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Poeme : Échos D’une Lutte Silencieuse



A Propos

La dépression est une réalité que beaucoup vivent en silence, une lutte souvent invisible aux yeux des autres. Ce poème tente d'illustrer cette bataille intérieure, tout en portant un message d'espoir pour ceux qui se sentent perdus.

Échos D’une Lutte Silencieuse

La vie d’un être tourmenté est un combat sans relâche,
Une quête journalière contre des pensées qui se fâchent.
Des ombres épaisses obscurcissent son ciel fragile,
Et une tristesse sourde l’étreint, telle une vile.

Les gestes les plus simples deviennent des épreuves,
Il peine à rassembler la force pour quitter ses rêves.
Le monde, désenchanté, semble dépourvu de couleurs,
Et la solitude, hélas, est son unique labeur.

Ceux qui l’entourent peinent à saisir sa douleur,
Ignorant l’abîme profond de ses terreurs.
Les mots de réconfort, à ses oreilles, se perdent,
Et il se sent enfermé, dans un monde qui le farde.

Pourtant, au cœur de cette nuit, une lueur persiste,
Une voix timide murmure que tout n’est pas triste.
La vie, malgré les souffrances, peut encore être douce,
Et la guérison, après la tempête, peut être une pousse.

Ainsi, il poursuit son chemin, jour après jour,
Espérant qu’un matin, la douleur s’effacera,
Que le soleil, à nouveau, illuminera son parcours,
Et qu’il redécouvrira la beauté du monde, ici-bas.
Maniho

PostScriptum

À ceux qui se battent dans l'ombre, sachez que votre douleur n’est pas vaine. Chaque petit pas compte et chaque jour est une nouvelle chance. Gardez espoir, car même dans les ténèbres, une lumière peut émerger.


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Poème en Phonétique

la vi dœ̃n- εtʁə tuʁmɑ̃te εt- œ̃ kɔ̃ba sɑ̃ ʁəlaʃə,
ynə kεtə ʒuʁnaljεʁə kɔ̃tʁə dε pɑ̃se ki sə faʃe.
dεz- ɔ̃bʁəz- epεsəz- ɔpskyʁsise sɔ̃ sjεl fʁaʒilə,
e ynə tʁistεsə suʁdə letʁɛ̃, tεllə ynə vilə.

lε ʒεstə lε plys sɛ̃plə dəvjεne dεz- epʁəvə,
il pεnə a ʁasɑ̃ble la fɔʁsə puʁ kite sε ʁεvə.
lə mɔ̃də, dezɑ̃ʃɑ̃te, sɑ̃blə depuʁvy də kulœʁ,
e la sɔlitydə, ela, ε sɔ̃n- ynikə labœʁ.

sø ki lɑ̃tuʁe pεne a sεziʁ sa dulœʁ,
iɲɔʁɑ̃ labimə pʁɔfɔ̃ də sε teʁœʁ.
lε mo də ʁekɔ̃fɔʁ, a sεz- ɔʁεjə, sə pεʁde,
e il sə sɑ̃ ɑ̃fεʁme, dɑ̃z- œ̃ mɔ̃də ki lə faʁdə.

puʁtɑ̃, o kœʁ də sεtə nɥi, ynə lɥœʁ pεʁsistə,
ynə vwa timidə myʁmyʁə kə tu nε pa tʁistə.
la vi, malɡʁe lε sufʁɑ̃sə, pø ɑ̃kɔʁə εtʁə dusə,
e la ɡeʁizɔ̃, apʁε la tɑ̃pεtə, pø εtʁə ynə pusə.

ɛ̃si, il puʁsɥi sɔ̃ ʃəmɛ̃, ʒuʁ apʁε ʒuʁ,
εspeʁɑ̃ kœ̃ matɛ̃, la dulœʁ sefasəʁa,
kə lə sɔlεj, a nuvo, ilyminəʁa sɔ̃ paʁkuʁ,
e kil ʁədekuvʁiʁa la bote dy mɔ̃də, isi ba.