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Poeme : Pour Anthony !



Pour Anthony !

La première fois qu’elle m’a parlée de toi,
Elle révait déjà.
Parfois elle me disait qu’elle tenait à toi.
Je la croyais
Car elle pensait toujours qu’à toi…

Un jour, elle arriva devant moi,
Éffondrée, pleine de désarroi.
Je la pris dans mes bras,
Elle m’expliqua.

Tu venais de lui dire que vous étiee que des amis…
Elle souffrait, pleurait à l’infini.
Après, elle en parlait toujours
De ce sentiment qu’elle te dédiait : l’amour…

Elle semblait allez mieux.
Un matin, mon téléphone sonna, des larmes coulaient de mes yeux.
Elle criait, m’appelait…

Arrivée chez elle, je l’ai retrouvée allongée,
J’ai regardée son poignet avec tous ce sang qui coulé.
J’ai vu tes initailes de gravées.
Je t’es détestée car tu la tuée de t’avoir trop aimée…
Et à moi tu m’as enlevée ma plus forte amitié.
Vaness

PostScriptum

mes pensées. . .


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Poème en Phonétique

la pʁəmjεʁə fwa kεllə ma paʁle də twa,
εllə ʁevε deʒa.
paʁfwaz- εllə mə dizε kεllə tənε a twa.
ʒə la kʁwajε
kaʁ εllə pɑ̃sε tuʒuʁ ka twa…

œ̃ ʒuʁ, εllə aʁiva dəvɑ̃ mwa,
efɔ̃dʁe, plεnə də dezaʁwa.
ʒə la pʁi dɑ̃ mε bʁa,
εllə mεksplika.

ty vənε də lɥi diʁə kə vuz- etji kə dεz- ami…
εllə sufʁε, pləʁε a lɛ̃fini.
apʁε, εllə ɑ̃ paʁlε tuʒuʁ
də sə sɑ̃timɑ̃ kεllə tə dedjε : lamuʁ…

εllə sɑ̃blε ale mjø.
œ̃ matɛ̃, mɔ̃ telefɔnə sɔna, dε laʁmə- kulε də mεz- iø.
εllə kʁjε, mapəlε…

aʁive ʃez- εllə, ʒə lε ʁətʁuve alɔ̃ʒe,
ʒε ʁəɡaʁde sɔ̃ pwaɲε avεk tus sə sɑ̃ ki kule.
ʒε vy tεz- initεlə də ɡʁave.
ʒə tε detεste kaʁ ty la tye də tavwaʁ tʁo εme…
e a mwa ty ma ɑ̃ləve ma plys fɔʁtə amitje.