Poème:Paradis Perdu…
Le Poème
PARADIS PERDU…
Le cœur nu offert
À la haine de la guerre,
Ses yeux grands ouverts
Fixent le ciel presque vert,
Dans les reflets nés des éclairs
Des orages violents de l’enfer…
Cela fait quelques heures qu’il sommeille
Autour de lui musca le surveille,
La grise et banale mouche veille
Sur son joli regard vermeil
Elle vole ronfle, vibre telle l’abeille
Dans l’air ou l’atmosphère c’est pareil…
Son cœur dévêtu, nu moribond
S’est offert des heures ; quel aplomb,
De tire au flanc, serait-ce son nom !
Mais encore peut-être pas assez prompt,
Il faut bien le dire, en s’échappant vers ce surplomb
Naturel, des bombes, des Mitrailles, de tous les plombs…
Les jambes fatiguées, allongées si usées
Et les pieds à l’ombre, semblent se reposer
Les traits sont tirés, et la bouche biaisée
Veut sembler parler, dans un rictus nous causé ;
Le soleil doucement sèche la tâche sur le coeur grisé,
Inerte, figé, stratifié, le vent souffle une mèche frisée…
Les mouches grises ou noires, puis vertes ou bleues
Les unes et les autres, puis toutes s’attablent le mieux
Possible pour partager travail, ouvrage, et lieu
Où commencer leur ouvrage de nécrophages hideux ;
Les pionnières, les gros bras, les grosses grises, sacrebleu !
Ce beau damoiseau n’est ni un oiseau ni un bœuf ou un jeu ! ! !
La sale guerre des hommes ne l’aura pas épargné
Aura t’il connu vraiment l’amour a le dépucelé
Celui-là sincère et pur que nul ne peut du cœur, arraché
Celui qui imprègne ses rayons de légèreté, de sérénité,
Chasse de l’esprit la vacherie, la mesquinerie, la mauvaiseté
Ses beaux yeux masculins ont-ils admirés le corps nu joli d’une fée ? ! ! !
Sont-ils à présent déjà dans la mer morte du ciel des astres ? ! ! !
Les rayons du soleil en ce matin frais crèvent les cieux en désastre
La rosée perlée de son visage coule jusqu’à l’épigastre
De son ventre découvert par la mitraille en piastres ;
Vision étrange ce tableau, de trouver joli ce petit lupinastre
Entouré d’autres fleurs violettes pierres posées sur ce désastre…
Ces fleurs violettes, pierres posées sur ce désastre l’entourent
Du voile mortuaire d’un cimetière sans possible retour ;
Croisées de chemins en sentiers de Paradis perdu pour toujours,
Monde incertain, guerre et paix semble être à chaque vie le discours
Pour chaque vie il doit rester une place pour l’ange (ou l’asticot) et le vautour
L’un sans l’autre, Vie et Mort, c’est le Temps qui décide toujours…
Georges Adrien PARADIS
Le cœur nu offert
À la haine de la guerre,
Ses yeux grands ouverts
Fixent le ciel presque vert,
Dans les reflets nés des éclairs
Des orages violents de l’enfer…
Cela fait quelques heures qu’il sommeille
Autour de lui musca le surveille,
La grise et banale mouche veille
Sur son joli regard vermeil
Elle vole ronfle, vibre telle l’abeille
Dans l’air ou l’atmosphère c’est pareil…
Son cœur dévêtu, nu moribond
S’est offert des heures ; quel aplomb,
De tire au flanc, serait-ce son nom !
Mais encore peut-être pas assez prompt,
Il faut bien le dire, en s’échappant vers ce surplomb
Naturel, des bombes, des Mitrailles, de tous les plombs…
Les jambes fatiguées, allongées si usées
Et les pieds à l’ombre, semblent se reposer
Les traits sont tirés, et la bouche biaisée
Veut sembler parler, dans un rictus nous causé ;
Le soleil doucement sèche la tâche sur le coeur grisé,
Inerte, figé, stratifié, le vent souffle une mèche frisée…
Les mouches grises ou noires, puis vertes ou bleues
Les unes et les autres, puis toutes s’attablent le mieux
Possible pour partager travail, ouvrage, et lieu
Où commencer leur ouvrage de nécrophages hideux ;
Les pionnières, les gros bras, les grosses grises, sacrebleu !
Ce beau damoiseau n’est ni un oiseau ni un bœuf ou un jeu ! ! !
