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Poeme : L’espoir



L’espoir

Il fût un temps où rien ne fût fait !
L’horreur planait partout.
Le brigandage était chose de tous les jours.
Les âmes parler elles n’osaient.

Puis le soleil apparu,
La chaleur revint.
L’eau bleue était devenue.
Tous se réjouirent sans penser au lendemain.

La fleur renaissait,
Son parfum doux et énivrant,
Envahissait chaque passant,
Qui, avec joie le répandait.

Tel est à chaque fois mon cœur,
A chacune de tes apparitions.
Il sait avoir trouver l’âme sœur,
Pourquoi alors, ensemble, nous ne resterions ?
Amour

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Poème en Phonétique

il fy œ̃ tɑ̃z- u ʁjɛ̃ nə fy fε !
lɔʁœʁ planε paʁtu.
lə bʁiɡɑ̃daʒə etε ʃozə də tus lε ʒuʁ.
lεz- amə paʁle εllə nozε.

pɥi lə sɔlεj apaʁy,
la ʃalœʁ ʁəvɛ̃.
lo blø etε dəvənɥ.
tus sə ʁeʒuiʁe sɑ̃ pɑ̃se o lɑ̃dəmɛ̃.

la flœʁ ʁənεsε,
sɔ̃ paʁfœ̃ duz- e enivʁɑ̃,
ɑ̃vaisε ʃakə pasɑ̃,
ki, avεk ʒwa lə ʁepɑ̃dε.

tεl εt- a ʃakə fwa mɔ̃ kœʁ,
a ʃakynə də tεz- apaʁisjɔ̃.
il sε avwaʁ tʁuve lamə sœʁ,
puʁkwa alɔʁ, ɑ̃sɑ̃blə, nu nə ʁεstəʁjɔ̃ ?