Poeme : L’amour
L’amour
La vie ne vaut rien mais rien ne vaut la vie.
Les larmes qu’on s’efforce de cacher sont toujours les plus sincères.
La jalousie ne fait de mal qu’à celui qui la ressent.
Ne pleure jamais pour un mec, le seul ki méritera tes larmes ne te fera jms pleurer
J’aimerai être une larmes pour naître dans tes yeux, vivre sur tes joues et mourir sur tes lèvres.
Tu peux empêcher la terre de tourner tu peux empêcher le soleil de briller, tu peux empêcher les oiseaux de voler, mais tu ne pourra jamais m’empêcher de taimer
À ma mort si on ouvre mon cœur, on y verra, écrit en lettre d’or, je t’aime encore.
Les gars c comme les maths, c dur à comprendre
Quand on a 1000 raisons de pleurer, il faut trouver 1001 raisons de sourire.
L’amour naît d’un regard, vit d’un baiser et meurt d’une larme
La magie du premier amour c d’ignorer qu’il puisse finir un jour.
IL ne faut pas de tout pour faire un monde : il faut du bonheur et rien d’autre.
Donner de l’amitié à quelqu’un qui veut de l’amour, c comme donner de l’eau à quelqu’un qui a faim.
Il m’a fallut une seconde pour t’aimer, il me faudra une éternité pour t’oublier
L’amour, ce n’est pas regarder l’un et l’autre, c regarder ensemble dans la même direction.
On mas toujours appris qu’un jour étais 24h, qu’un heure étais 60 minutes, mais on ne ma jamais appris qu’un minute sans toi étais l’éternité !
J’ai rêver que le feu gelait, que l’eau brûlait, mais j’ai rêver encore plus l’impossible… J’ai rêver que tu m’aimais !
Plus tu étudie, plus t’en apprends. Plus t’en apprends, plus t’en oublie. Plus t’en oublie, moins t’en sais. Alors sa sert à quoi d’étudier ? !
Sur ta tombe à ta mort sera posée trois roses. Rose pour ta naissance, blanche pour ta vie et rouge pour ta mort. Mais la rouge je la garderai toujours près de moi car jamais dans mon c½ur tu mourras.
On dit que dans un rêve tout est possible, alors laisser moi dormir… Au moins, dans mon rêve j’étais avec toi ! ! !
Le meilleur moyen de faire cesser la tentation, c’est d’y succomber.
T’aimer sans te connaître, c’est possible. Mais te connaître sans t’aimer c’est impossible.
La vie n’esT qu’une illusion que l’on rend reel
Près de toi, le temps passe très vite. Loin de toi une minute est une éternité.
Tu peux douter que les étoiles sont du feu, douter que le soleil se déplace, douter que la vérité n’est que mensonge ; mais ne doute jamais de mon amour.
Tes lèvres je ne peux les regarder sans avoir le goût de les embrasser
Aimer c’est soufrir mais ne pas aimer c’est mourir.
T’aimer c’est facile, t’avoir c’est difficile, mais t’oublier c’est impossible.
Si ce que tu veux dire est moins beau que le silence, tais-toi.
Le bac, c’est comme la lessive, on sêche et on repasse
Si les enfants devenaient ce qu’en attendent leurs parents, il n’y aurait que des dieux sur terre.
Le bonheur humain est composé de tant de pièces qu’il en manque toujours.
Ne pleure pas d’avoir perdu la lune, car les larmes empêchent de voir les étoiles
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d’eux, ils en diraient bien d’avantage.
Si un jour tu dois me quitter, laisse-moi sous la pluie pour ne pas voir couler mes larmes.
Il ne faut pas toujours tourner la page, il faut parfois la déchirer.
La vie est trop courte pour perdre son temps à la trouver ennuyeuse.
Le malheur de t’avoir perdu n’effacera jamais le bonheur de t’avoir connu.
J’aimerais être un poignard pour transpercer ton cœur et faire couler
Ton sang comme tu as fait couler mes larmes
Quand les eaux cesseront de couler, que le feu cessera de bruler et que Dieu cessera d’exister, alors je cesserai enfin de
T’aimer.
