Prose:Ça S’est Passé Un 28 Juin !
A Propos de cette Prose
Ce récit poétique retrace le voyage de Jean-Jacques Rousseau, observateur du monde et messager des âmes. À travers ses promenades, ses réflexions et ses écrits, il nous invite à écouter la nature, à ressentir la profondeur des émotions humaines et à comprendre l’importance de la liberté et de l’égalité. Chaque mot devient une étincelle qui éclaire l’esprit et touche le coeur, révélant la beauté de l’homme et la sagesse intemporelle de ses idées.
La Prose
Depuis toujours, j’ai eu le sentiment de marcher sur un fil entre le monde visible et l’univers intérieur, où la nature et l’homme se répondent dans un murmure invisible. Certains diraient que mon histoire appartient aux traités de philosophie ou aux livres d’autobiographie, mais pour moi, elle se déroule dans les clairières, le long des rivières et dans le souffle des forêts, là où chaque émotion et chaque instant deviennent matière à réflexion et à écriture.
Je suis né un 28 juin 1712, à Genève, dans une maison qui semblait déjà m’inviter à l’écoute du monde. Mon nom est Jean-Jacques Rousseau, et très tôt, j’ai senti que la nature possédait une voix que l’homme oublie trop souvent. Les oiseaux, les ruisseaux et le vent étaient mes premiers maîtres, m’apprenant la liberté, la sincérité et la mélodie des choses simples.
Mes écrits sont nés de cette observation constante : dans Les Rêveries du promeneur solitaire, j’ai laissé parler mes promenades, mes pensées et mes émotions, comme pour confier au temps le secret de la vie intérieure. Dans Émile ou De l’éducation, j’ai cherché à transmettre la sagesse que l’homme reçoit de la nature, à montrer que l’éducation doit suivre le rythme de l’âme et du coeur plutôt que les conventions artificielles.
Et puis vint Le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, où j’ai analysé comment la société corrompt la liberté et engendre des inégalités artificielles. Là, j’ai proclamé que tous les hommes naissent libres et égaux par nature, mais que les privilèges, la richesse et le pouvoir ont créé des différences qui éloignent l’homme de sa véritable essence. Cette réflexion allait devenir un phare, guidant les consciences vers la justice, l’égalité et le respect des libertés individuelles.
Chaque texte est comme un miroir de mes promenades et de mes pensées : un reflet de la nature humaine et de son dialogue avec le monde. Les villes, la société et les artifices de la civilisation ne m’émerveillaient guère ; ce qui comptait, c’était l’authenticité de l’instant, la sincérité des sentiments et la profondeur des réflexions. J’ai appris à mêler émotion et raison, poésie et philosophie, comme si chaque mot était une étoile à semer dans l’esprit des lecteurs.
Un jour, mes guides invisibles m’ont fait comprendre que ma mission n’était pas seulement d’écrire pour moi, mais de toucher le coeur de chaque lecteur, de lui montrer que l’homme peut retrouver sa liberté intérieure, sa sensibilité, sa communion avec la nature, et surtout le respect de l’égalité et de la dignité de tous ses semblables. Mes écrits deviennent alors des ponts, reliant le visible et l’invisible, le présent et l’éternité, l’émotion et la raison.
Aujourd’hui, je demeure dans le bruissement des feuilles, le murmure des rivières, dans le frisson de l’aube et le souffle du vent. Mes idées continuent à résonner à travers les âmes
attentives, rappelant que la liberté, la sensibilité, et le respect de l’égalité entre les hommes sont des forces capables de transformer la vie.
Ainsi, voyageur des siècles et observateur de l’âme humaine, je laisse mes écrits et mes promenades s’épanouir comme des fleurs de lumière dans le jardin des esprits, pour que quiconque ouvre ses yeux et son coeur puisse entendre la musique douce et éternelle de la nature, où la liberté, l’égalité, l’émotion et la sagesse dansent ensemble dans le choeur vibrant des âmes.
