Poeme : Repasser L’eau Donnée En Une Eau Meilleure
A Propos
Je commence par dire que je suis un peu naïf comme un enfant et qu'il faut, je pense croire les gens malgré le passé, dans ce poème je dis que le présent et le futur sont le plus important alors oui faire confiance c'est à nos risques et périls. Je dis que la tristesse seule est mauvaise mais si la tristesse nous vient pour faire bouger les choses, que le gentil ne se laisse pas déstabiliser par le méchant, que le gentil reste celui qui l'est et qu'il prie pour que le méchant n'ai plus trop de noirceur dans son cœur et bien je trouve ça merveilleux. C'est en Jésus qu'on peut espérer et avoir un monde plus rose. La mort est tout ce qui est mauvais, les péchés, la vie est tout ce que Dieu veut pour nous, Dieu veut aussi qu'on prie pour ceux qui en ont besoin. Oui pour pleurer mais n'oubliez pas vos larmes dans la prière, mettez de l'eau dans le vin dans le cœur du calomniateur. Ma gentillesse c'est de rester gentil quoiqu'il se passe et vouloir toujours le bien pour son prochain, prier pour la personne qui a des problèmes, qui dit de vilaines choses, etc. Pleurer c'est avoir de la colère contre celui qui nous a dit du mal, nous a trahis et pleurer c'est aussi se détester à cause de paroles et de choses faites. Prions pour soi-même et pour les autres, prions pour nos ennemis et nos amis aussi. L'enfer c'est les autres parce qu'ils sont des miroirs déformants de nous-mêmes. Déformants car nous avons de mauvais rapports entre nous.
«Pensez-vous que je sois venu apporter la paix sur la terre ? Non, vous dis-je, mais la division.»
Luc 12.51
Ici ce verset règne car Jésus est ici une larme qui a fait détester les autres larmes, si tu comprends que cette larme est la meilleure et bien ce sera la paix en toi. Les mauvaises larmes sont celles qui ne se transforment pas lorsque l'on ne prie pas pour soi et pour les autres qui nous ont attristés, pour nos hontes, nos addictions, etc. Jésus est dans les larmes et il leur parle de la Bonne Nouvelle.
Dans ce poème, le poète à l'âme de l'enfant, l'âme naïve, l'âme qui pardonne comme un enfant de maternel qui ne voit pas trop le passé, le présent est plus important mais attention à moi puisque la douleur pourrait être pire…À trop vouloir être gentil, à trop vouloir être soi-même surtout étant donné que je ne le fais pas exprès d'être apparemment plus adorable que la moyenne, on se fait encore plus avoir.
Dans le Feng Shui, plus le rouge est vif, plus il dynamise l'énergie qui nous entoure, et là je parle de scarification, de mutilation donc l'énergie est mauvaise alors ici je montre aussi qu'on peut être mal sans que les autres le voit seul Dieu sait, comme je le dis un peu plus loin.
On peut voir que mes larmes sont bien éduquées, qu'elles ont compris le sens de la vie mais ça c'est pas fait tout seul. En fait, le poète à écouter les discours d'amour, de justice, de miracles, il a vu la beauté de ce que Jésus a pour nous et de ce qu'il a fait et de ce qu'il fait aujourd'hui car Jésus est vivant alors le poète à laissé entrer une larme à ses yeux, une larme cheffe brillantissime qui gouverne les autres larmes en leur disant oui, t'es vivante pour le mal qu'on fais à ce jeune homme, et bien ne te gaspille pas, que les larmes soient belles, sacrées, plus les larmes seront sacrées, plus je le serais et je serais parfait comme mon Dieu exemplaire.