L’amour est comme le soleil : il éclaire et réchauffe, mais il peut aussi aveugler et brûler.
La beauté qui est cachée au plus profond de mon âme ne peut etre vu qu’avec les yeux du cœur.
J’oublie parfois de m’amuser, j’oublie souvent de croire a la chance, j’oublie tout le temps de dire ce que je pense… mais
Jamais je n’oublierai de te dire que je t’aime
J’ai tout sauf toi, donc je n’ai rien car tu es tout pour moi.
Si tu te lèves avec l’envie d’aller à l’école recouche toi ça va passer.
La magie du premier amour c d’ignorer qu’il puisse finir un jour.
1 de perdus 10 de retrouvés mais y en aura-t-il un comme le premier ?
La vie est simple ; c’est le monde qui la complique.
Ton cœur m’a choisi, tes yeux me l’ont dit et mes lèvres ont subi !
Si tu n’as jamais pleurer c’est que tu n’as jamais aimer
Si lamour est un crime tu es ma prochaine victime
Mon cœur ne peut t’oublier, il peut cesser de battre mais jamais cesser de t’aimer.
Les larmes qu’on s’efforce de cacher sont toujours les plus sincères.
La jalousie ne fait de mal qu’à celui qui la ressent.
Ne pleure jamais pour un mec, le seul ki méritera tes larmes ne te fera jms pleurer
J’aimerai être une larmes pour naître dans tes yeux, vivre sur tes joues et mourir sur tes lèvres.
Tu peux empêcher la terre de tourner tu peux empêcher le soleil de briller, tu peux empêcher les oiseaux de voler, mais tu ne pourra jamais m’empêcher de taimer
À ma mort si on ouvre mon cœur, on y verra, écrit en lettre d’or, je t’aime encore.
Les gars c comme les maths, c dur à comprendre
Quand on a 1000 raisons de pleurer, il faut trouver 1001 raisons de sourire.
L’amour naît d’un regard, vit d’un baiser et meurt d’une larme
La magie du premier amour c d’ignorer qu’il puisse finir un jour.
IL ne faut pas de tout pour faire un monde : il faut du bonheur et rien d’autre.
Donner de l’amitié à quelqu’un qui veut de l’amour, c comme donner de l’eau à quelqu’un qui a faim.
Il m’a fallut une seconde pour t’aimer, il me faudra une éternité pour t’oublier
L’amour, ce n’est pas regarder l’un et l’autre, c regarder ensemble dans la même direction.
On mas toujours appris qu’un jour étais 24h, qu’un heure étais 60 minutes, mais on ne ma jamais appris qu’un minute sans toi étais l’éternité !
J’ai rêver que le feu gelait, que l’eau brûlait, mais j’ai rêver encore plus l’impossible… J’ai rêver que tu m’aimais !
Plus tu étudie, plus t’en apprends. Plus t’en apprends, plus t’en oublie. Plus t’en oublie, moins t’en sais. Alors sa sert à quoi d’étudier ? !
Sur ta tombe à ta mort sera posée trois roses. Rose pour ta naissance, blanche pour ta vie et rouge pour ta mort. Mais la rouge je la garderai toujours près de moi car jamais dans mon c½ur tu mourras.
On dit que dans un rêve tout est possible, alors laisser moi dormir… Au moins, dans mon rêve j’étais avec toi ! ! !
Le meilleur moyen de faire cesser la tentation, c’est d’y succomber.
T’aimer sans te connaître, c’est possible. Mais te connaître sans t’aimer c’est impossible.
La vie n’esT qu’une illusion que l’on rend reel
Près de toi, le temps passe très vite. Loin de toi une minute est une éternité.
Tu peux douter que les étoiles sont du feu, douter que le soleil se déplace, douter que la vérité n’est que mensonge ; mais ne doute jamais de mon amour.
Tes lèvres je ne peux les regarder sans avoir le goût de les embrasser
Aimer c’est soufrir mais ne pas aimer c’est mourir.
T’aimer c’est facile, t’avoir c’est difficile, mais t’oublier c’est impossible.
