Texte : Faut Pas Oublier

Franchement, tout commence par un sourire.
Et puis rapidement, il y a le mouvement. Enfin tu vois– pour que ça prenne – pas seulement les cuisses, mais aussi les lèvres, le sexe, l’amour, enfin tout quoi.
Puis il y a l’autre là. Celui qui dit jamais son nom. Et qui est toujours là, comme disait mon vieux. Parfois il prend du temps, mais lui il en a ; le vaurien.
…
Pour finir, il faut épeler. Avec les bonnes manières. Enfin y parait. Moi, j’y ai jamais trop cru.
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C’est important tout ça, fils.
Dommage que tu sois crevé.

fʁɑ̃ʃəmɑ̃, tu kɔmɑ̃sə paʁ œ̃ suʁiʁə.
e pɥi ʁapidəmɑ̃, il i a lə muvəmɑ̃. ɑ̃fɛ̃ ty vwa puʁ kə sa pʁεnə pa sələmɑ̃ lε kɥisə, mεz- osi lε lεvʁə, lə sεksə, lamuʁ, ɑ̃fɛ̃ tu kwa.
pɥiz- il i a lotʁə la. səlɥi ki di ʒamε sɔ̃ nɔ̃. e ki ε tuʒuʁ la, kɔmə dizε mɔ̃ vjø. paʁfwaz- il pʁɑ̃ dy tɑ̃, mε lɥi il ɑ̃n- a, lə voʁjɛ̃.
…
puʁ finiʁ, il fo epəle. avεk lε bɔnə manjεʁə. ɑ̃fɛ̃ i paʁε. mwa, ʒi ε ʒamε tʁo kʁy.
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sεt- ɛ̃pɔʁtɑ̃ tu sa, fis.
dɔmaʒə kə ty swa kʁəve.