Poeme : Le Temps Et L’amour
A Propos
LE TEMPS EST UN DON TOUT COMME L'AMOUR
Le Temps Et L’amour
Le temps, ce bijou éphémère, sa valeur s’élève,
Sauf pour ceux qui le portent comme une montre Rolex,
Là, il devient précieux, une perle rare à l’horizon.
Si l’amour ne s’encombre pas de la beauté extérieure,
Le temps, à son tour, se moque de notre apparence,
Il s’écoule, indifférent à nos soucis, nos tourments,
Une rivière inlassable, portant les secrets de l’éternité.
L’amour, tel un don divin, nous est offert,
Comme le temps nous est octroyé, sans condition,
Laisse-moi donc naviguer dans les eaux de ma destinée,
Car Dieu, dans sa générosité, m’a accordé ce privilège.
Hier, j’étais en quête de moi-même,
Aujourd’hui, je suis en harmonie avec mon essence,
Dans ce voyage tumultueux, qui me soulèvera lorsque je suis terre ?
Les femmes aux talents culinaires, je les chéris,
Leur art, une symphonie de saveurs, de plaisirs,
Dans la bienveillance, dans le bien-faire, réside la récompense,
Car le bien engendre le bien, offrant un festin à l’âme.
PostScriptum
Dans le théâtre des cœurs, où l'amour règne en maître,
Le temps, ce bijou éphémère, sa valeur s'élève,
Sauf pour ceux qui le portent comme une montre Rolex,
Là, il devient précieux, une perle rare à l'horizon.
Si l'amour ne s'encombre pas de la beauté extérieure,
Le temps, à son tour, se moque de notre apparence,
Il s'écoule, indifférent à nos soucis, nos tourments,
Une rivière inlassable, portant les secrets de l'éternité.
L'amour, tel un don divin, nous est offert,
Comme le temps nous est octroyé, sans condition,
Laisse-moi donc naviguer dans les eaux de ma destinée,
Car Dieu, dans sa générosité, m'a accordé ce privilège.
Hier, j'étais en quête de moi-même,
Aujourd'hui, je suis en harmonie avec mon essence,
Dans ce voyage tumultueux, qui me soulèvera lorsque je suis terre ?
Les femmes aux talents culinaires, je les chéris,
Leur art, une symphonie de saveurs, de plaisirs,
Dans la bienveillance, dans le bien-faire, réside la récompense,
Car le bien engendre le bien, offrant un festin à l'âme.
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Poème en Phonétique
lə tɑ̃, sə biʒu efemεʁə, sa valœʁ selεvə,
sof puʁ sø ki lə pɔʁte kɔmə ynə mɔ̃tʁə ʁɔlεks,
la, il dəvjɛ̃ pʁesjø, ynə pεʁlə ʁaʁə a lɔʁizɔ̃.
si lamuʁ nə sɑ̃kɔ̃bʁə pa də la bote εksteʁjəʁə,
lə tɑ̃, a sɔ̃ tuʁ, sə mɔkə də nɔtʁə apaʁɑ̃sə,
il sekulə, ɛ̃difeʁɑ̃ a no susi, no tuʁmɑ̃,
ynə ʁivjεʁə ɛ̃lasablə, pɔʁtɑ̃ lε sεkʁε də letεʁnite.
lamuʁ, tεl œ̃ dɔ̃ divɛ̃, nuz- εt- ɔfεʁ,
kɔmə lə tɑ̃ nuz- εt- ɔktʁwaje, sɑ̃ kɔ̃disjɔ̃,
lεsə mwa dɔ̃k naviɡe dɑ̃ lεz- o də ma dεstine,
kaʁ djø, dɑ̃ sa ʒeneʁozite, ma akɔʁde sə pʁivilεʒə.
jεʁ, ʒetεz- ɑ̃ kεtə də mwa mεmə,
oʒuʁdɥi, ʒə sɥiz- ɑ̃-aʁmɔni avεk mɔ̃n- esɑ̃sə,
dɑ̃ sə vwajaʒə tymyltɥø, ki mə sulεvəʁa lɔʁskə ʒə sɥi teʁə ?
lε faməz- o talɑ̃ kylinεʁə, ʒə lε ʃeʁi,
lœʁ aʁ, ynə sɛ̃fɔni də savœʁ, də plεziʁ,
dɑ̃ la bjɛ̃vεjɑ̃sə, dɑ̃ lə bjɛ̃ fεʁə, ʁezidə la ʁekɔ̃pɑ̃sə,
kaʁ lə bjɛ̃ ɑ̃ʒɑ̃dʁə lə bjɛ̃, ɔfʁɑ̃ œ̃ fεstɛ̃ a lamə.