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Texte : « Jamais Deux Sans Trois »



A Propos

un petit poème d’amour, où j’utilise un « jeu d’expression » entre le titre et le dernier vers, car ça m’amuse.

« Jamais Deux Sans Trois »

Tu le sais bien que c’est toi que j’aime,
totalement, follement, terriblement… .

Alors, pourquoi prendrais-je donc une autre… ?

Pour le sexe ?

Mais moi, je t’aime tendrement,
et même si tu prends des amants,
jamais, au grand… jamais
aucune luxure ne l’emporteras sur la tendresse… ,

oui, la tendresse que je te porte…

Alors, laisse-moi t’aimer, d’amour tendre,
d’amour joyeux, heureux, naïf. … et tendre,

car c’est là toute la tendresse… que je te porte,
à toi, rien qu’à toi,
car… jamais deux sans toi.
Poldereaux

PostScriptum

comme d’habitude.


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Poème en Phonétique

ty lə sε bjɛ̃ kə sε twa kə ʒεmə,
tɔtaləmɑ̃, fɔlmɑ̃, teʁibləmɑ̃…

alɔʁ, puʁkwa pʁɑ̃dʁε ʒə dɔ̃k ynə otʁə… ?

puʁ lə sεksə ?

mε mwa, ʒə tεmə tɑ̃dʁəmɑ̃,
e mεmə si ty pʁɑ̃ dεz- amɑ̃,
ʒamε, o ɡʁɑ̃… ʒamε
okynə lyksyʁə nə lɑ̃pɔʁtəʁa syʁ la tɑ̃dʁεsə… ,

ui, la tɑ̃dʁεsə kə ʒə tə pɔʁtə…

alɔʁ, lεsə mwa tεme, damuʁ tɑ̃dʁə,
damuʁ ʒwajø, œʁø, najf… e tɑ̃dʁə,

kaʁ sε la tutə la tɑ̃dʁεsə… kə ʒə tə pɔʁtə,
a twa, ʁjɛ̃ ka twa,
kaʁ… ʒamε dø sɑ̃ twa.