Je suis né un 28 juin 1712, à Genève, dans une maison qui semblait déjà m’inviter à l’écoute du monde. Mon nom est Jean-Jacques Rousseau, et très tôt, j’ai senti que la nature possédait une voix que l’homme oublie trop souvent. Les oiseaux, les ruisseaux et le vent étaient mes premiers maîtres, m’apprenant la liberté, la sincérité et la mélodie des choses simples.
Mes écrits sont nés de cette observation constante : dans Les Rêveries du promeneur solitaire, j’ai laissé parler mes promenades, mes pensées et mes émotions, comme pour confier au temps le secret de la vie intérieure. Dans Émile ou De l’éducation, j’ai cherché à transmettre la sagesse que l’homme reçoit de la nature, à montrer que l’éducation doit suivre le rythme de l’âme et du coeur plutôt que les conventions artificielles.
Et puis vint Le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, où j’ai analysé comment la société corrompt la liberté et engendre des inégalités artificielles. Là, j’ai proclamé que tous les hommes naissent libres et égaux par nature, mais que les privilèges, la richesse et le pouvoir ont créé des différences qui éloignent l’homme de sa véritable essence. Cette réflexion allait devenir un phare, guidant les consciences vers la justice, l’égalité et le respect des libertés individuelles.
Chaque texte est comme un miroir de mes promenades et de mes pensées : un reflet de la nature humaine et de son dialogue avec le monde. Les villes, la société et les artifices de la civilisation ne m’émerveillaient guère ; ce qui comptait, c’était l’authenticité de l’instant, la sincérité des sentiments et la profondeur des réflexions. J’ai appris à mêler émotion et raison, poésie et philosophie, comme si chaque mot était une étoile à semer dans l’esprit des lecteurs.
Un jour, mes guides invisibles m’ont fait comprendre que ma mission n’était pas seulement d’écrire pour moi, mais de toucher le coeur de chaque lecteur, de lui montrer que l’homme peut retrouver sa liberté intérieure, sa sensibilité, sa communion avec la nature, et surtout le respect de l’égalité et de la dignité de tous ses semblables. Mes écrits deviennent alors des ponts, reliant le visible et l’invisible, le présent et l’éternité, l’émotion et la raison.
Aujourd’hui, je demeure dans le bruissement des feuilles, le murmure des rivières, dans le frisson de l’aube et le souffle du vent. Mes idées continuent à résonner à travers les âmes
attentives, rappelant que la liberté, la sensibilité, et le respect de l’égalité entre les hommes sont des forces capables de transformer la vie.
Ainsi, voyageur des siècles et observateur de l’âme humaine, je laisse mes écrits et mes promenades s’épanouir comme des fleurs de lumière dans le jardin des esprits, pour que quiconque ouvre ses yeux et son coeur puisse entendre la musique douce et éternelle de la nature, où la liberté, l’égalité, l’émotion et la sagesse dansent ensemble dans le choeur vibrant des âmes.

Poète Albertb
Albertb a publié sur le site 123 écrits. Albertb est membre du site depuis l'année 2024.Lire le profil du poète AlbertbSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Ça S’est Passé Un 28 Juin !
