Poeme : L’enfance De La Cadette
L’enfance De La Cadette
Tu voudrais avoir ma vie…
Moi je voudrais être avec lui.
Tu vois, on peut pas toujours avoir ce qu’on veut,
Mais t’inquiète, tu ne la voudras pas longtemps,
Tu vas voir, dans la vie on peut avoir beaucoup mieux,
Faut juste savoir le gérer, c’est ça l’important…
Moi j’ai eu quelque chose d’exceptionnelle, sincèrement,
C’est pas cher, ça forge le caractère, ça fait de nous des grands,
Des grands ? Oui. Malgré ma grandeur qui n’est pas splendide,
Et mon âge qui reste normale ; J’ai appris à ne pas être limpide.
J’ai vécu dans la cours des grands, dès que j’ai eu un gros 7 ans.
On me considèrait pas comme un bébé, mais plutot comme les autres enfants,
Si je voulais quelque chose, c’était a moi de me le procurer,
C’est pas parce que j’étais la plus jeune qu’on venait me chouchouter.
On me disait de ne pas pleurer. On me disait de ne pas chialer.
Je restais là à écouter, et si je pleurais j’étais un bébé.
Fallait jouer le jeu pour être accepter parmis tout ces gens,
Mes cousins, cousines, sœurs, et frère ! Ma famille de sang.
Alors maintenant je chiale toujours, je pleure tout le temps,
Parce que ça m’était interdit de montrer mes émotions avant,
Contente signifiait énervante, Triste signifiait en manque d’attention,
Oohhh j’ai été une petite fille tromatisée sans réponses à ses questions ! !
On me disait toujours de la fermer ! C’est pour ça que je parle toujours,
On me disait quoi faire, comment agir ! ET ce, de jour en jour,
Et je les écoutais, comme ça je parraissais bien, comme eux,
Et je les admirais car comme ça ils avaient toujours l’air heureux.
Mais mon frère a sombré dans la dope, il a du consulté,
Ça lui a pris de nombreuses semaines et années,
Et finalement il a fini par récupéré, tout ce temps gaspiller,
Ou personne ne réussissait à le supporter…
Sauf moi. Moi je le supportais parce qu’il avait l’air découragé,
Il avait besoin de quelqu’un… Alors moi je l’Écoutais parler.
Oh et c’était pareille avec mes deux autres sœurs !
Elles me racontaient tout, histoire de déchirure ou de cœur.
Mmmm je sais pas exactement ou mon poème s’en va,
Probablement comme en musique, il doit être bien, parraitre parfait,
Mais à y penser, j’en ai aucune idée, il ne l’est vraiment pas,
Tout comme moi, la perfection ne me ressemble pas, en effet.
Quand je parle avec ma mère, rien n’est jamais assez parfait à ses yeux,
Elle est sure que je réussis toute bien, elle est toujours fière de moi,
Quand je lui montre mes partitions, elle dit Oh mais c’est vraiment facile ça,
Elle est sure que je l’ai toujours du premier coup, que je joue comme un dieu.
Je dois alors me démener comme une folle, ne pas montrer mes faiblesses,
Mes envies de tout lacher, par simple idée de détresse,
Je me plonge dans toutes sortes d’activités musical,
Pour pouvoir un jour être la meilleure dans toute la salle.
Pourquoi ? Parce que mes parents me veulent comme ça.
Daphné doit être parfaite, elle doit être comme Sarah,
Ne faire aucune erreur dans ses études,
Adopter toujours et encore une bonne attitude.
Parce que petite, je promettais d’être l’enfant souhaitée,
Sachant bien qu’on ne m’avait pas vraiment désirer,
Se faisant insulter par les plus vieux,
Ayant toujours des larmes aux yeux.
Au faite, pourquoi je te raconte tout ça ?
Et puis… enfin. J’en sais vraiment rien.
L’important c’est que ça m’a faite du bien,
Ça a mis certaines choses claires en moi.
