Univers de poésie d'un auteur

Prose:Rencontre Avec Le Macchabée

La Prose

Le noir, couleur universel, faite de toutes mais ne représentent que lui : le noir. Elle fut notre première émotion au sein même de cette matrice universelle, et cela à tout être ayant foulé la terre un jour. Si réconfortant dans son essence, pourquoi donc tant de gens en craignent son effluve ? Ils se rassurent avec cette insipide que dis-je cette infamie qu’est le blanc ? Seul un esprit n’ayant vécu cet instant-là pourrait en penser ainsi…
Cette nuit-là fût longue, éprouvante, toutefois d’une beauté sans pareille en ce monde. Personne n’en est à l’abri si cela peut vous rassurer, et par chance cette nuit me verra deux fois. Un coup de pouce donner par quelconque divinité que je dois remercier, alors merci, merci à elle et de la plus profonde sincérité.
Tout commença par ce fameux noir, et des plus sombres, mais sans peur ni fioritures, d’un calme éclatant. Lorsque soudainement une confusion vient se pointer sur mon âme brisant si belle pénombre. Elle se personnifie par une immonde nuée de vers, au vacarme visuel indécent, insupportable. Ils deviennent de plus en plus visibles, toujours un peu plus blanc. Je ne compris que plus tard que mon esprit exprimait toutes les sensations de mon corps en une sorte d’image abstraite. Tout devenait forme, sons, odeurs, sensations, chaleur ainsi qu’émotions… Ils en brûleraient même ma rétine, ils incendient mon âme, frémissant sans arrêt dans un mal être aberrant. Dans ce gargantuesque foutoir mental, je suis là, seul… extrêmement seul même. J’étais si jeune ce jour-là, ne savant même pas lire, vous n’imaginez à quel point ce trauma peu marquer au fer rouge une enfance. Nombres d’hommes si fort se sentent-ils serait devenu fou à la vue de cette image, une image dont Lucifer seul peut en être le créateur.
Ce tableau restera des heures durant dans mon crâne jusqu’à subitement se taire, plus de formes plus de traits aiguisé, plus que gris pâle. Ni noir ni blanc, gris… Je rêve à ce moment de revoir ce noir mais cette présence éclaircie ma vision. Je me sens toujours aussi seul et désemparé, hélas jours passent sans me rendre liberté. Un grain de sable aurait-il bloqué ce funeste sablier ? Une question qui me restait toujours sans réponse.
Et c’est à ce moment que je l’ai vu, je vais vous la décrire, mais vous ne pourriez qu’à peine l’imaginer. Des lignes apparaissent petit à petit, formant vagues et perpétuelle mouvements. Une sensation naquit alors, imaginez-vous au milieu d’une foule compacte de parfaits étrangers, s’étendant à perte de vue de tout côté, l’angoisse monte à une vitesse inégalée jusqu’alors. Tout était pressé autour de moi, tous marchaient plus vite, me repoussant corps et âme sur les autres et sans fin. Soudain, touts ces amas de formes se tuèrent, se tournant à l’opposé de ma direction. C’est dans cet instant que je la vis, tout de blanc vêtu, immaculée, aussi haut qu’un immense que serait le saint créateur. Cette forme à une allure humaine, elle est éblouissante, si belle… comment pourrais-je vous la dépeindre avec mes simples maux quand on se noie d’un tel niveau…
Lumière éclatante tel un calme de pénombre, je retrouve enfin cette sérénité. Son amour est si grand, sans faille, qu’il en enveloppe le firmament de son éternel superbe. Vous qui me lisez, n’ayez aucunes peurs à son égard, cette ange ne viens dans le seul dessein de vous libérer du mal qui était mien. Le psychopompe m’attendait ce jour-là… mais ma divine danse au près de celle que j’appellerai bien plus tard Thanastasia ne savait prendre fin. Qui de nous deux s’abandonnerait le premier ? Bien qu’immense fût le colosse d’Ivoire, mon désir de repartir l’étai plus encore. Mon cœur était d’airain lorsque que ses chevilles étaient d’étain. C’est dans un dernier élan spirituel que nos âmes s’accouplèrent, elle fait partie de moi et moi parti d’elle et cela pour l’éternité.
Mon âme sœur forcée, tragique destin de lui être fidèle. Lorsque une autre femme met la main sur mon âme, le destin me ramène à Thanastasia, soit elle me détruira soit le fruit m’est défendu, toujours en faisant attention à m’interdire le plus beau du jardin. J’ai perdu mon œil ce jour-là, je ne verrai plus jamais le monde que d’un seul. La fin du libre m’a été révélé, quelle monstruosité de m’apprendre mon apocalypse si tôt… Le monde se noie dans mon regard lorsque mon regard inonde ce monde, mon bonheur est insipide et ma peine sans aucune valeur. Ainsi autrui passera avant ce roi, car la fin ne connaît pas. Destinée tracée, l’enfant de sept jours revint en moi, en tailleur sur ce rocher je suis ce roi.
Sous ce pseudonyme je signe mes psaumes, sous ce pseudonyme saignent mes ecchymoses. Celui vivant entre les deux mondes, un pied caressant chaque rive sans pouvoir y prendre appui, ma place est ainsi partout comme nulle part… un enfer hermétique. Le roi borgne je suis bien que mécréant je naquis, mon seul rôle est dans le don d’une direction aux autres. C’est l’idée qui vous est transmise qui importe non l’homme qui la dicte, si les sept seaux sont retransmis mon existence n’a plus de bénéfice, plus d’utilité. J’accepte ainsi ma tâche.