de=puis=tou=jours=jai=eu=le=sen=ti=ment=de=mar=cher=sur=un=fil=en=tre=le=mon=de=vi=si=ble=et=lu=ni=vers=in=té=rieur=où=la=na=tu=re=et=l=hom=me=se=ré=pon=dent=dans=un=mur=mu=re=in=vi=sible=cer=tains=di=raient=que=mon=his=toi=re=ap=par=tient=aux=trai=tés=de=phi=lo=so=phie=ou=aux=li=vres=dau=to=bio=gra=phie=mais=pour=moi=el=le=se=dé=rou=le=dans=les=clai=riè=res=le=long=des=ri=viè=res=et=dans=le=souf=fle=des=fo=rêts=là=où=cha=que=é=mo=ti=on=et=cha=que=ins=tant=de=vien=nent=ma=tiè=re=à=ré=flexion=et=à=é=cri=ture 136je=suis=né=un=vingt=hu=it=juin=mil=le=sept=cent=dou=ze=à=ge=nè=ve=dans=u=ne=mai=son=qui=sem=blait=dé=jà=min=vi=ter=à=lé=cou=te=du=mon=de=mon=nom=est=jean=jac=ques=rous=seau=et=très=tôt=jai=sen=ti=que=la=na=tu=re=pos=sé=dait=u=ne=voix=que=l=hom=me=ou=blie=trop=souvent=les=oi=seaux=les=ruis=seaux=et=le=vent=é=taient=mes=pre=mi=ers=maî=tres=map=pre=nant=la=li=ber=té=la=sin=cé=ri=té=et=la=mé=lo=die=des=cho=ses=sim=ples 110
mes=é=crits=sont=nés=de=cet=te=ob=ser=va=ti=on=cons=tan=te=dans=les=rê=ve=ries=du=pro=me=neur=so=li=tai=re=jai=lais=sé=par=ler=mes=pro=me=na=des=mes=pen=sées=et=mes=é=mo=ti=ons=com=me=pour=con=fi=er=au=temps=le=se=cret=de=la=vie=in=té=rieu=re=dans=é=mi=le=ou=de=lé=du=ca=ti=on=jai=cher=ché=à=trans=met=tre=la=sa=ges=se=que=l=hom=me=re=çoit=de=la=na=tu=re=à=mon=trer=que=lé=du=ca=ti=on=doit=sui=vre=le=ryth=me=de=lâ=me=et=du=coeur=plu=tôt=que=les=con=ven=ti=ons=ar=ti=fi=cielles 132
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cha=que=tex=teest=comme=un=mi=roir=de=mes=prome=na=des=et=de=mes=pen=sées=un=re=flet=de=la=na=tu=re=hu=mai=ne=et=de=son=dia=lo=gue=a=vec=le=monde=les=villes=la=so=cié=té=et=les=ar=ti=fi=ces=de=la=ci=vi=li=sa=tion=ne=mé=mer=veillaient=guè=re=ce=qui=comp=tait=cé=tait=lau=then=ti=ci=té=de=lins=tant=la=sin=cé=ri=té=des=sen=ti=ments=et=la=pro=fon=deur=des=ré=flexions=jai=ap=pris=à=mê=ler=é=mo=tion=et=rai=son=poé=sie=et=phi=lo=so=phie=com=me=si=cha=que=mot=é=tait=u=ne=é=toi=le=à=se=mer=dans=les=prit=des=lec=teurs 136
un=jour=mes=gui=des=in=vi=si=bles=mont=fait=com=pren=dre=que=ma=mis=sion=né=tait=pas=seu=le=ment=dé=cri=re=pour=moi=mais=de=tou=cher=le=coeur=de=cha=que=lec=teur=de=lui=mon=trer=que=l=hom=me=peut=re=trou=ver=sa=li=ber=té=in=té=rieu=re=sa=sen=si=bi=li=té=sa=com=mu=nion=a=vec=la=na=tu=re=et=sur=tout=le=res=pect=de=lé=ga=li=té=et=de=la=di=gni=té=de=tous=ses=sem=bla=bles=mes=é=crits=de=vien=nent=a=lors=des=ponts=re=liant=le=vi=si=ble=et=lin=vi=si=ble=le=pré=sent=et=lé=ter=ni=té=lé=mo=ti=on=et=la=rai=son 136
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Phonétique : Ça S’est Passé Un 28 Juin !
