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Poeme : Pari Tenu



Pari Tenu

Pari tenu

Voilà un petit poème
Pour les nuits plutot blèmes
Ce n’est pas du Baudelaire
Disons une poesie en l’air
J’y fais rimer la mélancolie
Avec l’ennui et je lis
Dans les étoiles et les astres
Ses présages de sombres désastres
Oh ! J’ai oublié la mort,
La pluie, et quoi encore ?
Ah ! J’y suis, les larmes
Et des guerres, l’éternel vacarne
Je peux sans fin, multiplier les strophes
En égrénant les catastrophes
Mais, je crois que pour l’exemple celà suffit
Alors Jérôme, ai je gagné mon pari ?

© N. Palayret (Mai 1994)
(Septembre 2004)
Djedje Khiter

PostScriptum

Petite moquerie d’une amie sur mes poèmes (ancient datant de 1990 à 1994) , dont « Le Cauchemar » en est l’illustration à titre d’exemple pour son écrit.


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Poème en Phonétique

paʁi təny

vwala œ̃ pəti pɔεmə
puʁ lε nɥi plyto blεmə
sə nε pa dy bodəlεʁə
dizɔ̃z- ynə poəzi ɑ̃ lεʁ
ʒi fε ʁime la melɑ̃kɔli
avεk lɑ̃nɥi e ʒə li
dɑ̃ lεz- etwaləz- e lεz- astʁə
sε pʁezaʒə də sɔ̃bʁə- dezastʁə
ɔ ! ʒε ublje la mɔʁ,
la plɥi, e kwa ɑ̃kɔʁə ?
a ! ʒi sɥi, lε laʁmə
e dε ɡeʁə, letεʁnεl vakaʁnə
ʒə pø sɑ̃ fɛ̃, myltiplje lε stʁɔfə
ɑ̃n- eɡʁenɑ̃ lε katastʁɔfə
mε, ʒə kʁwa kə puʁ lεɡzɑ̃plə səla syfi
alɔʁ ʒeʁomə, ε ʒə ɡaɲe mɔ̃ paʁi ?

kɔpiʁajt εn. palεʁət (mε milə nəf sɑ̃ katʁə vɛ̃- katɔʁzə)
(sεptɑ̃bʁə dø milə katʁə)