Poeme : Reveries Amoureuses
Reveries Amoureuses
Du côté du soleil levant,
Tu m’es apparu comme un mirage,
Et tu lanças vers moi un message,
Qui me sembla charmant.
Du côté du soleil au zénith,
Les merveilles formes de ton corps,
Ont laissées le mien de granite,
Mais hantant mon corps et te vouloir encore.
Du côté du soleil couchant,
Tu disparais comme tu es venue,
Et j’oublierai, de t’avoir déjà vu,
Car ce mirage m’apparaît très souvent.
Je m’endormirai pour toujours,
Dans les bras de mon seul amour.
Tu m’es apparu comme un mirage,
Et tu lanças vers moi un message,
Qui me sembla charmant.
Du côté du soleil au zénith,
Les merveilles formes de ton corps,
Ont laissées le mien de granite,
Mais hantant mon corps et te vouloir encore.
Du côté du soleil couchant,
Tu disparais comme tu es venue,
Et j’oublierai, de t’avoir déjà vu,
Car ce mirage m’apparaît très souvent.
Je m’endormirai pour toujours,
Dans les bras de mon seul amour.
White Or Black Angel
PostScriptum
Les rêves sont un moyen de s’échapper un temps soit peu de la réalité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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Poème en Phonétique
dy kote dy sɔlεj ləvɑ̃,
ty mε apaʁy kɔmə œ̃ miʁaʒə,
e ty lɑ̃sa vεʁ mwa œ̃ mesaʒə,
ki mə sɑ̃bla ʃaʁmɑ̃.
dy kote dy sɔlεj o zenit,
lε mεʁvεjə fɔʁmə- də tɔ̃ kɔʁ,
ɔ̃ lεse lə mjɛ̃ də ɡʁanitə,
mε-ɑ̃tɑ̃ mɔ̃ kɔʁz- e tə vulwaʁ ɑ̃kɔʁə.
dy kote dy sɔlεj kuʃɑ̃,
ty dispaʁε kɔmə ty ε vənɥ,
e ʒubljəʁε, də tavwaʁ deʒa vy,
kaʁ sə miʁaʒə mapaʁε tʁε suvɑ̃.
ʒə mɑ̃dɔʁmiʁε puʁ tuʒuʁ,
dɑ̃ lε bʁa də mɔ̃ səl amuʁ.
ty mε apaʁy kɔmə œ̃ miʁaʒə,
e ty lɑ̃sa vεʁ mwa œ̃ mesaʒə,
ki mə sɑ̃bla ʃaʁmɑ̃.
dy kote dy sɔlεj o zenit,
lε mεʁvεjə fɔʁmə- də tɔ̃ kɔʁ,
ɔ̃ lεse lə mjɛ̃ də ɡʁanitə,
mε-ɑ̃tɑ̃ mɔ̃ kɔʁz- e tə vulwaʁ ɑ̃kɔʁə.
dy kote dy sɔlεj kuʃɑ̃,
ty dispaʁε kɔmə ty ε vənɥ,
e ʒubljəʁε, də tavwaʁ deʒa vy,
kaʁ sə miʁaʒə mapaʁε tʁε suvɑ̃.
ʒə mɑ̃dɔʁmiʁε puʁ tuʒuʁ,
dɑ̃ lε bʁa də mɔ̃ səl amuʁ.