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Poeme : Fredonnement Du Coeur



Fredonnement Du Coeur



J’ai grandi avec la douleur dans le cœur,
Mais j’ai toujours été plus heureux que l’univers.
Marchant à travers mon cœur à la recherche du désert,
Je n’y ai trouvé autre que la preuve irréfutable de mon bonheur.
On en vient à une illégalité de tout autre possibilité de revers,
On acquiesce sans se demander à qui cela fera un effet de terreur.
Et au cœur gelé se réchauffant je m’excuse, car je suis buveur,
Buveur de mon alcool jusqu’au dernier moment de mon enfers.

Pour la simple partiel d’un bout d’amour,
Je pourrai courir inlassablement, jours après jours.
Sans jamais m’arrêter, sans jamais faiblir, jusqu’à la victoire,
Je saurai m’affranchir, je saurai subsister, et ainsi faire perdurer la gloire.
Je sentirai vivre et mourir tous ces sentiments encrés aux parois de mon cœur,
Jusqu’au moment où, le mensonge ne sera plus un habitué de vos moeurs.
La réalité, bien qu’éclater à vos yeux, est votre unique voie de salue,
Et à l’oublié je crie : Espoir, gardez espoir en ce qui nous est du.

La colère vous réchauffe, vous rendant plus froid,
Vous n’en avez besoin sauf, à l’attaque du désarrois.
Vous la sentez toujours plus profonde en vous jusqu’à votre foie,
Mais rien à faire, nous vivrons avec, nous vivrons sans aucune peur.
Prête à se battre, la mort n’est pas une défaite, que rien n’entrave la voie,
Nous avancerons, nous percerons, nos tranchés seront construits à même leur cœur.
Et nous vivrons heureux entant qu’humains avec les cicatrices de nos douleurs,
Nous solidifiant, nous sensibilisant et aimant plus chaque heures…
L'archange Du Péché

PostScriptum

Il faut être prêt à se battre dans la vie pour optenir ce que l’on veut, y comprit l’amour le bonheur et la liberté, mais il ne faudrais pas s’envoyer au suicide non plus…


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Poème en Phonétique



ʒε ɡʁɑ̃di avεk la dulœʁ dɑ̃ lə kœʁ,
mε ʒε tuʒuʁz- ete plysz- œʁø kə lynive.
maʁʃɑ̃ a tʁavεʁ mɔ̃ kœʁ a la ʁəʃεʁʃə dy dezεʁ,
ʒə ni ε tʁuve otʁə kə la pʁəvə iʁefytablə də mɔ̃ bɔnœʁ.
ɔ̃n- ɑ̃ vjɛ̃ a ynə illeɡalite də tut- otʁə pɔsibilite də ʁəve,
ɔ̃n- akjεsə sɑ̃ sə dəmɑ̃de a ki səla fəʁa œ̃n- efε də teʁœʁ.
e o kœʁ ʒəle sə ʁeʃofɑ̃ ʒə mεkskyzə, kaʁ ʒə sɥi byvœʁ,
byvœʁ də mɔ̃n- alkɔl ʒysko dεʁnje mɔmɑ̃ də mɔ̃n- ɑ̃fe.

puʁ la sɛ̃plə paʁsjεl dœ̃ bu damuʁ,
ʒə puʁʁε kuʁiʁ ɛ̃lasabləmɑ̃, ʒuʁz- apʁε ʒuʁ.
sɑ̃ ʒamε maʁεte, sɑ̃ ʒamε fεbliʁ, ʒyska la viktwaʁə,
ʒə soʁε mafʁɑ̃ʃiʁ, ʒə soʁε sybziste, e ɛ̃si fεʁə pεʁdyʁe la ɡlwaʁə.
ʒə sɑ̃tiʁε vivʁə e muʁiʁ tus sε sɑ̃timɑ̃z- ɑ̃kʁez- o paʁwa də mɔ̃ kœʁ,
ʒysko mɔmɑ̃ u, lə mɑ̃sɔ̃ʒə nə səʁa plysz- œ̃-abitye də vo mœʁ.
la ʁealite, bjɛ̃ keklate a voz- iø, ε vɔtʁə ynikə vwa də salɥ,
e a lublje ʒə kʁi : εspwaʁ, ɡaʁdez- εspwaʁ ɑ̃ sə ki nuz- ε dy.

la kɔlεʁə vu ʁeʃofə, vu ʁɑ̃dɑ̃ plys fʁwa,
vu nɑ̃n- ave bəzwɛ̃ sof, a latakə dy dezaʁwa.
vu la sɑ̃te tuʒuʁ plys pʁɔfɔ̃də ɑ̃ vu ʒyska vɔtʁə fwa,
mε ʁjɛ̃ a fεʁə, nu vivʁɔ̃z- avεk, nu vivʁɔ̃ sɑ̃z- okynə pœʁ.
pʁεtə a sə batʁə, la mɔʁ nε pa ynə defεtə, kə ʁjɛ̃ nɑ̃tʁavə la vwa,
nuz- avɑ̃səʁɔ̃, nu pεʁsəʁɔ̃, no tʁɑ̃ʃe səʁɔ̃ kɔ̃stʁɥiz- a mεmə lœʁ kœʁ.
e nu vivʁɔ̃z- œʁøz- ɑ̃tɑ̃ kymɛ̃z- avεk lε sikatʁisə də no dulœʁ,
nu sɔlidifjɑ̃, nu sɑ̃sibilizɑ̃ e εmɑ̃ plys ʃakə œʁ…