Ainsi fut créé le roi borgne, de noir et de blanc
Partage de cette Prose avec vos contacts

PostScriptum

A celui ou celle qui voudras me comprendre

Poeme de Le Roi Borgne

Poète Le Roi Borgne

Le Roi Borgne a publié sur le site 6 écrits. Le Roi Borgne est membre du site depuis l'année 2021.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Rencontre Avec Le Macchabéele=noir=cou=leur=u=ni=ver=sel=fai=te=de=tou=tes=mais=ne=re=pré=sen=tent=que=lui=le=noir=el=le=fut=no=tre=pre=miè=re=é=mo=ti=on=au=sein=mê=me=de=cet=te=ma=tri=ce=u=ni=ver=sel=le=et=ce=la=à=tout=ê=tre=ay=ant=fou=lé=la=ter=re=un=jour=si=ré=con=for=tant=dans=son=es=sen=ce=pour=quoi=donc=tant=de=gens=en=crai=gnent=son=ef=flu=ve=ils=se=ras=su=rent=a=vec=cet=te=in=si=pi=de=que=dis=je=cet=te=in=fa=mie=quest=le=blanc=seul=un=es=prit=nay=ant=vé=cu=cet=ins=tant=là=pour=rait=en=pen=ser=ain=si 132
cet=te=nuit=là=fût=lon=gue=é=prou=van=te=tou=te=fois=du=ne=beau=té=sans=pa=rei=lle=en=ce=mon=de=per=son=ne=nen=est=à=la=bri=si=ce=la=peut=vous=ras=su=rer=et=par=chan=ce=cet=te=nuit=me=ver=ra=deux=fois=un=coup=de=pou=ce=don=ner=par=quel=con=que=di=vi=ni=té=que=je=dois=re=mer=ci=er=a=lors=mer=ci=mer=ci=à=el=le=et=de=la=plus=pro=fon=de=sin=cé=ri=té 96
tout=commen=ça=par=ce=fa=meux=noir=et=des=plus=sombres=mais=sans=peur=ni=fio=ri=tures=dun=cal=meé=cla=tant=lors=que=sou=daine=ment=u=ne=con=fu=sion=vient=se=poin=ter=sur=mon=â=me=bri=sant=si=bel=le=pé=nombre=el=le=se=per=son=ni=fie=par=u=neim=mon=de=nuée=de=vers=au=va=car=me=vi=suel=in=dé=cent=in=sup=por=table=ils=de=vien=nent=de=plus=en=plus=vi=si=bles=tou=jours=un=peu=plus=blanc=je=ne=com=pris=que=plus=tard=que=mon=es=prit=ex=pri=mait=tou=tes=les=sen=sa=tions=de=mon=corps=en=u=ne=sor=te=di=ma=geabs=traite=tout=de=ve=nait=for=me=sons=o=deurs=sen=sa=tions=cha=leur=ain=si=qué=mo=tions=ils=en=brû=le=raient=mê=me=ma=ré=ti=ne=ils=in=cen=dient=mon=â=me=fré=mis=sant=sans=ar=rêt=dans=un=mal=ê=tre=a=ber=rant=dans=ce=gar=gan=tues=que=fou=toir=men=tal=je=suis=là=seul=ex=trê=me=ment=seul=mê=me=jé=tais=si=jeu=ne=ce=jour=là=ne=sa=vant=mê=me=pas=li=re=vous=ni=ma=gi=nez=à=quel=point=ce=trau=ma=peu=mar=quer=au=fer=rou=ge=u=ne=en=fance=nom=bres=dhom=mes=si=fort=se=sen=tent=tils=se=rait=de=ve=nu=fou=à=la=vue=de=cet=te=i=ma=ge=u=ne=i=ma=ge=dont=lu=ci=fer=seul=peut=en=ê=tre=le=cré=a=teur 279
ce=ta=bleau=res=te=ra=des=heu=res=du=rant=dans=mon=crâ=ne=jus=quà=su=bi=te=ment=se=tai=re=plus=de=for=mes=plus=de=traits=ai=gui=sé=plus=que=gris=pâle=ni=noir=ni=blanc=gris=je=rê=ve=à=ce=mo=ment=de=re=voir=ce=noir=mais=cet=te=pré=sen=ce=é=clair=cie=ma=vi=si=on=je=me=sens=tou=jours=aus=si=seul=et=dé=sem=pa=ré=hé=las=jours=pas=sent=sans=me=ren=dre=li=ber=té=un=grain=de=sa=ble=au=rait=til=blo=qué=ce=fu=nes=te=sa=bli=er=u=ne=ques=ti=on=qui=me=res=tait=tou=jours=sans=ré=pon=se 125
