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Prose : Nous Aimer Encore Et Pour Toujours !



A Propos

Plus le temps passe
Nos cœurs et nos esprits de plus en plus se fusionnent
Notre essence traîne derrière elle la fureur de l’existence
Qui sous les effets de nos corps qui par moments se tiennent à distance
D’une manière telle que personne ne comprend.
Sous l’ardent soleil de notre amour
La source de nos désirs n’envisagent point tarir
Comme pour bannir nos funestes instants de nostalgie.
Nos désirs d’enfin pour la vie nous unir,
Et ce, pour le meilleur et pour le pire
Nous feront-ils languir ?
Nos cœurs et nos âme en tandem
Battent leur Ram à l’allure des Tap-taps
Tel des molécules d’eau au sucre fondue
Pour ne plus jamais se dissocier.
Malgré les douleurs que nous avons ensemble Et l’un pour l’autre enduré,
Nos cœurs n’ont aucunement cessé
De se supporter et d’autre réclamer
Que de nous aimer pour la vie,
Et ce, malgré vents et marées.
Oui, rien ne peut m’empêcher que notre amour durer,
Au-delà du temps et des circonstances,
Tel l’aveu de la nature à l’équilibre
De toujours en harmonie se maintenir.
Se séparer, pour la raison qu’il soit
Est dans un couple chose aisé
Et un choix délibéré,
Il suffit que le cœur de son abondance se vide
En vue de se remplir de son propre vide.
Parce que je t’aime, si tu penses que ma présence
T’empêcherait de goûter au bonheur
Rien que pour mon honneur je ne voudrais te retenir,
Cependant, je t’aime trop,
Pour te laisser loin de moi partir.
Plus nos corps s’éloignent
Plus d’amour, de nostalgie,
Comme par art de la magie
Nos cœur et et nos âmes en témoignent.
Toujours plus puissants et impénitents.
Oh, que je ne voudrais que rien ne nous sépare !
Nos corps se consument sous l’ardeur de notre amour
Quand nus que de désirs dans nos yeux se dévoilent
Laissant au plus profond de nos âmes
Une odeur de revenez-y.

Ô mon amour,
Pour toi je ne me voudrais philanthrope
Non pas à sens unique,
Le bénéfice du don exclusif
De tout ce que j’ai,
De tout ce je suis,
Sans épargner ni économie,
Et sans au grand jamais y renoncer.
Aux quatre vents,
De manière assourdissante je veux le claironner,
Jusqu’à rompre la surdité de tout cœur incrédule,
Et la cécité de ton âme endolorie avant mon arrivée.
Oui mon amour,
En ce si beau jour je veux te réitérer
Que jour et nuit tu es là,
Là où tu ne sais que le règne c’est toi,
Et ce si paradisiaque lieu
N’est autre que celui de l’amour
Faisant de toi l’élue au trône de mon cœur.

Joyeuses fêtes de Saint Valentin mon amour
Toi que j’ai aimée un jour
Et depuis ce jour pour toujours.
Oui, jamais je n’entends me rassasier de notre amour, je t’aime encore et pour toujours.

Nous Aimer Encore Et Pour Toujours !