Bref… Les petites sœurs ne sont pas toujours les chouchous,
Et c’est pas vrai qu’on a toujours tout !
Moi je voudrais être avec lui.
Tu vois, on peut pas toujours avoir ce qu’on veut,
Mais t’inquiète, tu ne la voudras pas longtemps,
Tu vas voir, dans la vie on peut avoir beaucoup mieux,
Faut juste savoir le gérer, c’est ça l’important…
Moi j’ai eu quelque chose d’exceptionnelle, sincèrement,
C’est pas cher, ça forge le caractère, ça fait de nous des grands,
Des grands ? Oui. Malgré ma grandeur qui n’est pas splendide,
Et mon âge qui reste normale ; J’ai appris à ne pas être limpide.
J’ai vécu dans la cours des grands, dès que j’ai eu un gros 7 ans.
On me considèrait pas comme un bébé, mais plutot comme les autres enfants,
Si je voulais quelque chose, c’était a moi de me le procurer,
C’est pas parce que j’étais la plus jeune qu’on venait me chouchouter.
On me disait de ne pas pleurer. On me disait de ne pas chialer.
Je restais là à écouter, et si je pleurais j’étais un bébé.
Fallait jouer le jeu pour être accepter parmis tout ces gens,
Mes cousins, cousines, sœurs, et frère ! Ma famille de sang.
Alors maintenant je chiale toujours, je pleure tout le temps,
Parce que ça m’était interdit de montrer mes émotions avant,
Contente signifiait énervante, Triste signifiait en manque d’attention,
Oohhh j’ai été une petite fille tromatisée sans réponses à ses questions ! !
On me disait toujours de la fermer ! C’est pour ça que je parle toujours,
On me disait quoi faire, comment agir ! ET ce, de jour en jour,
Et je les écoutais, comme ça je parraissais bien, comme eux,
Et je les admirais car comme ça ils avaient toujours l’air heureux.
Mais mon frère a sombré dans la dope, il a du consulté,
Ça lui a pris de nombreuses semaines et années,
Et finalement il a fini par récupéré, tout ce temps gaspiller,
Ou personne ne réussissait à le supporter…
Sauf moi. Moi je le supportais parce qu’il avait l’air découragé,
Il avait besoin de quelqu’un… Alors moi je l’Écoutais parler.
Oh et c’était pareille avec mes deux autres sœurs !
Elles me racontaient tout, histoire de déchirure ou de cœur.
Mmmm je sais pas exactement ou mon poème s’en va,
Probablement comme en musique, il doit être bien, parraitre parfait,
Mais à y penser, j’en ai aucune idée, il ne l’est vraiment pas,
Tout comme moi, la perfection ne me ressemble pas, en effet.
Quand je parle avec ma mère, rien n’est jamais assez parfait à ses yeux,
Elle est sure que je réussis toute bien, elle est toujours fière de moi,
Quand je lui montre mes partitions, elle dit Oh mais c’est vraiment facile ça,
Elle est sure que je l’ai toujours du premier coup, que je joue comme un dieu.
Je dois alors me démener comme une folle, ne pas montrer mes faiblesses,
Mes envies de tout lacher, par simple idée de détresse,
Je me plonge dans toutes sortes d’activités musical,
Pour pouvoir un jour être la meilleure dans toute la salle.
Pourquoi ? Parce que mes parents me veulent comme ça.
Daphné doit être parfaite, elle doit être comme Sarah,
Ne faire aucune erreur dans ses études,
Adopter toujours et encore une bonne attitude.
Parce que petite, je promettais d’être l’enfant souhaitée,
Sachant bien qu’on ne m’avait pas vraiment désirer,
Se faisant insulter par les plus vieux,
Ayant toujours des larmes aux yeux.
Au faite, pourquoi je te raconte tout ça ?
Et puis… enfin. J’en sais vraiment rien.
L’important c’est que ça m’a faite du bien,
Ça a mis certaines choses claires en moi.