et=cest=à=ce=moment=que=je=lai=vu=je=vais=vous=la=dé=crire=mais=vous=ne=pour=riez=quà=peine=li=ma=gi=ner=des=li=gnes=ap=pa=rais=sent=pe=tit=à=pe=tit=for=mant=va=gues=et=per=pé=tuel=le=mou=ve=ments=une=sen=sa=tion=na=quit=a=lors=i=ma=gi=nez=vous=au=mi=lieu=du=ne=fou=le=com=pac=te=de=par=faits=é=tran=gers=sé=ten=dant=à=per=te=de=vue=de=tout=cô=té=lan=gois=se=mon=teà=u=ne=vi=tes=se=i=né=ga=lée=jus=qua=lors=tout=é=tait=pres=sé=au=tour=de=moi=tous=mar=chaient=plus=vi=te=me=re=pous=sant=corps=et=â=me=sur=les=au=tres=et=sans=fin=sou=dain=touts=ces=a=mas=de=for=mes=se=tuè=rent=se=tour=nant=à=lop=po=sé=de=ma=di=rec=tion=cest=dans=cet=ins=tant=que=je=la=vis=tout=de=blanc=vê=tu=im=ma=cu=lée=aus=si=haut=quun=im=men=se=que=se=rait=le=saint=cré=a=teur=cet=te=for=meà=u=neal=lu=re=hu=mai=ne=el=le=est=é=blou=is=san=te=si=bel=le=com=ment=pour=rais=je=vous=la=dé=pein=dre=a=vec=mes=sim=ples=maux=quand=on=se=noie=dun=tel=ni=veau 241
lu=mièreé=cla=tante=tel=un=cal=me=de=pé=nombre=je=re=trou=veen=fin=cette=sé=ré=ni=té=son=a=mour=est=si=grand=sans=faille=quil=en=en=ve=lop=pe=le=fir=ma=ment=de=son=é=ter=nel=su=perbe=vous=qui=me=li=sez=nayez=au=cu=nes=peurs=à=son=é=gard=cet=tean=ge=ne=viens=dans=le=seul=des=sein=de=vous=li=bé=rer=du=mal=qui=é=tait=mien=le=psy=cho=pom=pe=mat=ten=dait=ce=jour=là=mais=ma=di=vi=ne=dan=se=au=près=de=cel=le=que=jap=pel=le=rai=bien=plus=tard=tha=nas=ta=sia=ne=sa=vait=pren=dre=fin=qui=de=nous=deux=sa=ban=don=ne=rait=le=pre=mier=bien=quim=men=se=fût=le=co=los=se=di=voi=re=mon=dé=sir=de=re=par=tir=lé=tai=plus=en=core=mon=cœur=é=tait=dai=rain=lors=que=que=ses=che=villes=é=taient=dé=tain=cest=dans=un=der=nier=é=lan=s=pi=ri=tuel=que=nos=â=mes=sac=cou=plè=rent=el=le=fait=par=tie=de=moi=et=moi=par=ti=del=le=et=ce=la=pour=lé=ter=ni=té 214
mon=â=me=sœur=for=cée=tra=gi=que=des=tin=de=lui=être=fi=dèle=lors=queuneautre=fem=me=met=la=main=sur=mon=â=me=le=des=tin=me=ra=mè=neà=tha=nas=ta=sia=soit=elle=me=dé=trui=ra=soit=le=fruit=mest=dé=fen=du=tou=jours=en=fai=sant=at=ten=tion=à=min=ter=di=re=le=plus=beau=du=jar=din=jai=per=du=mon=œil=ce=jour=là=je=ne=ver=rai=plus=ja=mais=le=mon=de=que=dun=seul=la=fin=du=li=bre=ma=é=té=ré=vé=lé=quel=le=mons=truo=si=té=de=map=pren=dre=mon=a=po=ca=lyp=se=si=tôt=le=mon=de=se=noie=dans=mon=re=gard=lors=que=mon=re=gard=i=non=de=ce=mon=de=mon=bon=heur=est=in=si=pi=de=et=ma=pei=ne=sans=au=cu=ne=va=leur=ain=si=au=trui=pas=se=ra=a=vant=ce=roi=car=la=fin=ne=con=naît=pas=des=ti=née=tra=cée=len=fant=de=sept=jours=re=vint=en=moi=en=tailleur=sur=ce=ro=cher=je=suis=ce=roi 200
sous=ce=p=seu=do=ny=me=je=signe=mes=p=saumes=sous=ce=p=seu=do=ny=me=saignent=mes=ec=chy=moses=ce=lui=vi=vant=en=tre=les=deux=mon=des=un=pied=ca=res=sant=cha=que=ri=ve=sans=pou=voir=y=pren=dreap=pui=ma=pla=ceest=ain=si=par=tout=com=me=nul=le=part=un=en=fer=her=mé=tique=le=roi=bor=gne=je=suis=bien=que=mé=cré=ant=je=na=quis=mon=seul=rô=leest=dans=le=don=du=ne=di=rec=tion=aux=autres=cest=li=dée=qui=vous=est=trans=mi=se=qui=im=por=te=non=lhom=me=qui=la=dic=te=si=les=sept=seaux=sont=re=trans=mis=mon=exis=ten=ce=na=plus=de=bé=né=fi=ce=plus=du=ti=li=té=jac=cep=te=ain=si=ma=tâche 147