dəpɥi tuʒuʁ, ʒε y lə sɑ̃timɑ̃ də maʁʃe syʁ œ̃ fil ɑ̃tʁə lə mɔ̃də viziblə e lynivez- ɛ̃teʁjœʁ, u la natyʁə e lɔmə sə ʁepɔ̃de dɑ̃z- œ̃ myʁmyʁə ɛ̃viziblə. sεʁtɛ̃ diʁε kə mɔ̃n- istwaʁə apaʁtjɛ̃ o tʁεte də filozɔfi u o livʁə- dotɔbjɔɡʁafi, mε puʁ mwa, εllə sə deʁulə dɑ̃ lε klεʁjεʁə, lə lɔ̃ dε ʁivjεʁəz- e dɑ̃ lə suflə dε fɔʁε, la u ʃakə emɔsjɔ̃ e ʃakə ɛ̃stɑ̃ dəvjεne matjεʁə a ʁeflεksjɔ̃ e a ekʁityʁə.ʒə sɥi ne œ̃ vɛ̃t- ɥi ʒɥɛ̃ milə sεt sɑ̃ duzə, a ʒənεvə, dɑ̃z- ynə mεzɔ̃ ki sɑ̃blε deʒa mɛ̃vite a lekutə dy mɔ̃də. mɔ̃ nɔ̃ ε ʒɑ̃ ʒak ʁuso, e tʁε to, ʒε sɑ̃ti kə la natyʁə pɔsedε ynə vwa kə lɔmə ubli tʁo suvɑ̃. lεz- wazo, lε ʁɥisoz- e lə vɑ̃ etε mε pʁəmje mεtʁə, mapʁənɑ̃ la libεʁte, la sɛ̃seʁite e la melɔdi dε ʃozə sɛ̃plə.
mεz- ekʁi sɔ̃ nes də sεtə ɔpsεʁvasjɔ̃ kɔ̃stɑ̃tə : dɑ̃ lε ʁεvəʁi dy pʁɔmənœʁ sɔlitεʁə, ʒε lεse paʁle mε pʁɔmənadə, mε pɑ̃sez- e mεz- emɔsjɔ̃, kɔmə puʁ kɔ̃fje o tɑ̃ lə sεkʁε də la vi ɛ̃teʁjəʁə. dɑ̃z- emilə u də ledykasjɔ̃, ʒε ʃεʁʃe a tʁɑ̃smεtʁə la saʒεsə kə lɔmə ʁəswa də la natyʁə, a mɔ̃tʁe kə ledykasjɔ̃ dwa sɥivʁə lə ʁitmə də lamə e dy kœʁ plyto kə lε kɔ̃vɑ̃sjɔ̃z- aʁtifisjεllə.
e pɥi vɛ̃ lə diskuʁ syʁ lɔʁiʒinə e lε fɔ̃dəmɑ̃ də lineɡalite paʁmi lεz- ɔmə, u ʒε analize kɔmɑ̃ la sɔsjete kɔʁɔ̃ la libεʁte e ɑ̃ʒɑ̃dʁə dεz- ineɡalitez- aʁtifisjεllə. la, ʒε pʁɔklame kə tus lεz- ɔmə nεse libʁəz- e eɡo paʁ natyʁə, mε kə lε pʁivilεʒə, la ʁiʃεsə e lə puvwaʁ ɔ̃ kʁee dε difeʁɑ̃sə ki elwaɲe lɔmə də sa veʁitablə esɑ̃sə. sεtə ʁeflεksjɔ̃ alε dəvəniʁ œ̃ faʁə, ɡidɑ̃ lε kɔ̃sjɑ̃sə vεʁ la ʒystisə, leɡalite e lə ʁεspε dε libεʁtez- ɛ̃dividɥεllə.
ʃakə tεkstə ε kɔmə œ̃ miʁwaʁ də mε pʁɔmənadəz- e də mε pɑ̃se : œ̃ ʁəflε də la natyʁə ymεnə e də sɔ̃ djalɔɡ avεk lə mɔ̃də. lε vilə, la sɔsjete e lεz- aʁtifisə də la sivilizasjɔ̃ nə memεʁvεjε ɡεʁə, sə ki kɔ̃tε, setε lotɑ̃tisite də lɛ̃stɑ̃, la sɛ̃seʁite dε sɑ̃timɑ̃z- e la pʁɔfɔ̃dœʁ dε ʁeflεksjɔ̃. ʒε apʁiz- a mεle emɔsjɔ̃ e ʁεzɔ̃, pɔezi e filozɔfi, kɔmə si ʃakə mo etε ynə etwalə a səme dɑ̃ lεspʁi dε lεktœʁ.