La sale guerre des hommes ne l’aura pas épargné
Aura t’il connu vraiment l’amour a le dépucelé
Celui-là sincère et pur que nul ne peut du cœur, arraché
Celui qui imprègne ses rayons de légèreté, de sérénité,
Chasse de l’esprit la vacherie, la mesquinerie, la mauvaiseté
Ses beaux yeux masculins ont-ils admirés le corps nu joli d’une fée ? ! ! !
Sont-ils à présent déjà dans la mer morte du ciel des astres ? ! ! !
Les rayons du soleil en ce matin frais crèvent les cieux en désastre
La rosée perlée de son visage coule jusqu’à l’épigastre
De son ventre découvert par la mitraille en piastres ;
Vision étrange ce tableau, de trouver joli ce petit lupinastre
Entouré d’autres fleurs violettes pierres posées sur ce désastre…
Ces fleurs violettes, pierres posées sur ce désastre l’entourent
Du voile mortuaire d’un cimetière sans possible retour ;
Croisées de chemins en sentiers de Paradis perdu pour toujours,
Monde incertain, guerre et paix semble être à chaque vie le discours
Pour chaque vie il doit rester une place pour l’ange (ou l’asticot) et le vautour
L’un sans l’autre, Vie et Mort, c’est le Temps qui décide toujours…
Georges Adrien PARADIS
Poète Adrien1
Adrien1 a publié sur le site 51 écrits. Adrien1 est membre du site depuis l'année 2019.Lire le profil du poète Adrien1Syllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Paradis Perdu…
pa=ra=dis=per=du 5le=cœur=nu=of=fert 5
à=la=hai=ne=de=la=guer=re 8
ses=y=eux=grands=ou=verts 6
fixent=le=ciel=pres=que=vert 6
dans=les=re=flets=nés=des=é=clairs 8
des=o=ra=ges=vi=o=lents=de=len=fer 10
ce=la=fait=quel=ques=heu=res=quil=som=meille 10
au=tour=de=lui=mus=ca=le=sur=vei=lle 10
la=gri=se=et=ba=na=le=mou=che=veille 10
sur=son=jo=li=re=gard=ver=meil 8
elle=vole=ron=fle=vi=bre=tel=le=la=beille 10
dans=lair=ou=lat=mo=sphè=re=cest=pa=reil 10
son=cœur=dé=vê=tu=nu=mo=ri=bond 9
sest=of=fert=des=heu=res=quel=a=plomb 9
de=ti=re=au=flanc=se=rait=ce=son=nom 10
mais=en=co=re=peut=têtre=pas=as=sez=prompt 10
il=faut=bien=le=dire=en=sé=chap=pant=vers=ce=sur=plomb 13
na=tu=rel=des=bombes=des=mi=trailles=de=tous=les=plombs 12
les=jambes=fa=ti=guées=al=lon=gées=si=u=sées 11
et=les=pieds=à=lombre=sem=blent=se=re=po=ser 11
les=traits=sont=ti=rés=et=la=bouche=biai=sée 10
veut=sem=bler=par=ler=dans=un=ric=tus=nous=cau=sé 12
le=so=leil=douce=ment=sèche=la=tâ=che=sur=le=coeur=gri=sé 14
inerte=fi=gé=s=tra=ti=fié=le=vent=souf=fleune=mèche=fri=sée 14
les=mouches=grises=ou=noires=puis=ver=tes=ou=bleues 10
les=unes=et=les=autres=puis=toutes=sat=ta=blent=le=mieux 12
pos=sible=pour=par=ta=ger=tra=vail=ou=vrage=et=lieu 12
où=commen=cer=leur=ou=vrage=de=né=cro=phages=hi=deux 12
les=pion=nières=les=gros=bras=les=gros=ses=grises=sacre=bleu 12
