Prose:Bizarre Promenade 3Ème Suite Et Fin.
La Prose
Bizarre promenade. (Suite et fin. ) .
Le plus modestement possible, je m’adressai à la voix avec déférence, de la même façon, sans doute mentalement, car mes lèvres demeuraient scellées, ce que j’avais fini par remarquer avec étonnement. « Non, je ne connais aucun monsieur Planck pas plus que son mur d’ailleurs » dis je, pensant qu’il s’agissait d’un mur pour le moins étonnant de toute manière.
La voix reprit sur le ton du professeur s’adressant au cancre de la classe : « Mon ami, tu n’es pas sans savoir quelque chose à propos du fameux Big-Bang ? Tu sais bien, c’est de cet événement qu’est parti l’univers et depuis lors, il est en constante expansion. Eh bien, c’est d’ici qu’il est parti, et c’est ici qu’il reviendra quand tout sera fini ! Mon tout petit ami, sais tu que tu es dans un endroit plus petit qu’un atome ? Tout le monde scientifique se demande ce qu’il y a derrière ce fameux mur et toi, tu y es, tu t’en rends compte ? ».
En fait je ne me rendais compte de rien car si j’avais comme tout le monde entendu parler des débuts supposés de l’univers, je n’étais pas assez curieux pour m’intéresser davantage aux secrets qui dépassent le commun des mortels. « Oui, mais il n’y a rien ! » répondis je faiblement. Abasourdi, je me trouvais donc au point d’origine de l’univers tout entier, excusez du peu. « Mais qui êtes vous ? » Osais je dire timidement… Mais la voix continuait : « Un jour, l’univers tout entier retrouvera sa place en cet endroit et la boucle sera bouclée.
J’allais me risquer à la question de savoir ce qui se trouvait au-delà de cette cellule éclairée ou je me trouvais, quand je fus pris d’un vertigineux tourbillon de lumières de la couleur d’un arc en ciel. J’entendais malgré tout la voix qui poursuivait, comme si on lisait mes pensées, » Tu le sauras toujours assez tôt, mon ami, Monsieur Planck est passé par ici aussi mais n’est pas reparti ; dis toi qu’il en a appris plus en un millième de seconde qu’en une vie de recherche ! Tu n’es pas à ta place ici, du moins pas encore, une légère erreur cosmique sans doute. «
Alors, d’un ton qui ne souffrait aucun commentaire, la voix m’intima cet ordre : » Vas ! «, le tourbillon s’accéléra, et emporté dans une énergie incroyable, je me retrouvai séance tenante aux pieds du vieux Christ du calvaire par ou j’étais entré. Chancelant, le cœur à l’envers, je vis celui ci tourner la tête vers moi avec un sourire bienveillant. C’en était de trop, je crus bien m’évanouir de stupeur, de terreur, de tout ce qu’on peut bien éprouver en pareil moment.
Pour la seconde fois de cette journée, que dis je, de cette nuit, ou plutôt de ces instants suspendus dans un temps ou je ne distinguais plus rien de normal, pour la seconde fois donc, je sentis mes genoux chanceler et je chus lourdement dans une inconscience totale, face contre terre.
Mon état ne dura pas fort longtemps assurément car déjà, de vagues paroles venues d’un au-delà hypothétique ou d’outre tombe, qu’en savais je, emplissaient ma pauvre caboche. Une voix me parlait comme au ralenti articulant chaque mot comme pour le décomposer, et moi, décomposé aussi peut être, j’émergeais péniblement des brumes du temps !
J’ouvris les yeux et je vis un ange blond penché au dessus de moi. Un ange vêtu de vert pâle avec un stéthoscope à la main. Derrière, j’entendais ma douce moitié dire : » C’est en voulant remettre un livre de vulgarisation scientifique dans la bibliothèque, qu’il est tombé en bas de la chaise, je lui avais dit de prendre l’échelle mais il ne m’écoute jamais.
Et moi qui était persuadé avoir frôlé les mystères de l’univers et avoir parlé au grand architecte, quelle désillusion, j’étais simplement tombé comme une pomme. Grandeur et décadence !