œ̃ ʒuʁ, mε ɡidəz- ɛ̃viziblə mɔ̃ fε kɔ̃pʁɑ̃dʁə kə ma misjɔ̃ netε pa sələmɑ̃ dekʁiʁə puʁ mwa, mε də tuʃe lə kœʁ də ʃakə lεktœʁ, də lɥi mɔ̃tʁe kə lɔmə pø ʁətʁuve sa libεʁte ɛ̃teʁjəʁə, sa sɑ̃sibilite, sa kɔmynjɔ̃ avεk la natyʁə, e syʁtu lə ʁεspε də leɡalite e də la diɲite də tus sε sɑ̃blablə. mεz- ekʁi dəvjεne alɔʁ dε pɔ̃, ʁəljɑ̃ lə viziblə e lɛ̃viziblə, lə pʁezɑ̃ e letεʁnite, lemɔsjɔ̃ e la ʁεzɔ̃.
oʒuʁdɥi, ʒə dəməʁə dɑ̃ lə bʁɥisəmɑ̃ dε fœjə, lə myʁmyʁə dε ʁivjεʁə, dɑ̃ lə fʁisɔ̃ də lobə e lə suflə dy vɑ̃. mεz- ide kɔ̃tinɥe a ʁezɔne a tʁavεʁ lεz- amə
atɑ̃tivə, ʁapəlɑ̃ kə la libεʁte, la sɑ̃sibilite, e lə ʁεspε də leɡalite ɑ̃tʁə lεz- ɔmə sɔ̃ dε fɔʁsə- kapablə də tʁɑ̃sfɔʁme la vi.
ɛ̃si, vwajaʒœʁ dε sjεkləz- e ɔpsεʁvatœʁ də lamə ymεnə, ʒə lεsə mεz- ekʁiz- e mε pʁɔmənadə sepanuiʁ kɔmə dε flœʁ də lymjεʁə dɑ̃ lə ʒaʁdɛ̃ dεz- εspʁi, puʁ kə kikɔ̃kə uvʁə sεz- iøz- e sɔ̃ kœʁ pɥisə ɑ̃tɑ̃dʁə la myzikə dusə e etεʁnεllə də la natyʁə, u la libεʁte, leɡalite, lemɔsjɔ̃ e la saʒεsə dɑ̃se ɑ̃sɑ̃blə dɑ̃ lə ʃœʁ vibʁɑ̃ dεz- amə.
Syllabes Phonétique : Ça S’est Passé Un 28 Juin !