Repasser L’eau Donnée En Une Eau Meilleure
Qui croit en ce qu’on lui dit même si
Passé proche, les longues décennies
Juste le présent pour un futur sang
Rouge vif dans la peau coulant parterre
Au sens propre comme au sens figuré
C’est le chagrin sous mes yeux bleutés
Mes larmes, elles ne sont pas fières
Elles me disent que l’eau c’est la vie
Que je dois pleurer des justes tout beau
Ils sont la source, l’espoir, l’amour chaud
Ému tant à la vue comme à l’ouïe
Les vivants laissent les morts s’enterrer
Nous sommes la vie, c’est le paradis
M’ont-elles fait savoir les fines pluies
Mes amis dans mes yeux ensoleillés
Les vivants, eux brillent dans la lumière
Les morts, eux, ils vivent dans les ténèbres
La mort c’est la mort, c’est le mal funèbre
Ton chemin que tu choisis là, sur Terre
Dans la Bible, liberté des vivants
On sait qu’en enfer, il n’y a pas d’eau
Sartre, il a dit que l’enfer c’est les autres
Ça manque bien des prières, vraiment
Triste larme est si laide et obèse
Comme monsieur le cœur face au méchant
Elle est tout en haut des marches versant
La masse avec ses ennemis balèze
Elles se détestent fort bien entre elles
En voulant se suicider, je crois
Paradoxalement, chemin de croix
Souhaitant que je suive la ficelle
Mon cœur, en pleurs, elles sont des chenilles
La laideur, elle prend des grandes ailes
La beauté du créateur dans l’autel
Et toutes ses couleurs qui se chamaillent
Ô cette reine, la larme qui brille
Qui leur vient semer la division
À cette grande population
Elles sont tristes puis elles se vrillent
Cette ficelle, chemin vérité
Impossible à casser comme la Terre
Seul Jésus le grand sauveur peut le faire
Copains soyez curieux en pensées
Alors bien-sûr suivre Dieu, Jésus-Christ
C’est renaître difficilement puisque
C’est se combattre contre nous, nos risques
Les péchés, les problèmes, longue liste
La Seine dans mes yeux à mes prières
Discuter avec Dieu pour espérer
L’eau c’est la vie alors je veux donner
De l’amour de ces aventures d’enfer
Les nonchalants comme les courageux
Ceux qui parlent derrière dans mon dos
Ceux qui m’écrivent de bien jolis mots
Je rêve toujours de prier pour eux
Quand on voit mes larmes inexistantes
Dieu les voit car il connaît notre cœur
Mon étoile qui va mon cœur en fleur
Jésus qui va mon cœur aux pluies charmantes
Grande tristesse aux maux des cœurs pourris
La haine et colère de mon prochain
Quand je lui demande à Jésus son bien
Mes larmes sucrées sont une eau de vie
Parce qu’irrité le dos des personnes
C’est la cause d’un bien joli mal-être
La gentillesse fait bien de l’effet
Si on prie pour les mondains et les bonnes
Mon cœur est une carafe de vin
J’ai compris qui était vraiment Jésus
