Prose : Le Ciel En Feu

Les grattes ciel de New York, ouvrent leurs portes.
Les hommes d’affaires, ne se doutent pas qu’ils vont droit dans l’enfer.
Ils vaquent à leurs occupations, et se dispersent dans un tourbillon, au milieu des conversations.
Un bruit assourdissant, se fait entendre l’espace d’un instant, le temps s’est arrêté pour leur destinée.
Les vitres volent en éclat, au milieu de tout ce brouhaha…
Ils se précipitent vers la sortie.
Une fumée noire envahie l’espace, la terreur se lit sur leurs visages, ils prennent l’ascenseur, on entend battre leur cœur, les flammes de l’enfer, traversent les verrières.
Les lumières se sont toutes éteintes sur leur destin.
Les gens se jettent dans le vide, pensant qu’ils pourront s’en sortir, mais les tours de verre les ont déjà englouties, et avec eux leurs âmes meurtries…

lε ɡʁatə sjεl də nεw iɔʁk, uvʁe lœʁ pɔʁtə.
lεz- ɔmə dafεʁə, nə sə dute pa kil vɔ̃ dʁwa dɑ̃ lɑ̃fe.
il vake a lœʁz- ɔkypasjɔ̃, e sə dispεʁse dɑ̃z- œ̃ tuʁbijɔ̃, o miljø dε kɔ̃vεʁsasjɔ̃.
œ̃ bʁɥi asuʁdisɑ̃, sə fε ɑ̃tɑ̃dʁə lεspasə dœ̃n- ɛ̃stɑ̃, lə tɑ̃ sεt- aʁεte puʁ lœʁ dεstine.
lε vitʁə- vɔle ɑ̃n- ekla, o miljø də tu sə bʁuaa…
il sə pʁesipite vεʁ la sɔʁti.
ynə fyme nwaʁə ɑ̃vai lεspasə, la teʁœʁ sə li syʁ lœʁ vizaʒə, il pʁεne lasɑ̃sœʁ, ɔ̃n- ɑ̃tɑ̃ batʁə lœʁ kœʁ, lε flamə də lɑ̃fe, tʁavεʁse lε veʁjεʁə.
lε lymjεʁə sə sɔ̃ tutəz- etɛ̃tə syʁ lœʁ dεstɛ̃.
lε ʒɑ̃ sə ʒεte dɑ̃ lə vidə, pɑ̃sɑ̃ kil puʁʁɔ̃ sɑ̃ sɔʁtiʁ, mε lε tuʁ də veʁə lεz- ɔ̃ deʒa ɑ̃ɡluti, e avεk ø lœʁz- amə məʁtʁi…