ain=si=fut=créé=le=roi=bor=gne=de=noir=et=de=blanc 13
Phonétique : Rencontre Avec Le Macchabéelə nwaʁ, kulœʁ ynivεʁsεl, fεtə də tutə mε nə ʁəpʁezɑ̃te kə lɥi : lə nwaʁ. εllə fy nɔtʁə pʁəmjεʁə emɔsjɔ̃ o sɛ̃ mεmə də sεtə matʁisə ynivεʁsεllə, e səla a tut- εtʁə εjɑ̃ fule la teʁə œ̃ ʒuʁ. si ʁekɔ̃fɔʁtɑ̃ dɑ̃ sɔ̃n- esɑ̃sə, puʁkwa dɔ̃k tɑ̃ də ʒɑ̃z- ɑ̃ kʁεɲe sɔ̃n- eflyvə ? il sə ʁasyʁe avεk sεtə ɛ̃sipidə kə di ʒə sεtə ɛ̃fami kε lə blɑ̃ ? səl œ̃n- εspʁi nεjɑ̃ veky sεt ɛ̃stɑ̃ la puʁʁε ɑ̃ pɑ̃se ɛ̃si…
sεtə nɥi la fy lɔ̃ɡ, epʁuvɑ̃tə, tutəfwa dynə bote sɑ̃ paʁεjə ɑ̃ sə mɔ̃də. pεʁsɔnə nɑ̃n- εt- a labʁi si səla pø vu ʁasyʁe, e paʁ ʃɑ̃sə sεtə nɥi mə veʁa dø fwa. œ̃ ku də pusə dɔne paʁ kεlkɔ̃kə divinite kə ʒə dwa ʁəmεʁsje, alɔʁ mεʁsi, mεʁsi a εllə e də la plys pʁɔfɔ̃də sɛ̃seʁite.
tu kɔmɑ̃sa paʁ sə famø nwaʁ, e dε plys sɔ̃bʁə, mε sɑ̃ pœʁ ni fjɔʁityʁə, dœ̃ kalmə eklatɑ̃. lɔʁskə sudεnəmɑ̃ ynə kɔ̃fyzjɔ̃ vjɛ̃ sə pwɛ̃te syʁ mɔ̃n- amə bʁizɑ̃ si bεllə penɔ̃bʁə. εllə sə pεʁsɔnifi paʁ ynə imɔ̃də nye də vεʁ, o vakaʁmə vizɥεl ɛ̃desɑ̃, ɛ̃sypɔʁtablə. il dəvjεne də plysz- ɑ̃ plys viziblə, tuʒuʁz- œ̃ pø plys blɑ̃. ʒə nə kɔ̃pʁi kə plys taʁ kə mɔ̃n- εspʁi εkspʁimε tutə lε sɑ̃sasjɔ̃ də mɔ̃ kɔʁz- ɑ̃n- ynə sɔʁtə dimaʒə abstʁεtə. tu dəvənε fɔʁmə, sɔ̃, ɔdœʁ, sɑ̃sasjɔ̃, ʃalœʁ ɛ̃si kemɔsjɔ̃… ilz- ɑ̃ bʁyləʁε mεmə ma ʁetinə, ilz- ɛ̃sɑ̃dje mɔ̃n- amə, fʁemisɑ̃ sɑ̃z- aʁε dɑ̃z- œ̃ mal εtʁə abeʁɑ̃. dɑ̃ sə ɡaʁɡɑ̃tɥεskə futwaʁ mɑ̃tal, ʒə sɥi la, səl… εkstʁεməmɑ̃ səl mεmə. ʒetε si ʒənə sə ʒuʁ la, nə savɑ̃ mεmə pa liʁə, vu nimaʒinez- a kεl pwɛ̃ sə tʁoma pø maʁke o fεʁ ʁuʒə ynə ɑ̃fɑ̃sə. nɔ̃bʁə- dɔmə si fɔʁ sə sɑ̃te til səʁε dəvəny fu a la vɥ də sεtə imaʒə, ynə imaʒə dɔ̃ lysife səl pø ɑ̃n- εtʁə lə kʁeatœʁ.
sə tablo ʁεstəʁa dεz- œʁ dyʁɑ̃ dɑ̃ mɔ̃ kʁanə ʒyska sybitəmɑ̃ sə tεʁə, plys də fɔʁmə- plys də tʁεz- εɡize, plys kə ɡʁi palə. ni nwaʁ ni blɑ̃, ɡʁi… ʒə ʁεvə a sə mɔmɑ̃ də ʁəvwaʁ sə nwaʁ mε sεtə pʁezɑ̃sə eklεʁsi ma vizjɔ̃. ʒə mə sɑ̃s tuʒuʁz- osi səl e dezɑ̃paʁe, ela ʒuʁ pase sɑ̃ mə ʁɑ̃dʁə libεʁte. œ̃ ɡʁɛ̃ də sablə oʁε til blɔke sə fynεstə sablje ? ynə kεstjɔ̃ ki mə ʁεstε tuʒuʁ sɑ̃ ʁepɔ̃sə.