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Le mur de Planck est la frontière entre le monde physique et le monde mathématique pur. Cette frontière est la limite du temps entre l’avant et l’après-bigbang. Cette membrane, enfermée dans le cône d’espace-temps, contient tout l’univers et pourtant, elle a une taille encore plus petite que celle d’un atome. Dans ce mur, les mesures n’existent plus, tout est en évolution constante. Bien entendu, cela reste une théorie car nous ne l’avons pas encore vérifiée, mais tous les scientifiques sont d’accord pour voir le monde ainsi. Ce mur est fait d’informations et du secret de l’univers. Wikipédia**
Le plus modestement possible, je m’adressai à la voix avec déférence, de la même façon, sans doute mentalement, car mes lèvres demeuraient scellées, ce que j’avais fini par remarquer avec étonnement. « Non, je ne connais aucun monsieur Planck pas plus que son mur d’ailleurs » dis je, pensant qu’il s’agissait d’un mur pour le moins étonnant de toute manière.
La voix reprit sur le ton du professeur s’adressant au cancre de la classe : « Mon ami, tu n’es pas sans savoir quelque chose à propos du fameux Big-Bang ? Tu sais bien, c’est de cet événement qu’est parti l’univers et depuis lors, il est en constante expansion. Eh bien, c’est d’ici qu’il est parti, et c’est ici qu’il reviendra quand tout sera fini ! Mon tout petit ami, sais tu que tu es dans un endroit plus petit qu’un atome ? Tout le monde scientifique se demande ce qu’il y a derrière ce fameux mur et toi, tu y es, tu t’en rends compte ? ».
En fait je ne me rendais compte de rien car si j’avais comme tout le monde entendu parler des débuts supposés de l’univers, je n’étais pas assez curieux pour m’intéresser davantage aux secrets qui dépassent le commun des mortels. « Oui, mais il n’y a rien ! » répondis je faiblement. Abasourdi, je me trouvais donc au point d’origine de l’univers tout entier, excusez du peu. « Mais qui êtes vous ? » Osais je dire timidement… Mais la voix continuait : « Un jour, l’univers tout entier retrouvera sa place en cet endroit et la boucle sera bouclée.
J’allais me risquer à la question de savoir ce qui se trouvait au-delà de cette cellule éclairée ou je me trouvais, quand je fus pris d’un vertigineux tourbillon de lumières de la couleur d’un arc en ciel. J’entendais malgré tout la voix qui poursuivait, comme si on lisait mes pensées, » Tu le sauras toujours assez tôt, mon ami, Monsieur Planck est passé par ici aussi mais n’est pas reparti ; dis toi qu’il en a appris plus en un millième de seconde qu’en une vie de recherche ! Tu n’es pas à ta place ici, du moins pas encore, une légère erreur cosmique sans doute. «
Alors, d’un ton qui ne souffrait aucun commentaire, la voix m’intima cet ordre : » Vas ! «, le tourbillon s’accéléra, et emporté dans une énergie incroyable, je me retrouvai séance tenante aux pieds du vieux Christ du calvaire par ou j’étais entré. Chancelant, le cœur à l’envers, je vis celui ci tourner la tête vers moi avec un sourire bienveillant. C’en était de trop, je crus bien m’évanouir de stupeur, de terreur, de tout ce qu’on peut bien éprouver en pareil moment.
Pour la seconde fois de cette journée, que dis je, de cette nuit, ou plutôt de ces instants suspendus dans un temps ou je ne distinguais plus rien de normal, pour la seconde fois donc, je sentis mes genoux chanceler et je chus lourdement dans une inconscience totale, face contre terre.
Mon état ne dura pas fort longtemps assurément car déjà, de vagues paroles venues d’un au-delà hypothétique ou d’outre tombe, qu’en savais je, emplissaient ma pauvre caboche. Une voix me parlait comme au ralenti articulant chaque mot comme pour le décomposer, et moi, décomposé aussi peut être, j’émergeais péniblement des brumes du temps !
J’ouvris les yeux et je vis un ange blond penché au dessus de moi. Un ange vêtu de vert pâle avec un stéthoscope à la main. Derrière, j’entendais ma douce moitié dire : » C’est en voulant remettre un livre de vulgarisation scientifique dans la bibliothèque, qu’il est tombé en bas de la chaise, je lui avais dit de prendre l’échelle mais il ne m’écoute jamais.