Si ce que tu veux dire est moins beau que le silence, tais-toi.
Le bac, c’est comme la lessive, on sêche et on repasse
Si les enfants devenaient ce qu’en attendent leurs parents, il n’y aurait que des dieux sur terre.
Le bonheur humain est composé de tant de pièces qu’il en manque toujours.
Ne pleure pas d’avoir perdu la lune, car les larmes empêchent de voir les étoiles
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d’eux, ils en diraient bien d’avantage.
Si un jour tu dois me quitter, laisse-moi sous la pluie pour ne pas voir couler mes larmes.
Il ne faut pas toujours tourner la page, il faut parfois la déchirer.
La vie est trop courte pour perdre son temps à la trouver ennuyeuse.
Le malheur de t’avoir perdu n’effacera jamais le bonheur de t’avoir connu.
J’aimerais être un poignard pour transpercer ton cœur et faire couler
Ton sang comme tu as fait couler mes larmes
Quand les eaux cesseront de couler, que le feu cessera de bruler et que Dieu cessera d’exister, alors je cesserai enfin de
T’aimer.
L’amour est comme le soleil : il éclaire et réchauffe, mais il peut aussi aveugler et brûler.
La beauté qui est cachée au plus profond de mon âme ne peut etre vu qu’avec les yeux du cœur.
J’oublie parfois de m’amuser, j’oublie souvent de croire a la chance, j’oublie tout le temps de dire ce que je pense… mais
Jamais je n’oublierai de te dire que je t’aime
J’ai tout sauf toi, donc je n’ai rien car tu es tout pour moi.
Si tu te lèves avec l’envie d’aller à l’école recouche toi ça va passer.
La magie du premier amour c d’ignorer qu’il puisse finir un jour.
1 de perdus 10 de retrouvés mais y en aura-t-il un comme le premier ?
La vie est simple ; c’est le monde qui la complique.
Ton cœur m’a choisi, tes yeux me l’ont dit et mes lèvres ont subi !
Si tu n’as jamais pleurer c’est que tu n’as jamais aimer
Si lamour est un crime tu es ma prochaine victime
Mon cœur ne peut t’oublier, il peut cesser de battre mais jamais cesser de t’aimer.
Titi_14837
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Poème en Phonétique
la vi nə vo ʁjɛ̃ mε ʁjɛ̃ nə vo la vi.
lε laʁmə- kɔ̃ sefɔʁsə də kaʃe sɔ̃ tuʒuʁ lε plys sɛ̃sεʁə.
la ʒaluzi nə fε də mal ka səlɥi ki la ʁəse.
nə plœʁə ʒamε puʁ œ̃ mεk, lə səl ki meʁitəʁa tε laʁmə- nə tə fəʁa ʒi εm εs pləʁe
ʒεməʁε εtʁə ynə laʁmə- puʁ nεtʁə dɑ̃ tεz- iø, vivʁə syʁ tε ʒuz- e muʁiʁ syʁ tε lεvʁə.
ty pøz- ɑ̃pεʃe la teʁə də tuʁne ty pøz- ɑ̃pεʃe lə sɔlεj də bʁije, ty pøz- ɑ̃pεʃe lεz- wazo də vɔle, mε ty nə puʁʁa ʒamε mɑ̃pεʃe də tεme
a ma mɔʁ si ɔ̃n- uvʁə mɔ̃ kœʁ, ɔ̃n- i veʁa, ekʁi ɑ̃ lεtʁə dɔʁ, ʒə tεmə ɑ̃kɔʁə.
lε ɡaʁ se kɔmə lε mat, se dyʁ a kɔ̃pʁɑ̃dʁə
kɑ̃t- ɔ̃n- a milə ʁεzɔ̃ də pləʁe, il fo tʁuve milə œ̃ ʁεzɔ̃ də suʁiʁə.
lamuʁ nε dœ̃ ʁəɡaʁ, vit dœ̃ bεze e məʁ dynə laʁmə
la maʒi dy pʁəmje amuʁ se diɲɔʁe kil pɥisə finiʁ œ̃ ʒuʁ.