dəp=ɥi=tu=ʒuʁ=ʒε=y=lə=sɑ̃=ti=mɑ̃=də=maʁ=ʃe=syʁ=œ̃=fil=ɑ̃=tʁə=lə=mɔ̃=də=vi=zi=blə=e=ly=ni=veʁ=zɛ̃=te=ʁjœʁ=u=la=na=ty=ʁə=e=lɔ=mə=sə=ʁe=pɔ̃=de=dɑ̃=zœ̃=myʁ=my=ʁə=ɛ̃=vi=zi=blə=sεʁ=tɛ̃=di=ʁε=kə=mɔ̃=nis=twa=ʁə=a=paʁ=tjɛ̃=o=tʁε=te=də=fi=lo=zɔ=fi=u=o=li=vʁə=do=tɔ=bjɔ=ɡʁa=fi=mε=puʁ=mwa=εl=lə=sə=de=ʁu=lə=dɑ̃=lε=klε=ʁjε=ʁə=lə=lɔ̃=dε=ʁi=vjε=ʁə=ze=dɑ̃=lə=su=flə=dε=fɔ=ʁε=la=u=ʃa=kə=e=mɔ=sjɔ̃=e=ʃa=kə=ɛ̃s=tɑ̃=də=vjε=ne=ma=tjε=ʁə=a=ʁe=flεk=sjɔ̃=e=a=e=kʁi=tyʁə 136ʒə=sɥi=ne=œ̃=vɛ̃t=ɥi=ʒɥɛ̃=mi=lə=sεt=sɑ̃=du=zə=a=ʒə=nε=və=dɑ̃=zy=nə=mε=zɔ̃=ki=sɑ̃=blε=de=ʒa=mɛ̃=vi=te=a=le=ku=tə=dy=mɔ̃=də=mɔ̃=nɔ̃=ε=ʒɑ̃=ʒak=ʁu=so=e=tʁε=to=ʒε=sɑ̃=ti=kə=la=na=ty=ʁə=pɔ=se=dε=y=nə=vwa=kə=lɔ=mə=u=bli=tʁo=su=vɑ̃=lε=zwa=zo=lε=ʁɥi=so=ze=lə=vɑ̃=e=tε=mε=pʁə=mj=e=mε=tʁə=ma=pʁə=nɑ̃=la=li=bεʁ=te=la=sɛ̃=se=ʁi=te=e=la=me=lɔ=di=dε=ʃo=zə=sɛ̃=plə 108
mε=ze=kʁi=sɔ̃=nes=də=sε=tə=ɔp=sεʁ=va=sj=ɔ̃=kɔ̃s=tɑ̃=tə=dɑ̃=lε=ʁε=və=ʁi=dy=pʁɔ=mə=nœ=ʁə=sɔ=li=tε=ʁə=ʒε=lε=se=paʁ=le=mε=pʁɔ=mə=na=də=mε=pɑ̃=se=ze=mε=ze=mɔ=sj=ɔ̃=kɔ=mə=puʁ=kɔ̃=fj=e=o=tɑ̃=lə=sε=kʁε=də=la=vi=ɛ̃=te=ʁj=ə=ʁə=dɑ̃=ze=mi=lə=u=də=le=dy=ka=sj=ɔ̃=ʒε=ʃεʁ=ʃe=a=tʁɑ̃s=mε=tʁə=la=sa=ʒε=sə=kə=lɔ=mə=ʁə=swa=də=la=na=ty=ʁə=a=mɔ̃=tʁe=kə=le=dy=ka=sj=ɔ̃=dwa=sɥi=vʁə=lə=ʁit=mə=də=la=mə=e=dy=kœ=ʁə=ply=to=kə=lε=kɔ̃=vɑ̃=sjɔ̃=zaʁ=ti=fi=sjεl=lə 134
e=pɥivɛ̃lə=dis=kuʁ=syʁ=lɔ=ʁi=ʒi=nəe=lε=fɔ̃də=mɑ̃=də=li=ne=ɡa=li=te=paʁ=mi=lε=zɔ=mə=u=ʒε=a=na=li=ze=kɔ=mɑ̃=la=sɔ=sje=te=kɔ=ʁɔ̃=la=li=bεʁ=te=e=ɑ̃=ʒɑ̃=dʁə=dε=zi=ne=ɡa=li=te=zaʁ=ti=fi=sjεllə=la=ʒε=pʁɔ=kla=me=kə=tus=lε=zɔ=mə=nε=se=li=bʁə=ze=e=ɡo=paʁ=na=ty=ʁə=mε=kə=lε=pʁi=vi=lε=ʒə=la=ʁi=ʃε=səe=lə=pu=vwaʁ=ɔ̃=kʁe=e=dε=di=fe=ʁɑ̃=sə=ki=e=lwa=ɲe=lɔ=mə=də=sa=ve=ʁi=ta=bləe=sɑ̃=sə=sε=tə=ʁe=flεk=sjɔ̃=a=lε=də=və=niʁ=œ̃=fa=ʁə=ɡi=dɑ̃=lε=kɔ̃=sjɑ̃=sə=vεʁ=la=ʒys=ti=sə=le=ɡa=li=te=e=lə=ʁεs=pε=dε=li=bεʁ=te=zɛ̃=di=vid=ɥεllə 152
