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Poeme : Pensée



Pensée

Pensée métaphysique, que tu est prompte au mot,
Pour soulager nos vies, de ces quelques cailloux,
Que certains appellent maux.

Mais en est-il ainsi, à la vie à la mort,
Ah, triste barcarolle, variation du bonheur,
Qui profite en nos torts, en nous volant l’honneur,
De l’hystérique hiver, qui panse à notre sort.

Et ainsi l’a t’ont vu, de ces quelques virgules,
Qu’elles transforment colère, en un péché absout.

Mais ainsi va la vie, mais ainsi va la mort,
Et qui tant va au puits, il finit par tomber,
Emportant sa raison, loin des ensoleillés,
Perdant ainsi la Vie, ne gardant que son corps.

Certains Penseurs l’ont dit, et d’autres l’ont pensé,
Réfléchissons le temps, affrontons leur courroux,
Arrêtons les années !

Mais pourquoi l’est t-il donc, en cet orgueil absent ?
Pour délivrer morale, de tout cet univers ?
Restant inexploré, décrit en quelques vers.
Mais pourquoi l’est t-il donc ? Pour penser à présent ?

Restera un vivant qui se conduit en mule,
Et finira sa vie, mieux que tout être soul.
Vortex965

PostScriptum

Bonjour, désolé si ce poème est publié deux fois, mais j’avais oublié le titre la première fois, j’espère que vous allez passer, ou avez passé une agréable lecture, bonne chance !


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Poème en Phonétique

pɑ̃se metafizikə, kə ty ε pʁɔ̃ptə o mo,
puʁ sulaʒe no vi, də sε kεlk kaju,
kə sεʁtɛ̃z- apεlle mo.

mεz- ɑ̃n- εt- il ɛ̃si, a la vi a la mɔʁ,
a, tʁistə baʁkaʁɔlə, vaʁjasjɔ̃ dy bɔnœʁ,
ki pʁɔfitə ɑ̃ no tɔʁ, ɑ̃ nu vɔlɑ̃ lɔnœʁ,
də listeʁikə ivεʁ, ki pɑ̃sə a nɔtʁə sɔʁ.

e ɛ̃si la tɔ̃ vy, də sε kεlk viʁɡylə,
kεllə tʁɑ̃sfɔʁme kɔlεʁə, ɑ̃n- œ̃ peʃe absu.

mεz- ɛ̃si va la vi, mεz- ɛ̃si va la mɔʁ,
e ki tɑ̃ va o pɥi, il fini paʁ tɔ̃be,
ɑ̃pɔʁtɑ̃ sa ʁεzɔ̃, lwɛ̃ dεz- ɑ̃sɔlεje,
pεʁdɑ̃ ɛ̃si la vi, nə ɡaʁdɑ̃ kə sɔ̃ kɔʁ.

sεʁtɛ̃ pɑ̃sœʁ lɔ̃ di, e dotʁə- lɔ̃ pɑ̃se,
ʁefleʃisɔ̃ lə tɑ̃, afʁɔ̃tɔ̃ lœʁ kuʁʁu,
aʁεtɔ̃ lεz- ane !

mε puʁkwa lε te il dɔ̃k, ɑ̃ sεt ɔʁɡœj absɑ̃ ?
puʁ delivʁe mɔʁalə, də tu sεt ynive ?
ʁεstɑ̃ inεksplɔʁe, dekʁi ɑ̃ kεlk vεʁ.
mε puʁkwa lε te il dɔ̃k ? puʁ pɑ̃se a pʁezɑ̃ ?

ʁεstəʁa œ̃ vivɑ̃ ki sə kɔ̃dɥi ɑ̃ mylə,
e finiʁa sa vi, mjø kə tut- εtʁə sul.