Poeme : A L’ancienne…

A l’ancienne… j’ai visité les siècles,
Rois, reines, majestueux ; habits royaux,
Robes somptueuses, tout le monde
Magnifiquement bien vêtu.

Pouvoir d’un grand chevalier, la cavalerie
Est en-avant ; beau langage articulé, les mots
Pointus, le théâtre ; à sa place, molière,
Jean-baptiste ; triste parfois, savait cela.

Les domestiques, traitant ; n’ont pas voulu
Quitter leur maître. Les secrèts quasi tous
Dans les ténèbres ; sont privés la plupart
Des gens.

L’épée à la main, à la guerre ;
Le combattant innocent court
Toujours à sa merci.

Modestes jeunes femmes, courtisées de
Poésies et de poémes ; étaient folles d’amour,
Pourtant certains choix ne furent pas du tout
Acceptés ; alors les suicides causaient
L’aboutissement de tout cela.

C’était l’époque des principes et de règles,
Tous le savaient ; tous se cachaient, le mon
Seigneur à l’appel, le sévère jugement de la
Corde ; villageois, perpetuels terrifiés, n’osent
Guère le dire ; le châtiment a été exécuté.

Tou-fu

a lɑ̃sjεnə… ʒε vizite lε sjεklə,
ʁwa, ʁεnə, maʒεstɥø, abi ʁwajo,
ʁɔbə sɔ̃ptɥøzə, tu lə mɔ̃də
maɲifikəmɑ̃ bjɛ̃ vεty.

puvwaʁ dœ̃ ɡʁɑ̃ ʃəvalje, la kavaləʁi
εt- ɑ̃n- avɑ̃, bo lɑ̃ɡaʒə aʁtikyle, lε mo
pwɛ̃tys, lə teatʁə, a sa plasə, mɔljεʁə,
ʒɑ̃ batistə, tʁistə paʁfwa, savε səla.

lε dɔmεstik, tʁεtɑ̃, nɔ̃ pa vuly
kite lœʁ mεtʁə. lε sεkʁε kazi tus
dɑ̃ lε tenεbʁə, sɔ̃ pʁive la plypaʁ
dε ʒɑ̃.

lepe a la mɛ̃, a la ɡeʁə,
lə kɔ̃batɑ̃ inɔse kuʁ
tuʒuʁz- a sa mεʁsi.

mɔdεstə ʒənə famə, kuʁtize də
pɔeziz- e də pɔemə, etε fɔlə damuʁ,
puʁtɑ̃ sεʁtɛ̃ ʃwa nə fyʁe pa dy tu
aksεpte, alɔʁ lε sɥisidə kozε
labutisəmɑ̃ də tu səla.

setε lepɔkə dε pʁɛ̃sipəz- e də ʁεɡlə,
tus lə savε, tus sə kaʃε, lə mɔ̃
sεɲœʁ a lapεl, lə sevεʁə ʒyʒəmɑ̃ də la
kɔʁdə, vilaʒwa, pεʁpətɥεl teʁifje, noze
ɡεʁə lə diʁə, lə ʃatime a ete εɡzekyte.

tu fy