Plus le temps passe
Nos cœurs et nos esprits de plus en plus se fusionnent
Notre essence traîne derrière elle la fureur de l’existence
Qui sous les effets de nos corps qui par moments se tiennent à distance
D’une manière telle que personne ne comprend.
Sous l’ardent soleil de notre amour
La source de nos désirs n’envisagent point tarir
Comme pour bannir nos funestes instants de nostalgie.
Nos désirs d’enfin pour la vie nous unir,
Et ce, pour le meilleur et pour le pire
Nous feront-ils languir ?
Nos cœurs et nos âme en tandem
Battent leur Ram à l’allure des Tap-taps
Tel des molécules d’eau au sucre fondue
Pour ne plus jamais se dissocier.
Malgré les douleurs que nous avons ensemble Et l’un pour l’autre enduré,
Nos cœurs n’ont aucunement cessé
De se supporter et d’autre réclamer
Que de nous aimer pour la vie,
Et ce, malgré vents et marées.
Oui, rien ne peut m’empêcher que notre amour durer,
Au-delà du temps et des circonstances,
Tel l’aveu de la nature à l’équilibre
De toujours en harmonie se maintenir.
Se séparer, pour la raison qu’il soit
Est dans un couple chose aisé
Et un choix délibéré,
Il suffit que le cœur de son abondance se vide
En vue de se remplir de son propre vide.
Parce que je t’aime, si tu penses que ma présence
T’empêcherait de goûter au bonheur
Rien que pour mon honneur je ne voudrais te retenir,
Cependant, je t’aime trop,
Pour te laisser loin de moi partir.
Plus nos corps s’éloignent
Plus d’amour, de nostalgie,
Comme par art de la magie
Nos cœur et et nos âmes en témoignent.
Toujours plus puissants et impénitents.
Oh, que je ne voudrais que rien ne nous sépare !
Nos corps se consument sous l’ardeur de notre amour
Quand nus que de désirs dans nos yeux se dévoilent
Laissant au plus profond de nos âmes
Une odeur de revenez-y.

Ô mon amour,
Pour toi je ne me voudrais philanthrope
Non pas à sens unique,
Le bénéfice du don exclusif
De tout ce que j’ai,
De tout ce je suis,
Sans épargner ni économie,
Et sans au grand jamais y renoncer.
Aux quatre vents,
De manière assourdissante je veux le claironner,
Jusqu’à rompre la surdité de tout cœur incrédule,
Et la cécité de ton âme endolorie avant mon arrivée.
Oui mon amour,
En ce si beau jour je veux te réitérer
Que jour et nuit tu es là,
Là où tu ne sais que le règne c’est toi,
Et ce si paradisiaque lieu
N’est autre que celui de l’amour
Faisant de toi l’élue au trône de mon cœur.

Joyeuses fêtes de Saint Valentin mon amour
Toi que j’ai aimée un jour
Et depuis ce jour pour toujours.
Oui, jamais je n’entends me rassasier de notre amour, je t’aime encore et pour toujours.
Camilingue@Yahoo.ca

