Texte : Finie La Vie.
A Propos
Un poème m’ayant été inspiré par la chanson « E lucevan le stelle », brillamment interprétée par le regretté virtuose Luciano Pavarotti.
Finie La Vie.
L’heure s’en est allée.
Fini le ciel étoilé,
finis les beaux jours d’été,
à tes côtés.
Je te revois me couvrir de caresses,
de tendres baisers,
belle femme au beau corps sculpté,
me donnant tant de tendresse.
Je revois le jour embaumé
des fleurs du jardin parfumées.
Et je ressens encore la sérénité
d’une paisible soirée.
L’heure s’en est allée,
À mort ils m’ont condamné,
pour avoir trahi.
Jamais je n’ai autant aimé la vie.
Fini le ciel étoilé,
finis les beaux jours d’été,
à tes côtés.
Je te revois me couvrir de caresses,
de tendres baisers,
belle femme au beau corps sculpté,
me donnant tant de tendresse.
Je revois le jour embaumé
des fleurs du jardin parfumées.
Et je ressens encore la sérénité
d’une paisible soirée.
L’heure s’en est allée,
À mort ils m’ont condamné,
pour avoir trahi.
Jamais je n’ai autant aimé la vie.
Poldereaux
PostScriptum
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Poème en Phonétique
lœʁ sɑ̃n- εt- ale.
fini lə sjεl etwale,
fini lε bo ʒuʁ dete,
a tε kote.
ʒə tə ʁəvwa mə kuvʁiʁ də kaʁesə,
də tɑ̃dʁə- bεze,
bεllə famə o bo kɔʁ skylpte,
mə dɔnɑ̃ tɑ̃ də tɑ̃dʁεsə.
ʒə ʁəvwa lə ʒuʁ ɑ̃bome
dε flœʁ dy ʒaʁdɛ̃ paʁfyme.
e ʒə ʁəsɛ̃z- ɑ̃kɔʁə la seʁenite
dynə pεziblə swaʁe.
lœʁ sɑ̃n- εt- ale,
a mɔʁ il mɔ̃ kɔ̃damne,
puʁ avwaʁ tʁai.
ʒamε ʒə nε otɑ̃ εme la vi.
fini lə sjεl etwale,
fini lε bo ʒuʁ dete,
a tε kote.
ʒə tə ʁəvwa mə kuvʁiʁ də kaʁesə,
də tɑ̃dʁə- bεze,
bεllə famə o bo kɔʁ skylpte,
mə dɔnɑ̃ tɑ̃ də tɑ̃dʁεsə.
ʒə ʁəvwa lə ʒuʁ ɑ̃bome
dε flœʁ dy ʒaʁdɛ̃ paʁfyme.
e ʒə ʁəsɛ̃z- ɑ̃kɔʁə la seʁenite
dynə pεziblə swaʁe.
lœʁ sɑ̃n- εt- ale,
a mɔʁ il mɔ̃ kɔ̃damne,
puʁ avwaʁ tʁai.
ʒamε ʒə nε otɑ̃ εme la vi.