e sεt- a sə mɔmɑ̃ kə ʒə lε vy, ʒə vε vu la dekʁiʁə, mε vu nə puʁʁje ka pεnə limaʒine. dε liɲəz- apaʁεse pəti a pəti, fɔʁmɑ̃ vaɡz- e pεʁpetɥεllə muvəmɑ̃. ynə sɑ̃sasjɔ̃ naki alɔʁ, imaʒine vuz- o miljø dynə fulə kɔ̃paktə də paʁfεz- etʁɑ̃ʒe, setɑ̃dɑ̃ a pεʁtə də vɥ də tu kote, lɑ̃ɡwasə mɔ̃tə a ynə vitεsə ineɡale ʒyskalɔʁ. tut- etε pʁese otuʁ də mwa, tus maʁʃε plys vitə, mə ʁəpusɑ̃ kɔʁz- e amə syʁ lεz- otʁəz- e sɑ̃ fɛ̃. sudɛ̃, tu sεz- ama də fɔʁmə- sə tyεʁe, sə tuʁnɑ̃ a lɔpoze də ma diʁεksjɔ̃. sε dɑ̃ sεt ɛ̃stɑ̃ kə ʒə la vis, tu də blɑ̃ vεty, imakyle, osi-o kœ̃n- imɑ̃sə kə səʁε lə sɛ̃ kʁeatœʁ. sεtə fɔʁmə a ynə alyʁə ymεnə, εllə εt- ebluisɑ̃tə, si bεllə… kɔmɑ̃ puʁʁε ʒə vu la depɛ̃dʁə avεk mε sɛ̃plə mo kɑ̃t- ɔ̃ sə nwa dœ̃ tεl nivo…
lymjεʁə eklatɑ̃tə tεl œ̃ kalmə də penɔ̃bʁə, ʒə ʁətʁuvə ɑ̃fɛ̃ sεtə seʁenite. sɔ̃n- amuʁ ε si ɡʁɑ̃, sɑ̃ fajə, kil ɑ̃n- ɑ̃vəlɔpə lə fiʁmame də sɔ̃n- etεʁnεl sypεʁbə. vu ki mə lize, nεjez- okynə pœʁz- a sɔ̃n- eɡaʁ, sεtə ɑ̃ʒə nə vjɛ̃ dɑ̃ lə səl desɛ̃ də vu libeʁe dy mal ki etε mjɛ̃. lə psikɔpɔ̃pə matɑ̃dε sə ʒuʁ la… mε ma divinə dɑ̃sə o pʁε də sεllə kə ʒapεllʁε bjɛ̃ plys taʁ tanastazja nə savε pʁɑ̃dʁə fɛ̃. ki də nu dø sabɑ̃dɔnəʁε lə pʁəmje ? bjɛ̃ kimɑ̃sə fy lə kɔlɔsə divwaʁə, mɔ̃ deziʁ də ʁəpaʁtiʁ letε plysz- ɑ̃kɔʁə. mɔ̃ kœʁ etε dεʁɛ̃ lɔʁskə kə sε ʃəviləz- etε detɛ̃. sε dɑ̃z- œ̃ dεʁnje elɑ̃ spiʁitɥεl kə noz- amə sakuplεʁe, εllə fε paʁti də mwa e mwa paʁti dεllə e səla puʁ letεʁnite.
mɔ̃n- amə sœʁ fɔʁse, tʁaʒikə dεstɛ̃ də lɥi εtʁə fidεlə. lɔʁskə ynə otʁə famə mεt la mɛ̃ syʁ mɔ̃n- amə, lə dεstɛ̃ mə ʁamεnə a tanastazja, swa εllə mə detʁɥiʁa swa lə fʁɥi mε defɑ̃dy, tuʒuʁz- ɑ̃ fəzɑ̃ atɑ̃sjɔ̃ a mɛ̃tεʁdiʁə lə plys bo dy ʒaʁdɛ̃. ʒε pεʁdy mɔ̃n- œj sə ʒuʁ la, ʒə nə veʁε plys ʒamε lə mɔ̃də kə dœ̃ səl. la fɛ̃ dy libʁə ma ete ʁevele, kεllə mɔ̃stʁyozite də mapʁɑ̃dʁə mɔ̃n- apɔkalipsə si to… lə mɔ̃də sə nwa dɑ̃ mɔ̃ ʁəɡaʁ lɔʁskə mɔ̃ ʁəɡaʁ inɔ̃də sə mɔ̃də, mɔ̃ bɔnœʁ εt- ɛ̃sipidə e ma pεnə sɑ̃z- okynə valœʁ. ɛ̃si otʁɥi pasəʁa avɑ̃ sə ʁwa, kaʁ la fɛ̃ nə kɔnε pa. dεstine tʁase, lɑ̃fɑ̃ də sεt ʒuʁ ʁəvɛ̃ ɑ̃ mwa, ɑ̃ tajœʁ syʁ sə ʁoʃe ʒə sɥi sə ʁwa.
su sə psødɔnimə ʒə siɲə mε psomə, su sə psødɔnimə sεɲe mεz- εkimozə. səlɥi vivɑ̃ ɑ̃tʁə lε dø mɔ̃də, œ̃ pje kaʁesɑ̃ ʃakə ʁivə sɑ̃ puvwaʁ i pʁɑ̃dʁə apɥi, ma plasə εt- ɛ̃si paʁtu kɔmə nylə paʁ… œ̃n- ɑ̃fe εʁmetikə. lə ʁwa bɔʁɲə ʒə sɥi bjɛ̃ kə mekʁeɑ̃ ʒə naki, mɔ̃ səl ʁolə ε dɑ̃ lə dɔ̃ dynə diʁεksjɔ̃ oz- otʁə. sε lide ki vuz- ε tʁɑ̃smizə ki ɛ̃pɔʁtə nɔ̃ lɔmə ki la diktə, si lε sεt so sɔ̃ ʁətʁɑ̃smi mɔ̃n- εɡzistɑ̃sə na plys də benefisə, plys dytilite. ʒaksεptə ɛ̃si ma taʃə.