il nə fo pa də tu puʁ fεʁə œ̃ mɔ̃də : il fo dy bɔnœʁ e ʁjɛ̃ dotʁə.
dɔne də lamitje a kεlkœ̃ ki vø də lamuʁ, se kɔmə dɔne də lo a kεlkœ̃ ki a fɛ̃.
il ma faly ynə səɡɔ̃də puʁ tεme, il mə fodʁa ynə etεʁnite puʁ tublje
lamuʁ, sə nε pa ʁəɡaʁde lœ̃n- e lotʁə, se ʁəɡaʁde ɑ̃sɑ̃blə dɑ̃ la mεmə diʁεksjɔ̃.
ɔ̃ mas tuʒuʁz- apʁi kœ̃ ʒuʁ etε vɛ̃t- katʁə aʃ, kœ̃n- œʁ etε swasɑ̃tə minytə, mεz- ɔ̃ nə ma ʒamεz- apʁi kœ̃ minytə sɑ̃ twa etε letεʁnite !
ʒε ʁεve kə lə fø ʒəlε, kə lo bʁylε, mε ʒε ʁεve ɑ̃kɔʁə plys lɛ̃pɔsiblə… ʒε ʁεve kə ty mεmε !
plys ty etydi, plys tɑ̃n- apʁɑ̃. plys tɑ̃n- apʁɑ̃, plys tɑ̃n- ubli. plys tɑ̃n- ubli, mwɛ̃ tɑ̃ sε. alɔʁ sa sεʁ a kwa detydje ? !
syʁ ta tɔ̃bə a ta mɔʁ səʁa poze tʁwa ʁozə. ʁozə puʁ ta nεsɑ̃sə, blɑ̃ʃə puʁ ta vi e ʁuʒə puʁ ta mɔʁ. mε la ʁuʒə ʒə la ɡaʁdəʁε tuʒuʁ pʁε də mwa kaʁ ʒamε dɑ̃ mɔ̃ se œ̃ dəmi yʁ ty muʁʁa.
ɔ̃ di kə dɑ̃z- œ̃ ʁεvə tut- ε pɔsiblə, alɔʁ lεse mwa dɔʁmiʁ… o mwɛ̃, dɑ̃ mɔ̃ ʁεvə ʒetεz- avεk twa ! ! !
lə mεjœʁ mwajɛ̃ də fεʁə sese la tɑ̃tasjɔ̃, sε di sykɔ̃be.
tεme sɑ̃ tə kɔnεtʁə, sε pɔsiblə. mε tə kɔnεtʁə sɑ̃ tεme sεt- ɛ̃pɔsiblə.
la vi nε kynə ilyzjɔ̃ kə lɔ̃ ʁɑ̃ ʁil
pʁε də twa, lə tɑ̃ pasə tʁε vitə. lwɛ̃ də twa ynə minytə εt- ynə etεʁnite.
ty pø dute kə lεz- etwalə sɔ̃ dy fø, dute kə lə sɔlεj sə deplasə, dute kə la veʁite nε kə mɑ̃sɔ̃ʒə, mε nə dutə ʒamε də mɔ̃n- amuʁ.
tε lεvʁə- ʒə nə pø lε ʁəɡaʁde sɑ̃z- avwaʁ lə ɡu də lεz- ɑ̃bʁase
εme sε sufʁiʁ mε nə pa εme sε muʁiʁ.
tεme sε fasilə, tavwaʁ sε difisilə, mε tublje sεt- ɛ̃pɔsiblə.
si sə kə ty vø diʁə ε mwɛ̃ bo kə lə silɑ̃sə, tε twa.
lə bak, sε kɔmə la lesivə, ɔ̃ sεʃə e ɔ̃ ʁəpasə
si lεz- ɑ̃fɑ̃ dəvənε sə kɑ̃n- atɑ̃de lœʁ paʁɑ̃, il ni oʁε kə dε djø syʁ teʁə.
lə bɔnœʁ ymɛ̃ ε kɔ̃poze də tɑ̃ də pjεsə kil ɑ̃ mɑ̃kə tuʒuʁ.
