Texte : Mon Tendre Amour.
A Propos
Un poème d’amour imaginaire.
Mon Tendre Amour.
Tu voulais tant vivre
à deux cents à l’heure,
tu avais tant de ferveur,
d’amour tu étais ivre.
Tu aimais tous les plaisirs,
tu étais hédoniste.
Jamais tu n’étais triste,
tu avalais l’avenir.
Tu te livrais aux pires débauches,
tant ça te plaisait.
À pleines dents la vie tu croquais,
jusqu’à ce qu’elle nous fauche.
Je te vois allongée devant moi,
morte, toi qui tant aimais la vie.
Ma chérie, je prie pour toi,
pour que tu ailles au Paradis.
à deux cents à l’heure,
tu avais tant de ferveur,
d’amour tu étais ivre.
Tu aimais tous les plaisirs,
tu étais hédoniste.
Jamais tu n’étais triste,
tu avalais l’avenir.
Tu te livrais aux pires débauches,
tant ça te plaisait.
À pleines dents la vie tu croquais,
jusqu’à ce qu’elle nous fauche.
Je te vois allongée devant moi,
morte, toi qui tant aimais la vie.
Ma chérie, je prie pour toi,
pour que tu ailles au Paradis.
Poldereaux
PostScriptum
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Poème en Phonétique
ty vulε tɑ̃ vivʁə
a dø sɑ̃z- a lœʁ,
ty avε tɑ̃ də fεʁvœʁ,
damuʁ ty etεz- ivʁə.
ty εmε tus lε plεziʁ,
ty etεz- edɔnistə.
ʒamε ty netε tʁistə,
ty avalε lavəniʁ.
ty tə livʁεz- o piʁə deboʃə,
tɑ̃ sa tə plεzε.
a plεnə dɑ̃ la vi ty kʁɔkε,
ʒyska sə kεllə nu foʃə.
ʒə tə vwaz- alɔ̃ʒe dəvɑ̃ mwa,
mɔʁtə, twa ki tɑ̃ εmε la vi.
ma ʃeʁi, ʒə pʁi puʁ twa,
puʁ kə ty ajəz- o paʁadi.
a dø sɑ̃z- a lœʁ,
ty avε tɑ̃ də fεʁvœʁ,
damuʁ ty etεz- ivʁə.
ty εmε tus lε plεziʁ,
ty etεz- edɔnistə.
ʒamε ty netε tʁistə,
ty avalε lavəniʁ.
ty tə livʁεz- o piʁə deboʃə,
tɑ̃ sa tə plεzε.
a plεnə dɑ̃ la vi ty kʁɔkε,
ʒyska sə kεllə nu foʃə.
ʒə tə vwaz- alɔ̃ʒe dəvɑ̃ mwa,
mɔʁtə, twa ki tɑ̃ εmε la vi.
ma ʃeʁi, ʒə pʁi puʁ twa,
puʁ kə ty ajəz- o paʁadi.