ɛ̃si fy kʁee lə ʁwa bɔʁɲə, də nwaʁ e də blɑ̃
Syllabes Phonétique : Rencontre Avec Le Macchabéelə=nwaʁ=ku=lœʁ=y=ni=vεʁ=sεl=fεtə=də=tu=tə=mε=nə=ʁə=pʁe=zɑ̃=te=kə=lɥi=lə=nwaʁ=εl=lə=fy=nɔ=tʁə=pʁə=mjε=ʁə=e=mɔ=sjɔ̃=o=sɛ̃=mε=mə=də=sε=tə=ma=tʁi=sə=y=ni=vεʁ=sεl=lə=e=sə=la=a=tu=tε=tʁə=ε=jɑ̃=fu=le=la=te=ʁə=œ̃=ʒuʁ=si=ʁe=kɔ̃=fɔʁ=tɑ̃=dɑ̃=sɔ̃=ne=sɑ̃=sə=puʁ=kwa=dɔ̃k=tɑ̃=də=ʒɑ̃=zɑ̃=kʁε=ɲe=sɔ̃=ne=fly=və=il=sə=ʁa=sy=ʁe=a=vεk=sε=tə=ɛ̃=si=pi=də=kə=di=ʒə=sε=tə=ɛ̃=fa=mi=kε=lə=blɑ̃=səl=œ̃=nεs=pʁi=nε=jɑ̃=ve=ky=sεt=ɛ̃s=tɑ̃=la=puʁ=ʁε=ɑ̃=pɑ̃=se=ɛ̃=si 130
sε=tə=nɥi=la=fy=lɔ̃ɡ=e=pʁu=vɑ̃=tə=tu=tə=fwa=dy=nə=bo=te=sɑ̃=pa=ʁε=jə=ɑ̃=sə=mɔ̃=də=pεʁ=sɔ=nə=nɑ̃=nε=ta=la=bʁi=si=sə=la=pø=vu=ʁa=sy=ʁe=e=paʁ=ʃɑ̃=sə=sε=tə=nɥi=mə=ve=ʁa=dø=fwa=œ̃=ku=də=pu=sə=dɔ=ne=paʁ=kεl=kɔ̃=kə=di=vi=ni=te=kə=ʒə=dwa=ʁə=mεʁ=sj=e=a=lɔʁ=mεʁ=si=mεʁ=si=a=εl=lə=e=də=la=plys=pʁɔ=fɔ̃=də=sɛ̃=se=ʁi=te 95
tu=kɔ=mɑ̃sapaʁsə=fa=mø=nwaʁ=e=dε=plys=sɔ̃bʁə=mε=sɑ̃=pœʁ=ni=fjɔ=ʁi=ty=ʁə=dœ̃=kal=məe=kla=tɑ̃=lɔʁ=skə=su=dε=nə=mɑ̃=y=nə=kɔ̃=fy=zjɔ̃=vjɛ̃=sə=pwɛ̃=te=syʁ=mɔ̃=na=mə=bʁi=zɑ̃=si=bεllə=pe=nɔ̃bʁə=εl=lə=sə=pεʁ=sɔ=ni=fi=paʁ=y=nə=i=mɔ̃=də=ny=e=də=vεʁ=o=va=kaʁ=mə=viz=ɥεl=ɛ̃=de=sɑ̃=ɛ̃=sy=pɔʁ=ta=blə=il=də=vjε=ne=də=plys=zɑ̃=plys=vi=zi=blə=tu=ʒuʁ=zœ̃=pø=plys=blɑ̃=ʒə=nə=kɔ̃=pʁi=kə=plys=taʁ=kə=mɔ̃=nεs=pʁi=εk=spʁ=mε=tu=tə=lε=sɑ̃=sa=sjɔ̃=də=mɔ̃=kɔʁ=zɑ̃=ny=nə=sɔʁ=tə=di=ma=ʒəab=stʁ=tə=tu=də=və=nε=fɔʁ=mə=sɔ̃=ɔ=dœʁ=sɑ̃=sa=sjɔ̃=ʃa=lœʁ=ɛ̃=si=ke=mɔ=sjɔ̃=il=zɑ̃=bʁy=lə=ʁε=mε=mə=ma=ʁe=ti=nə=il=zɛ̃=sɑ̃=dje=mɔ̃=na=mə=fʁe=mi=sɑ̃=sɑ̃=za=ʁε=dɑ̃=zœ̃=mal=ε=tʁəa=be=ʁɑ̃=dɑ̃=sə=ɡaʁ=ɡɑ̃t=ɥεs=kə=fu=twaʁ=mɑ̃=tal=ʒə=sɥi=la=səl=εk=stʁ=mə=mɑ̃=səl=mε=mə=ʒe=tε=si=ʒə=nə=sə=ʒuʁ=la=nə=sa=vɑ̃=mε=mə=pa=li=ʁə=vu=ni=ma=ʒi=ne=za=kεl=pwɛ̃=sə=tʁo=ma=pø=maʁ=ke=o=fεʁ=ʁu=ʒə=y=nə=ɑ̃=fɑ̃=sə=nɔ̃=bʁə=dɔ=mə=si=fɔʁ=sə=sɑ̃=te=til=sə=ʁε=də=və=ny=fu=a=la=vɥ=də=sε=tə=i=ma=ʒə=y=nə=i=ma=ʒə=dɔ̃=ly=si=fe=səl=pø=ɑ̃=nε=tʁə=lə=kʁe=a=tœʁ 282