nə plœʁə pa davwaʁ pεʁdy la lynə, kaʁ lε laʁməz- ɑ̃pεʃe də vwaʁ lεz- etwalə
si sø ki dize dy mal də mwa savε εɡzaktəmɑ̃ sə kə ʒə pɑ̃sə dø, ilz- ɑ̃ diʁε bjɛ̃ davɑ̃taʒə.
si œ̃ ʒuʁ ty dwa mə kite, lεsə mwa su la plɥi puʁ nə pa vwaʁ kule mε laʁmə.
il nə fo pa tuʒuʁ tuʁne la paʒə, il fo paʁfwa la deʃiʁe.
la vi ε tʁo kuʁtə puʁ pεʁdʁə sɔ̃ tɑ̃z- a la tʁuve ɑ̃nyiøzə.
lə malœʁ də tavwaʁ pεʁdy nefasəʁa ʒamε lə bɔnœʁ də tavwaʁ kɔny.
ʒεməʁεz- εtʁə œ̃ pwaɲaʁ puʁ tʁɑ̃spεʁse tɔ̃ kœʁ e fεʁə kule
tɔ̃ sɑ̃ kɔmə ty a fε kule mε laʁmə
kɑ̃ lεz- o sesəʁɔ̃ də kule, kə lə fø sesəʁa də bʁyle e kə djø sesəʁa dεɡziste, alɔʁ ʒə sesəʁε ɑ̃fɛ̃ də
tεme.
lamuʁ ε kɔmə lə sɔlεj : il eklεʁə e ʁeʃofə, mεz- il pø osi avøɡle e bʁyle.
la bote ki ε kaʃe o plys pʁɔfɔ̃ də mɔ̃n- amə nə pø εtʁə vy kavεk lεz- iø dy kœʁ.
ʒubli paʁfwa də mamyze, ʒubli suvɑ̃ də kʁwaʁə a la ʃɑ̃sə, ʒubli tu lə tɑ̃ də diʁə sə kə ʒə pɑ̃sə… mε
ʒamε ʒə nubljəʁε də tə diʁə kə ʒə tεmə
ʒε tu sof twa, dɔ̃k ʒə nε ʁjɛ̃ kaʁ ty ε tu puʁ mwa.
si ty tə lεvəz- avεk lɑ̃vi dale a lekɔlə ʁəkuʃə twa sa va pase.
la maʒi dy pʁəmje amuʁ se diɲɔʁe kil pɥisə finiʁ œ̃ ʒuʁ.
œ̃ də pεʁdys di- də ʁətʁuve mεz- i ɑ̃n- oʁa til œ̃ kɔmə lə pʁəmje ?
la vi ε sɛ̃plə, sε lə mɔ̃də ki la kɔ̃plikə.
tɔ̃ kœʁ ma ʃwazi, tεz- iø mə lɔ̃ di e mε lεvʁəz- ɔ̃ sybi !
si ty na ʒamε pləʁe sε kə ty na ʒamεz- εme
si lamuʁ εt- œ̃ kʁimə ty ε ma pʁoʃεnə viktimə
mɔ̃ kœʁ nə pø tublje, il pø sese də batʁə mε ʒamε sese də tεme.
lε laʁmə- kɔ̃ sefɔʁsə də kaʃe sɔ̃ tuʒuʁ lε plys sɛ̃sεʁə.
la ʒaluzi nə fε də mal ka səlɥi ki la ʁəse.
nə plœʁə ʒamε puʁ œ̃ mεk, lə səl ki meʁitəʁa tε laʁmə- nə tə fəʁa ʒi εm εs pləʁe
ʒεməʁε εtʁə ynə laʁmə- puʁ nεtʁə dɑ̃ tεz- iø, vivʁə syʁ tε ʒuz- e muʁiʁ syʁ tε lεvʁə.
