Poeme : Penser Pour Les Orphelins
Penser Pour Les Orphelins
Il y a dans les orphelinats
Des cloches qui sonnent
Mais ne chantent pas
De grands arbres
Qui tendent au ciel leurs bras
Mais les oiseaux ne s’y posent pas
Il y a aussi dans les orphelinats
Quelques poupées qui parlent
Mais ces poupées elles n’ont jamais dit :
« Papa… Maman. . »
Il y a dans les orphelinats
Des murs grands comme l’Himalaya
Il y a aussi dans les orphelinats
Quelques poupées qui rêvent
Mais ces poupées n’ont pas :
« Papa… Maman… »
Il y a dans les orphelinats
Des vitres où l’on ne dessine pas
Et des pelouses où l’on ne marche pas
Et des cailloux qu’on ne lance pas
Mais il y a aussi dans les orphelinats
Quelques poupées qui meurent
Mais ces poupées, elles n’ont jamais dit :
« Papa… Maman… »
Dans les orphelinats comme des prisonniers
Il y a des lits blancs avec des numéro
Et des poupées couchées qui crient en dormant
Elles crient : « Papa… Maman… »
Il y a des larmes sur les oreillers des poupées
Car les poupées elles savent toutes, toutes pleurer
Ah ! Il y a des rêves qui passent sous les yeux fermés
Car les poupées savent toutes rêver
Ah ! Il y a des yeux au ciel, des mains croisées
Car les poupées savent toutes prier
Car ces pauvres poupées pourraient aimer
Sauraient aimer… pour être aimées…
Des cloches qui sonnent
Mais ne chantent pas
De grands arbres
Qui tendent au ciel leurs bras
Mais les oiseaux ne s’y posent pas
Il y a aussi dans les orphelinats
Quelques poupées qui parlent
Mais ces poupées elles n’ont jamais dit :
« Papa… Maman. . »
Il y a dans les orphelinats
Des murs grands comme l’Himalaya
Il y a aussi dans les orphelinats
Quelques poupées qui rêvent
Mais ces poupées n’ont pas :
« Papa… Maman… »
Il y a dans les orphelinats
Des vitres où l’on ne dessine pas
Et des pelouses où l’on ne marche pas
Et des cailloux qu’on ne lance pas
Mais il y a aussi dans les orphelinats
Quelques poupées qui meurent
Mais ces poupées, elles n’ont jamais dit :
« Papa… Maman… »
Dans les orphelinats comme des prisonniers
Il y a des lits blancs avec des numéro
Et des poupées couchées qui crient en dormant
Elles crient : « Papa… Maman… »
Il y a des larmes sur les oreillers des poupées
Car les poupées elles savent toutes, toutes pleurer
Ah ! Il y a des rêves qui passent sous les yeux fermés
Car les poupées savent toutes rêver
Ah ! Il y a des yeux au ciel, des mains croisées
Car les poupées savent toutes prier
Car ces pauvres poupées pourraient aimer
Sauraient aimer… pour être aimées…
(K)Maureen(K)
PostScriptum
cette fois c pr tout les enfnat du monde ! ! ! !
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Poème en Phonétique
il i a dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina
dε kloʃə ki sɔne
mε nə ʃɑ̃te pa
də ɡʁɑ̃z- aʁbʁə
ki tɑ̃de o sjεl lœʁ bʁa
mε lεz- wazo nə si poze pa
il i a osi dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina
kεlk pupe ki paʁle
mε sε pupez- εllə nɔ̃ ʒamε di :
« papa… mamɑ̃. »
il i a dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina
dε myʁ ɡʁɑ̃ kɔmə limalεja
il i a osi dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina
kεlk pupe ki ʁεve
mε sε pupe nɔ̃ pa :
« papa… mamɑ̃… »
il i a dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina
dε vitʁəz- u lɔ̃ nə desinə pa
e dε pəluzəz- u lɔ̃ nə maʁʃə pa
e dε kaju kɔ̃ nə lɑ̃sə pa
mεz- il i a osi dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina
kεlk pupe ki məʁe
mε sε pupe, εllə nɔ̃ ʒamε di :
« papa… mamɑ̃… »
dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina kɔmə dε pʁizɔnje
il i a dε li blɑ̃z- avεk dε nymeʁo
e dε pupe kuʃe ki kʁje ɑ̃ dɔʁmɑ̃
εllə kʁje : « papa… mamɑ̃… »
il i a dε laʁmə- syʁ lεz- ɔʁεje dε pupe
kaʁ lε pupez- εllə save tutə, tutə pləʁe
a ! il i a dε ʁεvə ki pase su lεz- iø fεʁme
kaʁ lε pupe save tutə ʁεve
a ! il i a dεz- iøz- o sjεl, dε mɛ̃ kʁwaze
kaʁ lε pupe save tutə pʁje
kaʁ sε povʁə- pupe puʁʁε εme
soʁε εme… puʁ εtʁə εme…
dε kloʃə ki sɔne
mε nə ʃɑ̃te pa
də ɡʁɑ̃z- aʁbʁə
ki tɑ̃de o sjεl lœʁ bʁa
mε lεz- wazo nə si poze pa
il i a osi dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina
kεlk pupe ki paʁle
mε sε pupez- εllə nɔ̃ ʒamε di :
« papa… mamɑ̃. »
il i a dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina
dε myʁ ɡʁɑ̃ kɔmə limalεja
il i a osi dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina
kεlk pupe ki ʁεve
mε sε pupe nɔ̃ pa :
« papa… mamɑ̃… »
il i a dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina
dε vitʁəz- u lɔ̃ nə desinə pa
e dε pəluzəz- u lɔ̃ nə maʁʃə pa
e dε kaju kɔ̃ nə lɑ̃sə pa
mεz- il i a osi dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina
kεlk pupe ki məʁe
mε sε pupe, εllə nɔ̃ ʒamε di :
« papa… mamɑ̃… »
dɑ̃ lεz- ɔʁfəlina kɔmə dε pʁizɔnje
il i a dε li blɑ̃z- avεk dε nymeʁo
e dε pupe kuʃe ki kʁje ɑ̃ dɔʁmɑ̃
εllə kʁje : « papa… mamɑ̃… »
il i a dε laʁmə- syʁ lεz- ɔʁεje dε pupe
kaʁ lε pupez- εllə save tutə, tutə pləʁe
a ! il i a dε ʁεvə ki pase su lεz- iø fεʁme
kaʁ lε pupe save tutə ʁεve
a ! il i a dεz- iøz- o sjεl, dε mɛ̃ kʁwaze
kaʁ lε pupe save tutə pʁje
kaʁ sε povʁə- pupe puʁʁε εme
soʁε εme… puʁ εtʁə εme…