Poeme : Givre D’août
Givre D’août
Tout devient froid, glacial.
Car dans ce bain de foule,
Houleux et désorienté,
Les âmes s’entrechoquent
Tous s’évitent sans même regarder
Qu’en tout cela je coule…
Tout est si froid, glacial.
Petite cité balnéaire,
Figée dans un été,
Toujours le même bétail
Venant se désaltérer,
Essayez d’y prendre l’air…
Pourtant si froid, glacial.
Personnellement contraint
À y regarder quatre saisons.
Tout m’y paraît superficiel,
Aurai-je raison ?
S’en soucier ne sert à rien
Car toute l’année ce monde est
Glacial
Car dans ce bain de foule,
Houleux et désorienté,
Les âmes s’entrechoquent
Tous s’évitent sans même regarder
Qu’en tout cela je coule…
Tout est si froid, glacial.
Petite cité balnéaire,
Figée dans un été,
Toujours le même bétail
Venant se désaltérer,
Essayez d’y prendre l’air…
Pourtant si froid, glacial.
Personnellement contraint
À y regarder quatre saisons.
Tout m’y paraît superficiel,
Aurai-je raison ?
S’en soucier ne sert à rien
Car toute l’année ce monde est
Glacial
Le Roi Borgne
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Poème en Phonétique
tu dəvjɛ̃ fʁwa, ɡlasjal.
kaʁ dɑ̃ sə bɛ̃ də fulə,
uløz- e dezɔʁjɛ̃te,
lεz- amə sɑ̃tʁəʃɔke
tus sevite sɑ̃ mεmə ʁəɡaʁde
kɑ̃ tu səla ʒə kulə…
tut- ε si fʁwa, ɡlasjal.
pətitə site balneεʁə,
fiʒe dɑ̃z- œ̃n- ete,
tuʒuʁ lə mεmə betaj
vənɑ̃ sə dezalteʁe,
esεje di pʁɑ̃dʁə lεʁ…
puʁtɑ̃ si fʁwa, ɡlasjal.
pεʁsɔnεllmɑ̃ kɔ̃tʁɛ̃
a i ʁəɡaʁde katʁə sεzɔ̃.
tu mi paʁε sypεʁfisjεl,
oʁε ʒə ʁεzɔ̃ ?
sɑ̃ susje nə sεʁ a ʁjɛ̃
kaʁ tutə lane sə mɔ̃də ε
ɡlasjal
kaʁ dɑ̃ sə bɛ̃ də fulə,
uløz- e dezɔʁjɛ̃te,
lεz- amə sɑ̃tʁəʃɔke
tus sevite sɑ̃ mεmə ʁəɡaʁde
kɑ̃ tu səla ʒə kulə…
tut- ε si fʁwa, ɡlasjal.
pətitə site balneεʁə,
fiʒe dɑ̃z- œ̃n- ete,
tuʒuʁ lə mεmə betaj
vənɑ̃ sə dezalteʁe,
esεje di pʁɑ̃dʁə lεʁ…
puʁtɑ̃ si fʁwa, ɡlasjal.
pεʁsɔnεllmɑ̃ kɔ̃tʁɛ̃
a i ʁəɡaʁde katʁə sεzɔ̃.
tu mi paʁε sypεʁfisjεl,
oʁε ʒə ʁεzɔ̃ ?
sɑ̃ susje nə sεʁ a ʁjɛ̃
kaʁ tutə lane sə mɔ̃də ε
ɡlasjal