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Poème en Phonétique

plys lə tɑ̃ pasə
no kœʁz- e noz- εspʁi də plysz- ɑ̃ plys sə fyzjɔne
nɔtʁə esɑ̃sə tʁεnə dəʁjεʁə εllə la fyʁœʁ də lεɡzistɑ̃sə
ki su lεz- efε də no kɔʁ ki paʁ mɔmɑ̃ sə tjεne a distɑ̃sə
dynə manjεʁə tεllə kə pεʁsɔnə nə kɔ̃pʁɑ̃.
su laʁde sɔlεj də nɔtʁə amuʁ
la suʁsə də no deziʁ nɑ̃vizaʒe pwɛ̃ taʁiʁ
kɔmə puʁ baniʁ no fynεstəz- ɛ̃stɑ̃ də nɔstalʒi.
no deziʁ dɑ̃fɛ̃ puʁ la vi nuz- yniʁ,
e sə, puʁ lə mεjœʁ e puʁ lə piʁə
nu fəʁɔ̃ til lɑ̃ɡiʁ ?
no kœʁz- e noz- amə ɑ̃ tɑ̃dεm
bate lœʁ ʁam a lalyʁə dε tap tap
tεl dε mɔlekylə do o sykʁə fɔ̃dɥ
puʁ nə plys ʒamε sə disɔsje.
malɡʁe lε dulœʁ kə nuz- avɔ̃z- ɑ̃sɑ̃blə e lœ̃ puʁ lotʁə ɑ̃dyʁe,
no kœʁ nɔ̃ okynəmɑ̃ sese
də sə sypɔʁte e dotʁə ʁeklame
kə də nuz- εme puʁ la vi,
e sə, malɡʁe vɑ̃z- e maʁe.
ui, ʁjɛ̃ nə pø mɑ̃pεʃe kə nɔtʁə amuʁ dyʁe,
o dəla dy tɑ̃z- e dε siʁkɔ̃stɑ̃sə,
tεl lavø də la natyʁə a lekilibʁə
də tuʒuʁz- ɑ̃-aʁmɔni sə mɛ̃təniʁ.
sə sepaʁe, puʁ la ʁεzɔ̃ kil swa
ε dɑ̃z- œ̃ kuplə ʃozə εze
e œ̃ ʃwa delibeʁe,
il syfi kə lə kœʁ də sɔ̃n- abɔ̃dɑ̃sə sə vidə
ɑ̃ vɥ də sə ʁɑ̃pliʁ də sɔ̃ pʁɔpʁə vidə.
paʁsə kə ʒə tεmə, si ty pɑ̃sə kə ma pʁezɑ̃sə
tɑ̃pεʃəʁε də ɡute o bɔnœʁ
ʁjɛ̃ kə puʁ mɔ̃n- ɔnœʁ ʒə nə vudʁε tə ʁətəniʁ,
səpɑ̃dɑ̃, ʒə tεmə tʁo,
puʁ tə lεse lwɛ̃ də mwa paʁtiʁ.
plys no kɔʁ selwaɲe
plys damuʁ, də nɔstalʒi,
kɔmə paʁ aʁ də la maʒi
no kœʁ e e noz- aməz- ɑ̃ temwaɲe.
tuʒuʁ plys pɥisɑ̃z- e ɛ̃penitɑ̃.
ɔ, kə ʒə nə vudʁε kə ʁjɛ̃ nə nu sepaʁə !
no kɔʁ sə kɔ̃syme su laʁdœʁ də nɔtʁə amuʁ
kɑ̃ nys kə də deziʁ dɑ̃ noz- iø sə devwale
lεsɑ̃ o plys pʁɔfɔ̃ də noz- amə
ynə ɔdœʁ də ʁəvənez- i.

o mɔ̃n- amuʁ,
puʁ twa ʒə nə mə vudʁε filɑ̃tʁɔpə
nɔ̃ pa a sɑ̃sz- ynikə,
lə benefisə dy dɔ̃ εksklyzif
də tu sə kə ʒε,
də tu sə ʒə sɥi,
sɑ̃z- epaʁɲe ni ekɔnɔmi,
e sɑ̃z- o ɡʁɑ̃ ʒamεz- i ʁənɔ̃se.
o katʁə vɑ̃,
də manjεʁə asuʁdisɑ̃tə ʒə vø lə klεʁɔne,
ʒyska ʁɔ̃pʁə la syʁdite də tu kœʁ ɛ̃kʁedylə,
e la sesite də tɔ̃n- amə ɑ̃dɔlɔʁi avɑ̃ mɔ̃n- aʁive.
ui mɔ̃n- amuʁ,
ɑ̃ sə si bo ʒuʁ ʒə vø tə ʁeiteʁe
kə ʒuʁ e nɥi ty ε la,
la u ty nə sε kə lə ʁεɲə sε twa,
e sə si paʁadizjakə ljø
nεt- otʁə kə səlɥi də lamuʁ
fəzɑ̃ də twa lelɥ o tʁonə də mɔ̃ kœʁ.

ʒwajøzə fεtə də sɛ̃ valɑ̃tɛ̃ mɔ̃n- amuʁ
twa kə ʒε εme œ̃ ʒuʁ
e dəpɥi sə ʒuʁ puʁ tuʒuʁ.
ui, ʒamε ʒə nɑ̃tɑ̃ mə ʁasazje də nɔtʁə amuʁ, ʒə tεmə ɑ̃kɔʁə e puʁ tuʒuʁ.