sə=ta=blo=ʁεs=tə=ʁa=dε=zœ=ʁə=dy=ʁɑ̃=dɑ̃=mɔ̃=kʁa=nə=ʒys=ka=sy=bi=tə=mɑ̃=sə=tε=ʁə=plys=də=fɔʁ=mə=plys=də=tʁε=zε=ɡi=ze=plys=kə=ɡʁi=pa=lə=ni=nwaʁ=ni=blɑ̃=ɡʁi=ʒə=ʁε=və=a=sə=mɔ=mɑ̃=də=ʁə=vwaʁ=sə=nwaʁ=mε=sε=tə=pʁe=zɑ̃=sə=e=klεʁ=si=ma=vi=zj=ɔ̃=ʒə=mə=sɑ̃s=tu=ʒuʁ=zo=si=səl=e=de=zɑ̃=pa=ʁe=e=la=ʒuʁ=pa=se=sɑ̃=mə=ʁɑ̃=dʁə=li=bεʁ=te=œ̃=ɡʁɛ̃=də=sa=blə=o=ʁε=til=blɔ=ke=sə=fy=nεs=tə=sa=blj=e=y=nə=kεs=tj=ɔ̃=ki=mə=ʁεs=tε=tu=ʒuʁ=sɑ̃=ʁe=pɔ̃=sə 126
e=sεtasə=mɔ=mɑ̃kə=ʒə=lε=vy=ʒə=vε=vu=la=de=kʁi=ʁə=mε=vu=nə=puʁ=ʁje=ka=pε=nə=li=ma=ʒi=ne=dε=li=ɲə=za=pa=ʁε=se=pə=ti=a=pə=ti=fɔʁ=mɑ̃=va=ɡə=ze=pεʁ=pet=ɥεllə=mu=və=mɑ̃=y=nə=sɑ̃=sa=sjɔ̃=na=ki=a=lɔʁ=i=ma=ʒi=ne=vu=zo=mi=ljø=dy=nə=fu=lə=kɔ̃=pak=tə=də=paʁ=fε=ze=tʁɑ̃=ʒe=se=tɑ̃=dɑ̃=a=pεʁ=tə=də=vɥ=də=tu=ko=te=lɑ̃=ɡwa=sə=mɔ̃=təa=y=nə=vi=tε=sə=i=ne=ɡa=le=ʒys=ka=lɔʁ=tu=te=tε=pʁe=se=o=tuʁ=də=mwa=tus=maʁ=ʃε=plys=vi=tə=mə=ʁə=pu=sɑ̃=kɔʁ=ze=a=mə=syʁ=lε=zo=tʁə=ze=sɑ̃=fɛ̃=su=dɛ̃=tu=sε=za=ma=də=fɔʁ=mə=sə=ty=ε=ʁe=sə=tuʁ=nɑ̃=a=lɔ=po=ze=də=ma=di=ʁεk=sjɔ̃=sε=dɑ̃=sεt=ɛ̃s=tɑ̃=kə=ʒə=la=vis=tu=də=blɑ̃=vε=ty=i=ma=ky=le=o=si-o=kœ̃=ni=mɑ̃=sə=kə=sə=ʁε=lə=sɛ̃=kʁe=a=tœʁ=sε=tə=fɔʁ=məa=y=nəa=ly=ʁə=y=mε=nə=εl=lə=ε=te=blui=sɑ̃=tə=si=bεllə=kɔ=mɑ̃=puʁ=ʁε=ʒə=vu=la=de=pɛ̃=dʁə=a=vεk=mε=sɛ̃=plə=mo=kɑ̃=tɔ̃=sə=nwa=dœ̃=tεl=ni=vo 240
ly=mjεʁəe=klatɑ̃tə=tεl=œ̃=kal=mə=də=pe=nɔ̃bʁə=ʒə=ʁə=tʁu=vəɑ̃=fɛ̃=sε=tə=se=ʁe=ni=te=sɔ̃=na=muʁ=ε=si=ɡʁɑ̃=sɑ̃=fajə=kil=ɑ̃=nɑ̃=və=lɔ=pə=lə=fiʁ=ma=me=də=sɔ̃=ne=tεʁ=nεl=sy=pεʁ=bə=vu=ki=mə=li=ze=nε=je=zo=ky=nə=pœʁ=za=sɔ̃=ne=ɡaʁ=sε=təɑ̃=ʒə=nə=vjɛ̃=dɑ̃=lə=səl=de=sɛ̃=də=vu=li=be=ʁe=dy=mal=ki=e=tε=mjɛ̃=lə=psi=kɔ=pɔ̃=pə=ma=tɑ̃=dε=sə=ʒuʁ=la=mε=ma=di=vi=nə=dɑ̃=sə=o=pʁε=də=sεllə=kə=ʒa=pεl=lʁε=bjɛ̃=plys=taʁ=ta=nas=ta=zja=nə=sa=vε=pʁɑ̃=dʁə=fɛ̃=ki=də=nu=dø=sa=bɑ̃=dɔ=nə=ʁε=lə=pʁə=mje=bjɛ̃=ki=mɑ̃=sə=fy=lə=kɔ=lɔ=sə=di=vwa=ʁə=mɔ̃=de=ziʁ=də=ʁə=paʁ=tiʁ=le=tε=plys=zɑ̃=kɔ=ʁə=mɔ̃=kœʁ=e=tε=dε=ʁɛ̃=lɔʁ=skə=kə=sε=ʃə=vi=lə=ze=tε=de=tɛ̃=sε=dɑ̃=zœ̃=dεʁ=nje=e=lɑ̃=spi=ʁit=ɥεl=kə=no=za=mə=sa=ku=plε=ʁe=εl=lə=fε=paʁ=ti=də=mwa=e=mwa=paʁ=ti=dεllə=e=sə=la=puʁ=le=tεʁ=ni=te 214