ty pøz- ɑ̃pεʃe la teʁə də tuʁne ty pøz- ɑ̃pεʃe lə sɔlεj də bʁije, ty pøz- ɑ̃pεʃe lεz- wazo də vɔle, mε ty nə puʁʁa ʒamε mɑ̃pεʃe də tεme
a ma mɔʁ si ɔ̃n- uvʁə mɔ̃ kœʁ, ɔ̃n- i veʁa, ekʁi ɑ̃ lεtʁə dɔʁ, ʒə tεmə ɑ̃kɔʁə.
lε ɡaʁ se kɔmə lε mat, se dyʁ a kɔ̃pʁɑ̃dʁə
kɑ̃t- ɔ̃n- a milə ʁεzɔ̃ də pləʁe, il fo tʁuve milə œ̃ ʁεzɔ̃ də suʁiʁə.
lamuʁ nε dœ̃ ʁəɡaʁ, vit dœ̃ bεze e məʁ dynə laʁmə
la maʒi dy pʁəmje amuʁ se diɲɔʁe kil pɥisə finiʁ œ̃ ʒuʁ.
il nə fo pa də tu puʁ fεʁə œ̃ mɔ̃də : il fo dy bɔnœʁ e ʁjɛ̃ dotʁə.
dɔne də lamitje a kεlkœ̃ ki vø də lamuʁ, se kɔmə dɔne də lo a kεlkœ̃ ki a fɛ̃.
il ma faly ynə səɡɔ̃də puʁ tεme, il mə fodʁa ynə etεʁnite puʁ tublje
lamuʁ, sə nε pa ʁəɡaʁde lœ̃n- e lotʁə, se ʁəɡaʁde ɑ̃sɑ̃blə dɑ̃ la mεmə diʁεksjɔ̃.
ɔ̃ mas tuʒuʁz- apʁi kœ̃ ʒuʁ etε vɛ̃t- katʁə aʃ, kœ̃n- œʁ etε swasɑ̃tə minytə, mεz- ɔ̃ nə ma ʒamεz- apʁi kœ̃ minytə sɑ̃ twa etε letεʁnite !
ʒε ʁεve kə lə fø ʒəlε, kə lo bʁylε, mε ʒε ʁεve ɑ̃kɔʁə plys lɛ̃pɔsiblə… ʒε ʁεve kə ty mεmε !
plys ty etydi, plys tɑ̃n- apʁɑ̃. plys tɑ̃n- apʁɑ̃, plys tɑ̃n- ubli. plys tɑ̃n- ubli, mwɛ̃ tɑ̃ sε. alɔʁ sa sεʁ a kwa detydje ? !
syʁ ta tɔ̃bə a ta mɔʁ səʁa poze tʁwa ʁozə. ʁozə puʁ ta nεsɑ̃sə, blɑ̃ʃə puʁ ta vi e ʁuʒə puʁ ta mɔʁ. mε la ʁuʒə ʒə la ɡaʁdəʁε tuʒuʁ pʁε də mwa kaʁ ʒamε dɑ̃ mɔ̃ se œ̃ dəmi yʁ ty muʁʁa.
ɔ̃ di kə dɑ̃z- œ̃ ʁεvə tut- ε pɔsiblə, alɔʁ lεse mwa dɔʁmiʁ… o mwɛ̃, dɑ̃ mɔ̃ ʁεvə ʒetεz- avεk twa ! ! !
lə mεjœʁ mwajɛ̃ də fεʁə sese la tɑ̃tasjɔ̃, sε di sykɔ̃be.
tεme sɑ̃ tə kɔnεtʁə, sε pɔsiblə. mε tə kɔnεtʁə sɑ̃ tεme sεt- ɛ̃pɔsiblə.
la vi nε kynə ilyzjɔ̃ kə lɔ̃ ʁɑ̃ ʁil
pʁε də twa, lə tɑ̃ pasə tʁε vitə. lwɛ̃ də twa ynə minytə εt- ynə etεʁnite.
ty pø dute kə lεz- etwalə sɔ̃ dy fø, dute kə lə sɔlεj sə deplasə, dute kə la veʁite nε kə mɑ̃sɔ̃ʒə, mε nə dutə ʒamε də mɔ̃n- amuʁ.
