Texte : Le Chêne Et Le Peuple

A Propos

Un état sans riche pour créer l’emploi… C’est une idée intéressante mais complétement utopique. On vit dans un monde au ressource limité, le « fort » (de par sa naissance ou son intellect) exploite toujours le « faible ». L’Homme est « avide » il lui faudra toujours plus que son prochain.
Le fait d’avoir des riches ne peut être changé, et cela même dans un état « communiste » et dans le fond, c’est pas grave.
Le VRAI problème, c’est la corruption, les nantis forment des groupes élitistes pour le maintien de leurs privilèges et empêchent en grande partie l’arrivé de nouveau talent au détriment de la société. Le gouvernement chinois ou autre devrait être le régulateur de la société et maintenir une compétition saine entre ses citoyens. Un peuple avec une vie sans espoir d’amélioration sera un jour ou l’autre berné par un groupe d’opportuniste dans une révolution contre le régime en place.

Le Chêne Et Le Peuple

Le système économique et politique est comme telle un arbre, une graine pousse à l’ombre d’un chêne autrefois majestueux et prospère, tirant sa force d’un mécontentement grandissant, il pousse et inévitablement à mesure que l’ancien dépérit, il devient grand et majestueux à son tour jusqu’à la disparition de l’ancien. Roi d’un nouveau monde, il règnera sans partage jusqu’au moment ou la corruption telle une liane l’étouffera donnant naissance à la graine du renouvellement.

Yomi Rosenoire

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Poème en Phonétique

lə sistεmə ekɔnɔmikə e pɔlitikə ε kɔmə tεllə œ̃n- aʁbʁə, ynə ɡʁεnə pusə a lɔ̃bʁə dœ̃ ʃεnə otʁəfwa maʒεstɥøz- e pʁɔspεʁə, tiʁɑ̃ sa fɔʁsə dœ̃ mekɔ̃tɑ̃təmɑ̃ ɡʁɑ̃disɑ̃, il pusə e inevitabləmɑ̃ a məzyʁə kə lɑ̃sjɛ̃ depeʁi, il dəvjɛ̃ ɡʁɑ̃t- e maʒεstɥøz- a sɔ̃ tuʁ ʒyska la dispaʁisjɔ̃ də lɑ̃sjɛ̃. ʁwa dœ̃ nuvo mɔ̃də, il ʁεɲəʁa sɑ̃ paʁtaʒə ʒysko mɔmɑ̃ u la kɔʁypsjɔ̃ tεllə ynə ljanə letufəʁa dɔnɑ̃ nεsɑ̃sə a la ɡʁεnə dy ʁənuvεllmɑ̃.