Texte : Quai Des Brumes.
A Propos
Un poème.
Quai Des Brumes.
Les jardins du Paradis
sont suspendus aux ailes de l’aurore.
Même l’antique Babylone les envie,
quand ils brillent loin, au nord.
Les jardins du Paradis sont parfumés.
Leurs parfums sont subtils et délicats.
Leurs arbres sont des palmiers,
leurs fruits sont incolores, sans éclat.
Les jardins du Paradis
supplantent ceux des continents.
Leur lueur loin resplendit,
bien au-delà des océans.
Leur couleur est celle des blés et de l’or.
À l’horizon, au-delà des brumes,
les jardins du Paradis parfument
les matins d’aurore.
sont suspendus aux ailes de l’aurore.
Même l’antique Babylone les envie,
quand ils brillent loin, au nord.
Les jardins du Paradis sont parfumés.
Leurs parfums sont subtils et délicats.
Leurs arbres sont des palmiers,
leurs fruits sont incolores, sans éclat.
Les jardins du Paradis
supplantent ceux des continents.
Leur lueur loin resplendit,
bien au-delà des océans.
Leur couleur est celle des blés et de l’or.
À l’horizon, au-delà des brumes,
les jardins du Paradis parfument
les matins d’aurore.
Poldereaux
PostScriptum
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Poème en Phonétique
lε ʒaʁdɛ̃ dy paʁadi
sɔ̃ syspɑ̃dysz- oz- εlə də loʁɔʁə.
mεmə lɑ̃tikə babilɔnə lεz- ɑ̃vi,
kɑ̃t- il bʁije lwɛ̃, o nɔʁ.
lε ʒaʁdɛ̃ dy paʁadi sɔ̃ paʁfyme.
lœʁ paʁfœ̃ sɔ̃ sybtilz- e delika.
lœʁz- aʁbʁə- sɔ̃ dε palmje,
lœʁ fʁɥi sɔ̃t- ɛ̃kɔlɔʁə, sɑ̃z- ekla.
lε ʒaʁdɛ̃ dy paʁadi
syplɑ̃te sø dε kɔ̃tinɑ̃.
lœʁ lɥœʁ lwɛ̃ ʁεsplɑ̃di,
bjɛ̃ o dəla dεz- ɔseɑ̃.
lœʁ kulœʁ ε sεllə dε blez- e də lɔʁ.
a lɔʁizɔ̃, o dəla dε bʁymə,
lε ʒaʁdɛ̃ dy paʁadi paʁfyme
lε matɛ̃ doʁɔʁə.
sɔ̃ syspɑ̃dysz- oz- εlə də loʁɔʁə.
mεmə lɑ̃tikə babilɔnə lεz- ɑ̃vi,
kɑ̃t- il bʁije lwɛ̃, o nɔʁ.
lε ʒaʁdɛ̃ dy paʁadi sɔ̃ paʁfyme.
lœʁ paʁfœ̃ sɔ̃ sybtilz- e delika.
lœʁz- aʁbʁə- sɔ̃ dε palmje,
lœʁ fʁɥi sɔ̃t- ɛ̃kɔlɔʁə, sɑ̃z- ekla.
lε ʒaʁdɛ̃ dy paʁadi
syplɑ̃te sø dε kɔ̃tinɑ̃.
lœʁ lɥœʁ lwɛ̃ ʁεsplɑ̃di,
bjɛ̃ o dəla dεz- ɔseɑ̃.
lœʁ kulœʁ ε sεllə dε blez- e də lɔʁ.
a lɔʁizɔ̃, o dəla dε bʁymə,
lε ʒaʁdɛ̃ dy paʁadi paʁfyme
lε matɛ̃ doʁɔʁə.