Poeme : Toi Et Moi ? ? ? ? ? ?
Toi Et Moi ? ? ? ? ? ?
Il y a quatre mois environ, on était encore amis.
Je me rapelle de nos fous rire à l’infini.
Mais l’été est arrivé, nos sentiments ont évolués.
Pourquoi as-tu fais sa ? ?
Le soir ont pouvaient parlés pendant des heures,
Parfois de nos histoires de cœurs.
Tu m’as avoué tes sentiments, et moi j’ai commencé
À t’aimer puis à me sacrifier.
Tu m’as fais réver, mais à la rentrée…
Tu as fais preuve de lacheté !
Tu m’as refusée pour conserver ta meilleure amitier.
Cette amitier on l’avais en commun et toi tu as tous tué.
Ton meilleur ami était celui que j’ai aimé pendant 2ans,
Et toi en 2 mois tu m’as fais perdre tous mes sentiments.
Je les laissée pour toi, toi tu m’as laissée pour lui !
Aujourd’hui, il le sait mais il n’est pas rancunier.
Tu lui as fais du mal, tu m’as fais du mal et aujourd’hui
C’est toi qui souffre dans cette maudite vie.
Tu as crus que jouer avec les sentiments était un jeu d’enfant
Mais nan ! ! ! ! !
Tu me fais toujours souffrir car je t’aime à en mourrir.
Tu fais souffrir ton meilleur ami et pour en finir
Tu continu de vivre !
Tu as fais preuve de lacheté, de fierté mais pas d’amitier…
Je me rapelle de nos fous rire à l’infini.
Mais l’été est arrivé, nos sentiments ont évolués.
Pourquoi as-tu fais sa ? ?
Le soir ont pouvaient parlés pendant des heures,
Parfois de nos histoires de cœurs.
Tu m’as avoué tes sentiments, et moi j’ai commencé
À t’aimer puis à me sacrifier.
Tu m’as fais réver, mais à la rentrée…
Tu as fais preuve de lacheté !
Tu m’as refusée pour conserver ta meilleure amitier.
Cette amitier on l’avais en commun et toi tu as tous tué.
Ton meilleur ami était celui que j’ai aimé pendant 2ans,
Et toi en 2 mois tu m’as fais perdre tous mes sentiments.
Je les laissée pour toi, toi tu m’as laissée pour lui !
Aujourd’hui, il le sait mais il n’est pas rancunier.
Tu lui as fais du mal, tu m’as fais du mal et aujourd’hui
C’est toi qui souffre dans cette maudite vie.
Tu as crus que jouer avec les sentiments était un jeu d’enfant
Mais nan ! ! ! ! !
Tu me fais toujours souffrir car je t’aime à en mourrir.
Tu fais souffrir ton meilleur ami et pour en finir
Tu continu de vivre !
Tu as fais preuve de lacheté, de fierté mais pas d’amitier…
Vaness
Pour mettre un commentaire
Poème en Phonétique
il i a katʁə mwaz- ɑ̃viʁɔ̃, ɔ̃n- etε ɑ̃kɔʁə ami.
ʒə mə ʁapεllə də no fus ʁiʁə a lɛ̃fini.
mε lete εt- aʁive, no sɑ̃timɑ̃z- ɔ̃ evɔlye.
puʁkwa a ty fε sa ? ?
lə swaʁ ɔ̃ puvε paʁle pɑ̃dɑ̃ dεz- œʁ,
paʁfwa də no istwaʁə də kœʁ.
ty ma avue tε sɑ̃timɑ̃, e mwa ʒε kɔmɑ̃se
a tεme pɥiz- a mə sakʁifje.
ty ma fε ʁeve, mεz- a la ʁɑ̃tʁe…
ty a fε pʁəvə də laʃəte !
ty ma ʁəfyze puʁ kɔ̃sεʁve ta mεjəʁə amitje.
sεtə amitje ɔ̃ lavεz- ɑ̃ kɔmœ̃ e twa ty a tus tye.
tɔ̃ mεjœʁ ami etε səlɥi kə ʒε εme pɑ̃dɑ̃ døz- ɑ̃,
e twa ɑ̃ dø mwa ty ma fε pεʁdʁə tus mε sɑ̃timɑ̃.
ʒə lε lεse puʁ twa, twa ty ma lεse puʁ lɥi !
oʒuʁdɥi, il lə sε mεz- il nε pa ʁɑ̃kynje.
ty lɥi a fε dy mal, ty ma fε dy mal e oʒuʁdɥi
sε twa ki sufʁə dɑ̃ sεtə moditə vi.
ty a kʁys kə ʒue avεk lε sɑ̃timɑ̃z- etε œ̃ ʒø dɑ̃fɑ̃
mε nɑ̃ ! ! !
ty mə fε tuʒuʁ sufʁiʁ kaʁ ʒə tεmə a ɑ̃ muʁʁiʁ.
ty fε sufʁiʁ tɔ̃ mεjœʁ ami e puʁ ɑ̃ finiʁ
ty kɔ̃tiny də vivʁə !
ty a fε pʁəvə də laʃəte, də fjεʁte mε pa damitje…
ʒə mə ʁapεllə də no fus ʁiʁə a lɛ̃fini.
mε lete εt- aʁive, no sɑ̃timɑ̃z- ɔ̃ evɔlye.
puʁkwa a ty fε sa ? ?
lə swaʁ ɔ̃ puvε paʁle pɑ̃dɑ̃ dεz- œʁ,
paʁfwa də no istwaʁə də kœʁ.
ty ma avue tε sɑ̃timɑ̃, e mwa ʒε kɔmɑ̃se
a tεme pɥiz- a mə sakʁifje.
ty ma fε ʁeve, mεz- a la ʁɑ̃tʁe…
ty a fε pʁəvə də laʃəte !
ty ma ʁəfyze puʁ kɔ̃sεʁve ta mεjəʁə amitje.
sεtə amitje ɔ̃ lavεz- ɑ̃ kɔmœ̃ e twa ty a tus tye.
tɔ̃ mεjœʁ ami etε səlɥi kə ʒε εme pɑ̃dɑ̃ døz- ɑ̃,
e twa ɑ̃ dø mwa ty ma fε pεʁdʁə tus mε sɑ̃timɑ̃.
ʒə lε lεse puʁ twa, twa ty ma lεse puʁ lɥi !
oʒuʁdɥi, il lə sε mεz- il nε pa ʁɑ̃kynje.
ty lɥi a fε dy mal, ty ma fε dy mal e oʒuʁdɥi
sε twa ki sufʁə dɑ̃ sεtə moditə vi.
ty a kʁys kə ʒue avεk lε sɑ̃timɑ̃z- etε œ̃ ʒø dɑ̃fɑ̃
mε nɑ̃ ! ! !
ty mə fε tuʒuʁ sufʁiʁ kaʁ ʒə tεmə a ɑ̃ muʁʁiʁ.
ty fε sufʁiʁ tɔ̃ mεjœʁ ami e puʁ ɑ̃ finiʁ
ty kɔ̃tiny də vivʁə !
ty a fε pʁəvə də laʃəte, də fjεʁte mε pa damitje…