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Poeme : Fin Des Vacances



Fin Des Vacances

A chaque retour, ils ont du vague à l’ame
À chaque retour, elles versent des larmes
Pour tout le monde, c’est un drame
De quitter ces proches, et le vacarmes,
Des villes, avec voitures qui circulent et alarme ;
Des mariages, avec orchestre, chanteuse et tam-tam ;
Des enfants jouant aux voleurs et aux gendarmes.
Au dédut, les familles sont tout feu tout flamme,
Car en été, les vacances au MAROC à du charme,
Les forets, les compagnes, les plages ne sont pas calmes,
Ou les couples perdent des kilogrammes.
Les boutiques attirent les femmes,
Qui profitent des périodes de réclame,
Sans penser aux dépenses et aux programmes ;
Les cafés, les restaus, remplis ou sont servi en premier les dames,
C’est pour cela qu’à chaque retour, elle versent des larmes.
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Poème en Phonétique

a ʃakə ʁətuʁ, ilz- ɔ̃ dy vaɡ a lamə
a ʃakə ʁətuʁ, εllə vεʁse dε laʁmə
puʁ tu lə mɔ̃də, sεt- œ̃ dʁamə
də kite sε pʁoʃə, e lə vakaʁmə,
dε vilə, avεk vwatyʁə ki siʁkyle e alaʁmə,
dε maʁjaʒə, avεk ɔʁkεstʁə, ʃɑ̃tøzə e tam tam,
dεz- ɑ̃fɑ̃ ʒuɑ̃ o vɔlœʁz- e o ʒɑ̃daʁmə.
o dedy, lε famijə sɔ̃ tu fø tu flamə,
kaʁ ɑ̃n- ete, lε vakɑ̃səz- o maʁɔk a dy ʃaʁmə,
lε fɔʁε, lε kɔ̃paɲə, lε plaʒə nə sɔ̃ pa kalmə,
u lε kuplə pεʁde dε kilɔɡʁamə.
lε butikz- atiʁe lε famə,
ki pʁɔfite dε peʁjɔdə də ʁeklamə,
sɑ̃ pɑ̃se o depɑ̃səz- e o pʁɔɡʁamə,
lε kafe, lε ʁεstos, ʁɑ̃pliz- u sɔ̃ sεʁvi ɑ̃ pʁəmje lε damə,
sε puʁ səla ka ʃakə ʁətuʁ, εllə vεʁse dε laʁmə.