ʃakə=tεk=stəε=kɔməœ̃=mi=ʁwaʁdə=mε=pʁɔ=mə=na=də=ze=də=mε=pɑ̃=se=œ̃=ʁə=flε=də=la=na=ty=ʁəy=mε=nə=e=də=sɔ̃=dja=lɔɡ=a=vεk=lə=mɔ̃=də=lε=vi=lə=la=sɔ=sje=te=e=lε=zaʁ=ti=fi=sə=də=la=si=vi=li=za=sjɔ̃=nə=me=mεʁ=vε=jε=ɡε=ʁə=sə=ki=kɔ̃=tε=se=tε=lo=tɑ̃=ti=si=te=də=lɛ̃s=tɑ̃=la=sɛ̃=se=ʁi=te=dε=sɑ̃=ti=mɑ̃=ze=la=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=dε=ʁe=flεk=sjɔ̃=ʒε=a=pʁi=za=mε=le=e=mɔ=sjɔ̃=e=ʁε=zɔ̃=pɔ=e=zi=e=fi=lo=zɔ=fi=kɔ=mə=si=ʃa=kə=mo=e=tε=y=nə=e=twa=lə=a=sə=me=dɑ̃=lεs=pʁi=dε=lεk=tœʁ 137
œ̃=ʒuʁ=mε=ɡi=də=zɛ̃=vi=zi=blə=mɔ̃=fε=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=kə=ma=mi=sj=ɔ̃=ne=tε=pa=sə=lə=mɑ̃=de=kʁi=ʁə=puʁ=mwa=mε=də=tu=ʃe=lə=kœʁ=də=ʃa=kə=lεk=tœʁ=də=lɥi=mɔ̃=tʁe=kə=lɔ=mə=pø=ʁə=tʁu=ve=sa=li=bεʁ=te=ɛ̃=te=ʁjə=ʁə=sa=sɑ̃=si=bi=li=te=sa=kɔ=my=nj=ɔ̃=a=vεk=la=na=ty=ʁə=e=syʁ=tu=lə=ʁεs=pε=də=le=ɡa=li=te=e=də=la=di=ɲi=te=də=tus=sε=sɑ̃=bla=blə=mε=ze=kʁi=də=vjε=ne=a=lɔʁ=dε=pɔ̃=ʁə=ljɑ̃=lə=vi=zi=blə=e=lɛ̃=vi=zi=blə=lə=pʁe=zɑ̃=e=le=tεʁ=ni=te=le=mɔ=sjɔ̃=e=la=ʁε=zɔ̃ 136
o=ʒuʁ=dɥi=ʒə=də=mə=ʁə=dɑ̃=lə=bʁɥi=sə=mɑ̃=dε=fœ=jə=lə=myʁ=my=ʁə=dε=ʁi=vj=ε=ʁə=dɑ̃=lə=fʁi=sɔ̃=də=lo=bə=e=lə=su=flə=dy=vɑ̃=mε=zi=de=kɔ̃=tin=ɥe=a=ʁe=zɔ=ne=a=tʁa=vεʁ=lε=za=mə 53
a=tɑ̃=ti=və=ʁa=pə=lɑ̃=kə=la=li=bεʁ=te=la=sɑ̃=si=bi=li=te=e=lə=ʁεs=pε=də=le=ɡa=li=te=ɑ̃=tʁə=lε=zɔ=mə=sɔ̃=dε=fɔʁ=sə=ka=pa=blə=də=tʁɑ̃s=fɔʁ=me=la=vi 45
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Poesie sans commentaire

12/09/2025Poeme-France
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Prose Poésie
Du 11/09/2025 17:51
L'écrit contient 602 mots qui sont répartis dans 8 strophes.