Désormais c’est l’eau qu’est la bienvenue
Prier, prier, le vin revient en train
De mes torrents aux raisins fermentés
Qui vont plus se transformer en brûlure
Comme Dieu m’a donné de l’eau si pure
Jésus est une larme satinée
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Poème en Phonétique
ki kʁwa ɑ̃ sə kɔ̃ lɥi di mεmə si
pase pʁoʃə, lε lɔ̃ɡ desεni
ʒystə lə pʁezɑ̃ puʁ œ̃ fytyʁ sɑ̃
ʁuʒə vif dɑ̃ la po kulɑ̃ paʁteʁə
o sɑ̃s pʁɔpʁə kɔmə o sɑ̃s fiɡyʁe
sε lə ʃaɡʁɛ̃ su mεz- iø bløte
mε laʁmə, εllə nə sɔ̃ pa fjεʁə
εllə mə dize kə lo sε la vi
kə ʒə dwa pləʁe dε ʒystə tu bo
il sɔ̃ la suʁsə, lεspwaʁ, lamuʁ ʃo
emy tɑ̃ a la vɥ kɔmə a lui
lε vivɑ̃ lεse lε mɔʁ sɑ̃teʁe
nu sɔmə la vi, sε lə paʁadi
mɔ̃ tεllə fε savwaʁ lε finə plɥi
mεz- ami dɑ̃ mεz- iøz- ɑ̃sɔlεje
lε vivɑ̃, ø bʁije dɑ̃ la lymjεʁə
lε mɔʁ, ø, il vive dɑ̃ lε tenεbʁə
la mɔʁ sε la mɔʁ, sε lə mal fynεbʁə
tɔ̃ ʃəmɛ̃ kə ty ʃwazi la, syʁ teʁə
dɑ̃ la biblə, libεʁte dε vivɑ̃
ɔ̃ sε kɑ̃n- ɑ̃fe, il ni a pa do
saʁtʁə, il a di kə lɑ̃fe sε lεz- otʁə
sa mɑ̃kə bjɛ̃ dε pʁjεʁə, vʁεmɑ̃
tʁistə laʁmə ε si lεdə e ɔbεzə
kɔmə məsjø lə kœʁ fasə o meʃɑ̃
εllə ε tut- ɑ̃-o dε maʁʃə vεʁsɑ̃
la masə avεk sεz- εnəmi balεzə
εllə sə detεste fɔʁ bjɛ̃ ɑ̃tʁə εllə
ɑ̃ vulɑ̃ sə sɥiside, ʒə kʁwa
paʁadɔksaləmɑ̃, ʃəmɛ̃ də kʁwa
suεtɑ̃ kə ʒə sɥivə la fisεllə
mɔ̃ kœʁ, ɑ̃ plœʁ, εllə sɔ̃ dε ʃənijə
la lεdœʁ, εllə pʁɑ̃ dε ɡʁɑ̃dəz- εlə
la bote dy kʁeatœʁ dɑ̃ lotεl
e tutə sε kulœʁ ki sə ʃamaje
o sεtə ʁεnə, la laʁmə ki bʁijə
ki lœʁ vjɛ̃ səme la divizjɔ̃
a sεtə ɡʁɑ̃də pɔpylasjɔ̃
εllə sɔ̃ tʁistə pɥiz- εllə sə vʁije
sεtə fisεllə, ʃəmɛ̃ veʁite
ɛ̃pɔsiblə a kase kɔmə la teʁə
səl ʒezys lə ɡʁɑ̃ sovœʁ pø lə fεʁə
kɔpɛ̃ swaje kyʁjøz- ɑ̃ pɑ̃se
alɔʁ bjɛ̃ syʁ sɥivʁə djø, ʒezys kʁist
sε ʁənεtʁə difisiləmɑ̃ pɥiskə
sε sə kɔ̃batʁə kɔ̃tʁə nu, no ʁisk
lε peʃe, lε pʁɔblεmə, lɔ̃ɡ listə
la sεnə dɑ̃ mεz- iøz- a mε pʁjεʁə
diskyte avεk djø puʁ εspeʁe
lo sε la vi alɔʁ ʒə vø dɔne
də lamuʁ də sεz- avɑ̃tyʁə dɑ̃fe
lε nɔ̃ʃalɑ̃ kɔmə lε kuʁaʒø
sø ki paʁle dəʁjεʁə dɑ̃ mɔ̃ do
sø ki mekʁive də bjɛ̃ ʒɔli mo
ʒə ʁεvə tuʒuʁ də pʁje puʁ ø
kɑ̃t- ɔ̃ vwa mε laʁməz- inεksistɑ̃tə
djø lε vwa kaʁ il kɔnε nɔtʁə kœʁ
mɔ̃n- etwalə ki va mɔ̃ kœʁ ɑ̃ flœʁ
ʒezys ki va mɔ̃ kœʁ o plɥi ʃaʁmɑ̃tə
ɡʁɑ̃də tʁistεsə o mo dε kœʁ puʁʁi
la-εnə e kɔlεʁə də mɔ̃ pʁoʃɛ̃
kɑ̃ ʒə lɥi dəmɑ̃də a ʒezys sɔ̃ bjɛ̃
mε laʁmə- sykʁe sɔ̃t- ynə o də vi
paʁsə kiʁite lə do dε pεʁsɔnə
sε la kozə dœ̃ bjɛ̃ ʒɔli mal εtʁə
la ʒɑ̃tijεsə fε bjɛ̃ də lefε
si ɔ̃ pʁi puʁ lε mɔ̃dɛ̃z- e lε bɔnə
mɔ̃ kœʁ εt- ynə kaʁafə də vɛ̃
ʒε kɔ̃pʁi ki etε vʁεmɑ̃ ʒezys
dezɔʁmε sε lo kε la bjɛ̃vənɥ
pʁje, pʁje, lə vɛ̃ ʁəvjɛ̃ ɑ̃ tʁɛ̃
də mε tɔʁɑ̃z- o ʁεzɛ̃ fεʁmɑ̃te
ki vɔ̃ plys sə tʁɑ̃sfɔʁme ɑ̃ bʁylyʁə
kɔmə djø ma dɔne də lo si pyʁə
ʒezysz- εt- ynə laʁmə satine