ce=beau=da=moi=seau=nest=ni=un=oi=seau=ni=un=bœuf=ou=un=jeu 16
la=sale=guerre=des=hommes=ne=lau=ra=pas=é=par=gné 12
au=ra=til=con=nu=vraiment=la=mour=a=le=dé=puce=lé 13
ce=lui=là=sin=cèreet=pur=que=nul=ne=peut=du=cœur=ar=ra=ché 15
ce=lui=qui=im=prègne=ses=rayons=de=lé=gère=té=de=sé=ré=ni=té 16
chasse=de=les=prit=la=vache=rie=la=mes=quine=rie=la=mau=vai=se=té 16
ses=beaux=yeux=mas=cu=lins=ont=tils=ad=mi=rés=le=corps=nu=jo=li=dune=fée 18
sont=tils=à=présent=dé=jà=dans=la=mer=morte=du=ciel=des=astres 14
les=rayons=du=so=leil=en=ce=ma=tin=frais=crèvent=les=cieux=en=dé=sastre 16
la=ro=sée=per=lée=de=son=vi=sage=coule=jus=quà=lé=pi=gastre 15
de=son=ventre=dé=cou=vert=par=la=mi=trailleen=piastres 11
vi=sion=é=trange=ce=ta=bleau=de=trou=ver=jo=li=ce=pe=tit=lu=pi=nastre 18
en=tou=ré=dautres=fleurs=violettes=pier=res=po=sées=sur=ce=dé=sastre 14
ces=fleurs=violettes=pierres=po=sées=sur=ce=dé=sas=tre=len=tourent 13
du=voile=mor=tuaire=dun=cime=tiè=re=sans=pos=si=ble=re=tour 14
croi=sées=de=che=mins=en=sen=tiers=de=pa=ra=dis=per=du=pour=tou=jours 17
mondein=cer=tain=guerreet=paix=sem=ble=êtreà=cha=que=vie=le=dis=cours 14
pour=cha=que=vie=il=doit=res=ter=une=place=pour=lange=ou=las=ti=cot=et=le=vau=tour 20
lun=sans=lautre=vieet=mort=cest=le=temps=qui=dé=cide=tou=jours 13
geor=ges=a=drien=pa=ra=dis 7
Phonétique : Paradis Perdu…
paʁadi pεʁdy…lə kœʁ ny ɔfεʁ
a la-εnə də la ɡeʁə,
sεz- iø ɡʁɑ̃z- uvεʁ
fikse lə sjεl pʁεskə vεʁ,
dɑ̃ lε ʁəflε nes dεz- eklεʁ
dεz- ɔʁaʒə vjɔlɑ̃ də lɑ̃fe…
səla fε kεlkz- œʁ kil sɔmεjə
otuʁ də lɥi myska lə syʁvεjə,
la ɡʁizə e banalə muʃə vεjə
syʁ sɔ̃ ʒɔli ʁəɡaʁ vεʁmεj
εllə vɔlə ʁɔ̃flə, vibʁə tεllə labεjə
dɑ̃ lεʁ u latmɔsfεʁə sε paʁεj…
sɔ̃ kœʁ devεty, ny mɔʁibɔ̃
sεt- ɔfεʁ dεz- œʁ, kεl aplɔ̃,
də tiʁə o flɑ̃k, səʁε sə sɔ̃ nɔ̃ !
mεz- ɑ̃kɔʁə pø tεtʁə pa ase pʁɔ̃,
il fo bjɛ̃ lə diʁə, ɑ̃ seʃapɑ̃ vεʁ sə syʁplɔ̃
natyʁεl, dε bɔ̃bə, dε mitʁajə, də tus lε plɔ̃b…
lε ʒɑ̃bə fatiɡe, alɔ̃ʒe si yze
e lε pjez- a lɔ̃bʁə, sɑ̃ble sə ʁəpoze
lε tʁε sɔ̃ tiʁe, e la buʃə bjεze
vø sɑ̃ble paʁle, dɑ̃z- œ̃ ʁiktys nu koze,
lə sɔlεj dusəmɑ̃ sεʃə la taʃə syʁ lə kœʁ ɡʁize,
inεʁtə, fiʒe, stʁatifje, lə vɑ̃ suflə ynə mεʃə fʁize…
lε muʃə ɡʁizəz- u nwaʁə, pɥi vεʁtəz- u blø
lεz- ynəz- e lεz- otʁə, pɥi tutə satable lə mjø
pɔsiblə puʁ paʁtaʒe tʁavaj, uvʁaʒə, e ljø
u kɔmɑ̃se lœʁ uvʁaʒə də nekʁɔfaʒəz- idø,
lε pjɔnjεʁə, lε ɡʁo bʁa, lε ɡʁɔsə ɡʁizə, sakʁεblø !
sə bo damwazo nε ni œ̃n- wazo ni œ̃ bœf u œ̃ ʒø ! ! !
la salə ɡeʁə dεz- ɔmə nə loʁa pa epaʁɲe
oʁa til kɔny vʁεmɑ̃ lamuʁ a lə depysəle
səlɥi la sɛ̃sεʁə e pyʁ kə nyl nə pø dy kœʁ, aʁaʃe
səlɥi ki ɛ̃pʁεɲə sε ʁεjɔ̃ də leʒεʁəte, də seʁenite,
ʃasə də lεspʁi la vaʃəʁi, la mεskinəʁi, la movεzəte
sε boz- iø maskylɛ̃z- ɔ̃ tilz- admiʁe lə kɔʁ ny ʒɔli dynə fe ! ! !
