Poeme : Une Journée Pluvieuse

Il plut, il plut, il plut,
Sans arrêt, de plus en plus,
Clapotant clopi-clapa sur la fenêtre,
Je sentis le bien-être,
Que porta la pluie.
Ainsi, je suis sortie,
Moi aussi avec un parapluie et comme les autres,
Je flânai avec « lui »
Dans la rue.
Autour de moi, les couleurs des parapluies
Ayant l´air un jardin plein des fleurs,
Voici, comment épanouirent tous les coeurs…
«… Et ça me plut… »
Soudain,
Le vent souffla doucement. En raflant des gouttes de pluie,
Il dessina un parapluie
Pour garder les fleurettes, juste pour « lui »…
Il chassa les nuages et lentement, il cessa de pleuvoir.
Et au lieu de parapluies
Colorants les rues,
Il y eut une allée pleine de fleurs,
Qui dissipa ma peur,
Que la vie restât sans couleurs.
«… Excellent ! Très, très bien… Ça me plut. »

il ply, il ply, il ply,
sɑ̃z- aʁε, də plysz- ɑ̃ plys,
klapɔtɑ̃ klɔpi klapa syʁ la fənεtʁə,
ʒə sɑ̃ti lə bjɛ̃ εtʁə,
kə pɔʁta la plɥi.
ɛ̃si, ʒə sɥi sɔʁti,
mwa osi avεk œ̃ paʁaplɥi e kɔmə lεz- otʁə,
ʒə flanε avək « lɥi »
dɑ̃ la ʁy.
otuʁ də mwa, lε kulœʁ dε paʁaplɥi
εjɑ̃ lεʁ œ̃ ʒaʁdɛ̃ plɛ̃ dε flœʁ,
vwasi, kɔmɑ̃ epanuiʁe tus lε kœʁ…
«… e sa mə ply… »
sudɛ̃,
lə vɑ̃ sufla dusəmɑ̃. ɑ̃ ʁaflɑ̃ dε ɡutə də plɥi,
il desina œ̃ paʁaplɥi
puʁ ɡaʁde lε fləʁεtə, ʒystə puʁ « lɥi »…
il ʃasa lε nɥaʒəz- e lɑ̃təmɑ̃, il sesa də pləvwaʁ.
e o ljø də paʁaplɥi
kɔlɔʁɑ̃ lε ʁy,
il i y ynə ale plεnə də flœʁ,
ki disipa ma pœʁ,
kə la vi ʁεsta sɑ̃ kulœʁ.
«… εksεllɑ̃ ! tʁε, tʁε bjɛ̃… sa mə ply. »