mɔ̃namə=sœʁ=fɔʁse=tʁa=ʒi=kə=dεs=tɛ̃=də=lɥi=ε=tʁə=fi=dε=lə=lɔʁ=skəy=nəo=tʁə=fa=mə=mεt=la=mɛ̃=syʁ=mɔ̃=na=mə=lə=dεs=tɛ̃=mə=ʁa=mε=nəa=ta=nas=ta=zja=swa=εllə=mə=det=ʁɥi=ʁa=swa=lə=fʁɥi=mε=de=fɑ̃=dy=tu=ʒuʁ=zɑ̃=fə=zɑ̃=a=tɑ̃=sjɔ̃=a=mɛ̃=tεʁ=di=ʁə=lə=plys=bo=dy=ʒaʁ=dɛ̃=ʒε=pεʁ=dy=mɔ̃=nœj=sə=ʒuʁ=la=ʒə=nə=ve=ʁε=plys=ʒa=mε=lə=mɔ̃=də=kə=dœ̃=səl=la=fɛ̃=dy=li=bʁə=ma=e=te=ʁe=ve=le=kεl=lə=mɔ̃s=tʁy=o=zi=te=də=ma=pʁɑ̃=dʁə=mɔ̃=na=pɔ=ka=lip=sə=si=to=lə=mɔ̃=də=sə=nwa=dɑ̃=mɔ̃=ʁə=ɡaʁ=lɔʁ=skə=mɔ̃=ʁə=ɡaʁ=i=nɔ̃=də=sə=mɔ̃=də=mɔ̃=bɔ=nœʁ=ε=tɛ̃=si=pi=də=e=ma=pε=nə=sɑ̃=zo=ky=nə=va=lœʁ=ɛ̃=si=ot=ʁɥi=pa=sə=ʁa=a=vɑ̃=sə=ʁwa=kaʁ=la=fɛ̃=nə=kɔ=nε=pa=dεs=ti=ne=tʁa=se=lɑ̃=fɑ̃=də=sεt=ʒuʁ=ʁə=vɛ̃=ɑ̃=mwa=ɑ̃=ta=jœʁ=syʁ=sə=ʁo=ʃe=ʒə=sɥi=sə=ʁwa 203
susə=psø=dɔnimə=ʒə=si=ɲə=mε=pso=mə=su=sə=psø=dɔ=ni=mə=sε=ɲe=mε=zε=ki=mo=zə=səl=ɥi=vi=vɑ̃=ɑ̃=tʁə=lε=dø=mɔ̃=də=œ̃=pje=ka=ʁe=sɑ̃=ʃa=kə=ʁi=və=sɑ̃=pu=vwaʁ=i=pʁɑ̃=dʁəap=ɥi=ma=pla=səε=tɛ̃=si=paʁ=tu=kɔ=mə=ny=lə=paʁ=œ̃=nɑ̃=fe=εʁ=me=ti=kə=lə=ʁwa=bɔ=ʁɲə=ʒə=sɥi=bjɛ̃=kə=me=kʁe=ɑ̃=ʒə=na=ki=mɔ̃=səl=ʁo=ləε=dɑ̃=lə=dɔ̃=dy=nə=di=ʁεk=sjɔ̃=o=zo=tʁə=sε=li=de=ki=vu=zε=tʁɑ̃s=mi=zə=ki=ɛ̃=pɔʁ=tə=nɔ̃=lɔ=mə=ki=la=dik=tə=si=lε=sεt=so=sɔ̃=ʁə=tʁɑ̃s=mi=mɔ̃=nεɡ=zis=tɑ̃=sə=na=plys=də=be=ne=fi=sə=plys=dy=ti=li=te=ʒak=sεp=tə=ɛ̃=simataʃə 146

ɛ̃=si=fy=kʁe=e=lə=ʁwa=bɔ=ʁɲə=də=nwaʁ=e=də=blɑ̃ 14

Historique des Modifications

07/08/2022 20:45

Récompense

Coup de coeur: 0
J’aime: 0
J’aime pas: 0

Poesie sans commentaire

Commentaire poème
27/04/2024Poeme-France
En mettant un commentaire, vous pourrez exprimer sur cet écrit : votre ressenti, un encouragement, un conseil ou simplement dire que vous l'avez lu.
De plus si vous écrivez aussi sur le site, vous gagnerez des liens vers vos écrits...
Pour mettre des commentaires vous devez être membre ou poète du site. Un simple inscription suffit pour le devenir.

Prose Âme
Du 07/08/2022 18:16

L'écrit contient 943 mots qui sont répartis dans 2 strophes.