Bref… Les petites sœurs ne sont pas toujours les chouchous,
Et c’est pas vrai qu’on a toujours tout !
Daph À La Rose
PostScriptum
en fin bref… Non jsuis pas une enfant tromatisée par la vie parce que nombreux gens on vécu pire. Surtout que ma situation nest pas a pleindre. Je mange 3 repas par jours (enfin deux mais cest par volonté : P) J’ai toujours du linge a me mettre, un maison (meme deux vu le divorce) mes deux parents (jen ai meme deux de surplus ! ! ) mes 2 soeur et mon frère (sa aussi jen ai des surplus mais cette fois 4 ! ! WOow) ) Ehum et je suis la cadette de Tout au grand complet, cousin-e compris. C’est vrai que maintenant c’est quand m^me assez la joie. Ohhh mais tu aurais détester vivre dans ma peau lorsque mes soeurs et frère était a la maison ! Lorsque je passais comme souffre douleur sans émotion !
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Poème en Phonétique
ty vudʁεz- avwaʁ ma vi…
mwa ʒə vudʁεz- εtʁə avεk lɥi.
ty vwa, ɔ̃ pø pa tuʒuʁz- avwaʁ sə kɔ̃ vø,
mε tɛ̃kjεtə, ty nə la vudʁa pa lɔ̃tɑ̃,
ty va vwaʁ, dɑ̃ la vi ɔ̃ pø avwaʁ boku mjø,
fo ʒystə savwaʁ lə ʒeʁe, sε sa lɛ̃pɔʁtɑ̃…
mwa ʒε y kεlkə ʃozə dεksεpsjɔnεllə, sɛ̃sεʁəmɑ̃,
sε pa ʃεʁ, sa fɔʁʒə lə kaʁaktεʁə, sa fε də nu dε ɡʁɑ̃,
dε ɡʁɑ̃ ? ui. malɡʁe ma ɡʁɑ̃dœʁ ki nε pa splɑ̃didə,
e mɔ̃n- aʒə ki ʁεstə nɔʁmalə, ʒε apʁiz- a nə pa εtʁə lɛ̃pidə.
ʒε veky dɑ̃ la kuʁ dε ɡʁɑ̃, dε kə ʒε y œ̃ ɡʁo sεt ɑ̃.
ɔ̃ mə kɔ̃sidεʁε pa kɔmə œ̃ bebe, mε plyto kɔmə lεz- otʁəz- ɑ̃fɑ̃,
si ʒə vulε kεlkə ʃozə, setε a mwa də mə lə pʁɔkyʁe,
sε pa paʁsə kə ʒetε la plys ʒənə kɔ̃ vənε mə ʃuʃute.
ɔ̃ mə dizε də nə pa pləʁe. ɔ̃ mə dizε də nə pa ʃjale.
ʒə ʁεstε la a ekute, e si ʒə pləʁε ʒetεz- œ̃ bebe.
falε ʒue lə ʒø puʁ εtʁə aksεpte paʁmi tu sε ʒɑ̃,
mε kuzɛ̃, kuzinə, sœʁ, e fʁεʁə ! ma famijə də sɑ̃.
alɔʁ mɛ̃tənɑ̃ ʒə ʃjalə tuʒuʁ, ʒə plœʁə tu lə tɑ̃,
paʁsə kə sa metε ɛ̃tεʁdi də mɔ̃tʁe mεz- emɔsjɔ̃z- avɑ̃,
kɔ̃tɑ̃tə siɲifjε enεʁvɑ̃tə, tʁistə siɲifjε ɑ̃ mɑ̃kə datɑ̃sjɔ̃,
u aʃ aʃ aʃ ʒε ete ynə pətitə fijə tʁɔmatize sɑ̃ ʁepɔ̃səz- a sε kεstjɔ̃ ! !
