə nuz- a tʁɑ̃smizə.