sɔ̃ tilz- a pʁezɑ̃ deʒa dɑ̃ la mεʁ mɔʁtə dy sjεl dεz- astʁə ! ! !
lε ʁεjɔ̃ dy sɔlεj ɑ̃ sə matɛ̃ fʁε kʁεve lε sjøz- ɑ̃ dezastʁə
la ʁoze pεʁle də sɔ̃ vizaʒə kulə ʒyska lepiɡastʁə
də sɔ̃ vɑ̃tʁə dekuvεʁ paʁ la mitʁajə ɑ̃ pjastʁə,
vizjɔ̃ etʁɑ̃ʒə sə tablo, də tʁuve ʒɔli sə pəti lypinastʁə
ɑ̃tuʁe dotʁə- flœʁ vjɔlεtə pjeʁə- poze syʁ sə dezastʁə…
sε flœʁ vjɔlεtə, pjeʁə- poze syʁ sə dezastʁə lɑ̃tuʁe
dy vwalə mɔʁtɥεʁə dœ̃ simətjεʁə sɑ̃ pɔsiblə ʁətuʁ,
kʁwaze də ʃəmɛ̃z- ɑ̃ sɑ̃tje də paʁadi pεʁdy puʁ tuʒuʁ,
mɔ̃də ɛ̃sεʁtɛ̃, ɡeʁə e pε sɑ̃blə εtʁə a ʃakə vi lə diskuʁ
puʁ ʃakə vi il dwa ʁεste ynə plasə puʁ lɑ̃ʒə (u lastikɔt) εt lə votuʁ
lœ̃ sɑ̃ lotʁə, vi e mɔʁ, sε lə tɑ̃ ki desidə tuʒuʁ…
ʒɔʁʒəz- adʁjɛ̃ paʁadi
Syllabes Phonétique : Paradis Perdu…
pa=ʁa=di=pεʁ=dy 5lə=kœ=ʁə=ny=ɔ=fεʁ 6
a=la-ε=nə=də=la=ɡe=ʁə 8
sε=zi=ø=ɡʁɑ̃=zu=vεʁ 6
fik=se=lə=sjεl=pʁεs=kə=vεʁ 7
dɑ̃=lε=ʁə=flε=nes=dε=ze=klεʁ 8
dε=zɔ=ʁaʒə=vjɔ=lɑ̃=də=lɑ̃=fe 8
sə=la=fε=kεl=kzœʁ=kil=sɔ=mεjə 8
o=tuʁdə=lɥi=mys=ka=lə=syʁ=vεjə 8
la=ɡʁizəe=ba=na=lə=mu=ʃə=vεjə 8
syʁ=sɔ̃=ʒɔ=li=ʁə=ɡaʁ=vεʁ=mεj 8
εllə=vɔlə=ʁɔ̃flə=vi=bʁə=tεllə=la=bεjə 8
dɑ̃=lεʁ=u=lat=mɔs=fεʁə=sε=pa=ʁεj 9
sɔ̃=kœʁ=de=vε=ty=ny=mɔ=ʁi=bɔ̃ 9
sε=tɔ=fεʁ=dε=zœʁ=kεl=a=plɔ̃ 8
də=tiʁəo=flɑ̃k=sə=ʁε=sə=sɔ̃=nɔ̃ 8
mε=zɑ̃kɔʁə=pø=tεtʁə=pa=a=se=pʁɔ̃ 8
il=fo=bjɛ̃lə=diʁə=ɑ̃se=ʃa=pɑ̃=vεʁ=sə=syʁ=plɔ̃ 11
na=ty=ʁεl=dεbɔ̃bə=dε=mi=tʁajə=də=tus=lε=plɔ̃b 11
lεʒɑ̃bə=fa=ti=ɡe=a=lɔ̃=ʒe=si=y=ze 10
e=lε=pje=zalɔ̃bʁə=sɑ̃=ble=sə=ʁə=po=ze 10
lε=tʁε=sɔ̃=ti=ʁe=e=labuʃə=bjε=ze 9
vø=sɑ̃=ble=paʁ=le=dɑ̃=zœ̃=ʁik=tys=nu=ko=ze 12
lə=sɔ=lεj=dusə=mɑ̃sεʃə=la=ta=ʃə=syʁ=lə=kœʁ=ɡʁi=ze 13
inεʁtə=fi=ʒe=stʁa=ti=fje=lə=vɑ̃=su=fləynə=mε=ʃə=fʁi=ze 14
