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Poeme : La Danse Des Anneaux.



A Propos

Sous l’éclat des cinq anneaux entrelacés,
Des nations se rassemblent, leurs cœurs enlacés.

La Danse Des Anneaux.

Sous l’éclat des cinq anneaux entrelacés,
Des nations se rassemblent, leurs cœurs enlacés.
Des stades vibrent, des hymnes résonnent,
Aux Jeux Olympiques, les rêves s’ordonnent.

Athlètes vaillants, au courage inébranlable,
Sous les drapeaux flottants, l’esprit indomptable.
Sur la piste, dans l’eau, ou sur les montagnes,
Ils chassent la gloire, gravent leurs campagnes.

Le feu sacré, dans le calice d’or,
Éclaire les nuits, réchauffe les corps.
Chaque saut, chaque course, chaque lancer,
Est une ode à la paix, un monde apaisé.

Les larmes d’effort, de joie, de défaite,
Sont les perles d’une humanité parfaite.
Les cœurs battent en chœur, sans frontières,
À travers le sport, l’unité prospère.

Des records tombent, des légendes naissent,
À chaque victoire, l’orgueil s’entrelace.
Mais plus que l’or, l’argent ou le bronze,
C’est l’esprit de fraternité qui résonne.

Quand la flamme enfin s’éteint, dans un souffle léger,
Les souvenirs des Jeux, pour toujours figés,
Nous rappellent que, malgré les différences,
Les Jeux Olympiques sont une danse d’espérance.
Inamtom

PostScriptum

Les Jeux Olympiques sont une danse d’espérance.

Enregistré le 30/07/2024
INAMTOM


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Poème en Phonétique

su lekla dε sɛ̃k anoz- ɑ̃tʁəlase,
dε nasjɔ̃ sə ʁasɑ̃ble, lœʁ kœʁz- ɑ̃lase.
dε stadə vibʁe, dεz- imnə ʁezɔne,
o ʒøz- ɔlɛ̃pik, lε ʁεvə sɔʁdɔne.

atlεtə vajɑ̃, o kuʁaʒə inebʁɑ̃lablə,
su lε dʁapo flɔtɑ̃, lεspʁi ɛ̃dɔ̃ptablə.
syʁ la pistə, dɑ̃ lo, u syʁ lε mɔ̃taɲə,
il ʃase la ɡlwaʁə, ɡʁave lœʁ kɑ̃paɲə.

lə fø sakʁe, dɑ̃ lə kalisə dɔʁ,
eklεʁə lε nɥi, ʁeʃofə lε kɔʁ.
ʃakə so, ʃakə kuʁsə, ʃakə lɑ̃se,
εt- ynə ɔdə a la pε, œ̃ mɔ̃də apεze.

lε laʁmə- defɔʁ, də ʒwa, də defεtə,
sɔ̃ lε pεʁlə- dynə ymanite paʁfεtə.
lε kœʁ bate ɑ̃ ʃœʁ, sɑ̃ fʁɔ̃tjεʁə,
a tʁavεʁ lə spɔʁ, lynite pʁɔspεʁə.

dε ʁəkɔʁd tɔ̃be, dε leʒɑ̃də nεse,
a ʃakə viktwaʁə, lɔʁɡœj sɑ̃tʁəlasə.
mε plys kə lɔʁ, laʁʒe u lə bʁɔ̃zə,
sε lεspʁi də fʁatεʁnite ki ʁezɔnə.

kɑ̃ la flamə ɑ̃fɛ̃ setɛ̃, dɑ̃z- œ̃ suflə leʒe,
lε suvəniʁ dε ʒø, puʁ tuʒuʁ fiʒe,
nu ʁapεlle kə, malɡʁe lε difeʁɑ̃sə,
lε ʒøz- ɔlɛ̃pik sɔ̃t- ynə dɑ̃sə dεspeʁɑ̃sə.