ɔ̃ mə dizε tuʒuʁ də la fεʁme ! sε puʁ sa kə ʒə paʁlə tuʒuʁ,
ɔ̃ mə dizε kwa fεʁə, kɔmɑ̃ aʒiʁ ! e sə, də ʒuʁ ɑ̃ ʒuʁ,
e ʒə lεz- ekutε, kɔmə sa ʒə paʁεsε bjɛ̃, kɔmə ø,
e ʒə lεz- admiʁε kaʁ kɔmə sa ilz- avε tuʒuʁ lεʁ œʁø.
mε mɔ̃ fʁεʁə a sɔ̃bʁe dɑ̃ la dɔpə, il a dy kɔ̃sylte,
sa lɥi a pʁi də nɔ̃bʁøzə səmεnəz- e ane,
e finaləmɑ̃ il a fini paʁ ʁekypeʁe, tu sə tɑ̃ ɡaspije,
u pεʁsɔnə nə ʁeysisε a lə sypɔʁte…
sof mwa. mwa ʒə lə sypɔʁtε paʁsə kil avε lεʁ dekuʁaʒe,
il avε bəzwɛ̃ də kεlkœ̃… alɔʁ mwa ʒə lekutε paʁle.
ɔ e setε paʁεjə avεk mε døz- otʁə- sœʁ !
εllə mə ʁakɔ̃tε tu, istwaʁə də deʃiʁyʁə u də kœʁ.
εm εm εm εm ʒə sε pa εɡzaktəmɑ̃ u mɔ̃ pɔεmə sɑ̃ va,
pʁɔbabləmɑ̃ kɔmə ɑ̃ myzikə, il dwa εtʁə bjɛ̃, paʁεtʁə paʁfε,
mεz- a i pɑ̃se, ʒɑ̃n- ε okynə ide, il nə lε vʁεmɑ̃ pa,
tu kɔmə mwa, la pεʁfεksjɔ̃ nə mə ʁəsɑ̃blə pa, ɑ̃n- efε.
kɑ̃ ʒə paʁlə avεk ma mεʁə, ʁjɛ̃ nε ʒamεz- ase paʁfε a sεz- iø,
εllə ε syʁə kə ʒə ʁeysi tutə bjɛ̃, εllə ε tuʒuʁ fjεʁə də mwa,
kɑ̃ ʒə lɥi mɔ̃tʁə mε paʁtisjɔ̃, εllə di ɔ mε sε vʁεmɑ̃ fasilə sa,
εllə ε syʁə kə ʒə lε tuʒuʁ dy pʁəmje ku, kə ʒə ʒu kɔmə œ̃ djø.
ʒə dwaz- alɔʁ mə deməne kɔmə ynə fɔlə, nə pa mɔ̃tʁe mε fεblesə,
mεz- ɑ̃vi də tu laʃe, paʁ sɛ̃plə ide də detʁεsə,
ʒə mə plɔ̃ʒə dɑ̃ tutə sɔʁtə- daktivite myzikal,
puʁ puvwaʁ œ̃ ʒuʁ εtʁə la mεjəʁə dɑ̃ tutə la salə.
puʁkwa ? paʁsə kə mε paʁɑ̃ mə vəle kɔmə sa.
dafne dwa εtʁə paʁfεtə, εllə dwa εtʁə kɔmə saʁa,
nə fεʁə okynə eʁœʁ dɑ̃ sεz- etydə,
adɔpte tuʒuʁz- e ɑ̃kɔʁə ynə bɔnə atitydə.
paʁsə kə pətitə, ʒə pʁɔmεtε dεtʁə lɑ̃fɑ̃ suεte,
saʃɑ̃ bjɛ̃ kɔ̃ nə mavε pa vʁεmɑ̃ deziʁe,
sə fəzɑ̃ ɛ̃sylte paʁ lε plys vjø,
εjɑ̃ tuʒuʁ dε laʁməz- oz- iø.
o fεtə, puʁkwa ʒə tə ʁakɔ̃tə tu sa ?