lεmuʃə=ɡʁizə=zu=nwa=ʁə=pɥi=vεʁ=tə=zu=blø 10
lεzynə=ze=lε=zotʁə=pɥi=tu=tə=sa=ta=ble=lə=mjø 12
pɔsiblə=puʁ=paʁ=ta=ʒe=tʁa=vaj=u=vʁaʒə=e=ljø 11
u=kɔ=mɑ̃se=lœʁ=uvʁaʒə=də=ne=kʁɔ=faʒə=zi=dø 11
lε=pjɔ=njεʁə=lε=ɡʁo=bʁa=lεɡʁɔsə=ɡʁi=zə=sa=kʁε=blø 12
sə=bo=da=mwa=zo=nε=ni=œ̃=nwa=zo=ni=œ̃=bœf=u=œ̃=ʒø 16
lasalə=ɡe=ʁə=dεzɔmə=nə=lo=ʁa=pa=e=pa=ʁɲe 11
o=ʁa=til=kɔ=ny=vʁε=mɑ̃=lamuʁalə=de=py=sə=le 12
səl=ɥi=la=sɛ̃=sεʁəe=pyʁ=kə=nyl=nə=pø=dy=kœʁ=a=ʁa=ʃe 15
səl=ɥi=kiɛ̃pʁεɲə=sε=ʁε=jɔ̃=də=le=ʒε=ʁə=te=də=se=ʁe=ni=te 16
ʃasə=də=lεs=pʁi=lavaʃə=ʁi=la=mεs=ki=nə=ʁi=la=mo=vε=zə=te 16
sε=bo=ziø=mas=ky=lɛ̃=zɔ̃=til=zad=mi=ʁe=lə=kɔʁ=ny=ʒɔlidynə=fe 16
sɔ̃=til=za=pʁe=zɑ̃=de=ʒa=dɑ̃=lamεʁmɔʁtə=dy=sjεl=dε=zas=tʁə 14
lε=ʁε=jɔ̃=dy=sɔ=lεj=ɑ̃sə=ma=tɛ̃=fʁε=kʁε=ve=lε=sjø=zɑ̃=de=zas=tʁə 18
la=ʁo=ze=pεʁ=le=də=sɔ̃vizaʒə=ku=lə=ʒys=ka=le=pi=ɡas=tʁə 15
də=sɔ̃vɑ̃tʁə=de=ku=vεʁ=paʁ=la=mi=tʁajəɑ̃=pjas=tʁə 11
vi=zjɔ̃=e=tʁɑ̃ʒə=sə=ta=blo=də=tʁu=ve=ʒɔlisə=pə=ti=ly=pi=nas=tʁə 17
ɑ̃=tu=ʁe=dotʁə=flœʁ=vjɔlεtə=pje=ʁə=po=ze=syʁ=sə=de=zas=tʁə 15
sε=flœʁ=vjɔlεtə=pje=ʁə=po=ze=syʁ=sə=de=zas=tʁə=lɑ̃=tu=ʁe 15
dy=vwalə=mɔʁ=tɥεʁə=dœ̃=simə=tjε=ʁə=sɑ̃=pɔ=si=blə=ʁə=tuʁ 14
kʁwa=ze=də=ʃə=mɛ̃=zɑ̃=sɑ̃=tje=də=pa=ʁa=di=pεʁ=dy=puʁ=tu=ʒuʁ 17
mɔ̃dəɛ̃=sεʁ=tɛ̃=ɡe=ʁəe=pεsɑ̃bləε=tʁə=a=ʃa=kə=vi=lə=dis=kuʁ 14
puʁʃakə=vi=il=dwa=ʁεs=te=ynə=pla=sə=puʁ=lɑ̃=ʒə=u=las=ti=kɔt=εt=lə=vo=tuʁ 20
lœ̃=sɑ̃lotʁə=vi=e=mɔʁ=sεlə=tɑ̃=ki=de=si=də=tu=ʒuʁ 13
ʒɔʁ=ʒə=za=dʁj=ɛ̃=pa=ʁa=di 8
Récompense
Poesie sans commentaire
25/04/2024Poeme-France
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Poème Destin
Du 07/08/2019 23:15
L'écrit contient 434 mots qui sont répartis dans 8 strophes.