tε lεvʁə- ʒə nə pø lε ʁəɡaʁde sɑ̃z- avwaʁ lə ɡu də lεz- ɑ̃bʁase
εme sε sufʁiʁ mε nə pa εme sε muʁiʁ.
tεme sε fasilə, tavwaʁ sε difisilə, mε tublje sεt- ɛ̃pɔsiblə.
si sə kə ty vø diʁə ε mwɛ̃ bo kə lə silɑ̃sə, tε twa.
lə bak, sε kɔmə la lesivə, ɔ̃ sεʃə e ɔ̃ ʁəpasə
si lεz- ɑ̃fɑ̃ dəvənε sə kɑ̃n- atɑ̃de lœʁ paʁɑ̃, il ni oʁε kə dε djø syʁ teʁə.
lə bɔnœʁ ymɛ̃ ε kɔ̃poze də tɑ̃ də pjεsə kil ɑ̃ mɑ̃kə tuʒuʁ.
nə plœʁə pa davwaʁ pεʁdy la lynə, kaʁ lε laʁməz- ɑ̃pεʃe də vwaʁ lεz- etwalə
si sø ki dize dy mal də mwa savε εɡzaktəmɑ̃ sə kə ʒə pɑ̃sə dø, ilz- ɑ̃ diʁε bjɛ̃ davɑ̃taʒə.
si œ̃ ʒuʁ ty dwa mə kite, lεsə mwa su la plɥi puʁ nə pa vwaʁ kule mε laʁmə.
il nə fo pa tuʒuʁ tuʁne la paʒə, il fo paʁfwa la deʃiʁe.
la vi ε tʁo kuʁtə puʁ pεʁdʁə sɔ̃ tɑ̃z- a la tʁuve ɑ̃nyiøzə.
lə malœʁ də tavwaʁ pεʁdy nefasəʁa ʒamε lə bɔnœʁ də tavwaʁ kɔny.
ʒεməʁεz- εtʁə œ̃ pwaɲaʁ puʁ tʁɑ̃spεʁse tɔ̃ kœʁ e fεʁə kule
tɔ̃ sɑ̃ kɔmə ty a fε kule mε laʁmə
kɑ̃ lεz- o sesəʁɔ̃ də kule, kə lə fø sesəʁa də bʁyle e kə djø sesəʁa dεɡziste, alɔʁ ʒə sesəʁε ɑ̃fɛ̃ də
tεme.
lamuʁ ε kɔmə lə sɔlεj : il eklεʁə e ʁeʃofə, mεz- il pø osi avøɡle e bʁyle.
la bote ki ε kaʃe o plys pʁɔfɔ̃ də mɔ̃n- amə nə pø εtʁə vy kavεk lεz- iø dy kœʁ.
ʒubli paʁfwa də mamyze, ʒubli suvɑ̃ də kʁwaʁə a la ʃɑ̃sə, ʒubli tu lə tɑ̃ də diʁə sə kə ʒə pɑ̃sə… mε
ʒamε ʒə nubljəʁε də tə diʁə kə ʒə tεmə
ʒε tu sof twa, dɔ̃k ʒə nε ʁjɛ̃ kaʁ ty ε tu puʁ mwa.
si ty tə lεvəz- avεk lɑ̃vi dale a lekɔlə ʁəkuʃə twa sa va pase.
la maʒi dy pʁəmje amuʁ se diɲɔʁe kil pɥisə finiʁ œ̃ ʒuʁ.
œ̃ də pεʁdys di- də ʁətʁuve mεz- i ɑ̃n- oʁa til œ̃ kɔmə lə pʁəmje ?
la vi ε sɛ̃plə, sε lə mɔ̃də ki la kɔ̃plikə.
tɔ̃ kœʁ ma ʃwazi, tεz- iø mə lɔ̃ di e mε lεvʁəz- ɔ̃ sybi !
si ty na ʒamε pləʁe sε kə ty na ʒamεz- εme
si lamuʁ εt- œ̃ kʁimə ty ε ma pʁoʃεnə viktimə
mɔ̃ kœʁ nə pø tublje, il pø sese də batʁə mε ʒamε sese də tεme.