e pɥi… ɑ̃fɛ̃. ʒɑ̃ sε vʁεmɑ̃ ʁjɛ̃.
lɛ̃pɔʁtɑ̃ sε kə sa ma fεtə dy bjɛ̃,
sa a mi sεʁtεnə ʃozə klεʁəz- ɑ̃ mwa.
bʁεf… lε pətitə sœʁ nə sɔ̃ pa tuʒuʁ lε ʃuʃus,
e sε pa vʁε kɔ̃n- a tuʒuʁ tu !
mwa ʒə vudʁεz- εtʁə avεk lɥi.
ty vwa, ɔ̃ pø pa tuʒuʁz- avwaʁ sə kɔ̃ vø,
mε tɛ̃kjεtə, ty nə la vudʁa pa lɔ̃tɑ̃,
ty va vwaʁ, dɑ̃ la vi ɔ̃ pø avwaʁ boku mjø,
fo ʒystə savwaʁ lə ʒeʁe, sε sa lɛ̃pɔʁtɑ̃…
mwa ʒε y kεlkə ʃozə dεksεpsjɔnεllə, sɛ̃sεʁəmɑ̃,
sε pa ʃεʁ, sa fɔʁʒə lə kaʁaktεʁə, sa fε də nu dε ɡʁɑ̃,
dε ɡʁɑ̃ ? ui. malɡʁe ma ɡʁɑ̃dœʁ ki nε pa splɑ̃didə,
e mɔ̃n- aʒə ki ʁεstə nɔʁmalə, ʒε apʁiz- a nə pa εtʁə lɛ̃pidə.
ʒε veky dɑ̃ la kuʁ dε ɡʁɑ̃, dε kə ʒε y œ̃ ɡʁo sεt ɑ̃.
ɔ̃ mə kɔ̃sidεʁε pa kɔmə œ̃ bebe, mε plyto kɔmə lεz- otʁəz- ɑ̃fɑ̃,
si ʒə vulε kεlkə ʃozə, setε a mwa də mə lə pʁɔkyʁe,
sε pa paʁsə kə ʒetε la plys ʒənə kɔ̃ vənε mə ʃuʃute.
ɔ̃ mə dizε də nə pa pləʁe. ɔ̃ mə dizε də nə pa ʃjale.
ʒə ʁεstε la a ekute, e si ʒə pləʁε ʒetεz- œ̃ bebe.
falε ʒue lə ʒø puʁ εtʁə aksεpte paʁmi tu sε ʒɑ̃,
mε kuzɛ̃, kuzinə, sœʁ, e fʁεʁə ! ma famijə də sɑ̃.
alɔʁ mɛ̃tənɑ̃ ʒə ʃjalə tuʒuʁ, ʒə plœʁə tu lə tɑ̃,
paʁsə kə sa metε ɛ̃tεʁdi də mɔ̃tʁe mεz- emɔsjɔ̃z- avɑ̃,
kɔ̃tɑ̃tə siɲifjε enεʁvɑ̃tə, tʁistə siɲifjε ɑ̃ mɑ̃kə datɑ̃sjɔ̃,
u aʃ aʃ aʃ ʒε ete ynə pətitə fijə tʁɔmatize sɑ̃ ʁepɔ̃səz- a sε kεstjɔ̃ ! !
ɔ̃ mə dizε tuʒuʁ də la fεʁme ! sε puʁ sa kə ʒə paʁlə tuʒuʁ,
ɔ̃ mə dizε kwa fεʁə, kɔmɑ̃ aʒiʁ ! e sə, də ʒuʁ ɑ̃ ʒuʁ,
e ʒə lεz- ekutε, kɔmə sa ʒə paʁεsε bjɛ̃, kɔmə ø,
e ʒə lεz- admiʁε kaʁ kɔmə sa ilz- avε tuʒuʁ lεʁ œʁø.
mε mɔ̃ fʁεʁə a sɔ̃bʁe dɑ̃ la dɔpə, il a dy kɔ̃sylte,
sa lɥi a pʁi də nɔ̃bʁøzə səmεnəz- e ane,
e finaləmɑ̃ il a fini paʁ ʁekypeʁe, tu sə tɑ̃ ɡaspije,
u pεʁsɔnə nə ʁeysisε a lə sypɔʁte…
sof mwa. mwa ʒə lə sypɔʁtε paʁsə kil avε lεʁ dekuʁaʒe,
il avε bəzwɛ̃ də kεlkœ̃… alɔʁ mwa ʒə lekutε paʁle.
ɔ e setε paʁεjə avεk mε døz- otʁə- sœʁ !
εllə mə ʁakɔ̃tε tu, istwaʁə də deʃiʁyʁə u də kœʁ.
εm εm εm εm ʒə sε pa εɡzaktəmɑ̃ u mɔ̃ pɔεmə sɑ̃ va,
pʁɔbabləmɑ̃ kɔmə ɑ̃ myzikə, il dwa εtʁə bjɛ̃, paʁεtʁə paʁfε,
mεz- a i pɑ̃se, ʒɑ̃n- ε okynə ide, il nə lε vʁεmɑ̃ pa,
tu kɔmə mwa, la pεʁfεksjɔ̃ nə mə ʁəsɑ̃blə pa, ɑ̃n- efε.
kɑ̃ ʒə paʁlə avεk ma mεʁə, ʁjɛ̃ nε ʒamεz- ase paʁfε a sεz- iø,
εllə ε syʁə kə ʒə ʁeysi tutə bjɛ̃, εllə ε tuʒuʁ fjεʁə də mwa,
kɑ̃ ʒə lɥi mɔ̃tʁə mε paʁtisjɔ̃, εllə di ɔ mε sε vʁεmɑ̃ fasilə sa,
εllə ε syʁə kə ʒə lε tuʒuʁ dy pʁəmje ku, kə ʒə ʒu kɔmə œ̃ djø.
ʒə dwaz- alɔʁ mə deməne kɔmə ynə fɔlə, nə pa mɔ̃tʁe mε fεblesə,
mεz- ɑ̃vi də tu laʃe, paʁ sɛ̃plə ide də detʁεsə,
ʒə mə plɔ̃ʒə dɑ̃ tutə sɔʁtə- daktivite myzikal,
puʁ puvwaʁ œ̃ ʒuʁ εtʁə la mεjəʁə dɑ̃ tutə la salə.
puʁkwa ? paʁsə kə mε paʁɑ̃ mə vəle kɔmə sa.
dafne dwa εtʁə paʁfεtə, εllə dwa εtʁə kɔmə saʁa,
nə fεʁə okynə eʁœʁ dɑ̃ sεz- etydə,
adɔpte tuʒuʁz- e ɑ̃kɔʁə ynə bɔnə atitydə.
paʁsə kə pətitə, ʒə pʁɔmεtε dεtʁə lɑ̃fɑ̃ suεte,
saʃɑ̃ bjɛ̃ kɔ̃ nə mavε pa vʁεmɑ̃ deziʁe,
sə fəzɑ̃ ɛ̃sylte paʁ lε plys vjø,
εjɑ̃ tuʒuʁ dε laʁməz- oz- iø.
o fεtə, puʁkwa ʒə tə ʁakɔ̃tə tu sa ?
e pɥi… ɑ̃fɛ̃. ʒɑ̃ sε vʁεmɑ̃ ʁjɛ̃.
lɛ̃pɔʁtɑ̃ sε kə sa ma fεtə dy bjɛ̃,
sa a mi sεʁtεnə ʃozə klεʁəz- ɑ̃ mwa.
bʁεf… lε pətitə sœʁ nə sɔ̃ pa tuʒuʁ lε ʃuʃus,
e sε pa vʁε kɔ̃n- a tuʒuʁ tu !