Et moi qui était persuadé avoir frôlé les mystères de l’univers et avoir parlé au grand architecte, quelle désillusion, j’étais simplement tombé comme une pomme. Grandeur et décadence !
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Le mur de Planck est la frontière entre le monde physique et le monde mathématique pur. Cette frontière est la limite du temps entre l’avant et l’après-bigbang. Cette membrane, enfermée dans le cône d’espace-temps, contient tout l’univers et pourtant, elle a une taille encore plus petite que celle d’un atome. Dans ce mur, les mesures n’existent plus, tout est en évolution constante. Bien entendu, cela reste une théorie car nous ne l’avons pas encore vérifiée, mais tous les scientifiques sont d’accord pour voir le monde ainsi. Ce mur est fait d’informations et du secret de l’univers. Wikipédia**
PostScriptum
Le but était de participer en même temps pour Halloween, soyez indulgent envers un petit conteur débutant.
Poète Loup Gris
Loup Gris a publié sur le site 121 écrits. Loup Gris est membre du site depuis l'année 2012.Lire le profil du poète Loup GrisSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Bizarre Promenade 3Ème Suite Et Fin.
bizaʁə pʁɔmənadə. (sɥitə e fɛ̃. ) .lə plys mɔdεstəmɑ̃ pɔsiblə, ʒə madʁesε a la vwa avεk defeʁɑ̃sə, də la mεmə fasɔ̃, sɑ̃ dutə mɑ̃taləmɑ̃, kaʁ mε lεvʁə- dəməʁε sεlle, sə kə ʒavε fini paʁ ʁəmaʁke avεk etɔnəmɑ̃. « nɔ̃, ʒə nə kɔnεz- okœ̃ məsjø plɑ̃k asteʁiskə asteʁiskə pa plys kə sɔ̃ myʁ dajəʁs » dis ʒə, pɑ̃sɑ̃ kil saʒisε dœ̃ myʁ puʁ lə mwɛ̃z- etɔnɑ̃ də tutə manjεʁə.
la vwa ʁəpʁi syʁ lə tɔ̃ dy pʁɔfesœʁ sadʁesɑ̃ o kɑ̃kʁə də la klasə : « mɔ̃ ami, ty nε pa sɑ̃ savwaʁ kεlkə ʃozə a pʁɔpo dy famø biɡ bɑ̃ɡ ? ty sε bjɛ̃, sε də sεt evenəmɑ̃ kε paʁti lynivez- e dəpɥi lɔʁ, il εt- ɑ̃ kɔ̃stɑ̃tə εkspɑ̃zjɔ̃. ε bjɛ̃, sε disi kil ε paʁti, e sεt- isi kil ʁəvjɛ̃dʁa kɑ̃ tu səʁa fini ! mɔ̃ tu pəti ami, sε ty kə ty ε dɑ̃z- œ̃n- ɑ̃dʁwa plys pəti kœ̃n- atɔmə ? tu lə mɔ̃də siifikə sə dəmɑ̃də sə kil i a dəʁjεʁə sə famø myʁ e twa, ty i ε, ty tɑ̃ ʁɑ̃ kɔ̃tə ? ».
ɑ̃ fε ʒə nə mə ʁɑ̃dε kɔ̃tə də ʁjɛ̃ kaʁ si ʒavε kɔmə tu lə mɔ̃də ɑ̃tɑ̃dy paʁle dε deby sypoze də lynive, ʒə netε pa ase kyʁjø puʁ mɛ̃teʁese davɑ̃taʒə o sεkʁε ki depase lə kɔmœ̃ dε mɔʁtεl. « ui, mεz- il ni a ʁjɛ̃ ! » ʁepɔ̃di ʒə fεbləmɑ̃. abazuʁdi, ʒə mə tʁuvε dɔ̃k o pwɛ̃ dɔʁiʒinə də lynive tut- ɑ̃tje, εkskyze dy pø. « mε ki εtə vu ? » ozε ʒə diʁə timidəmɑ̃… mε la vwa kɔ̃tinɥε : « œ̃ ʒuʁ, lynive tut- ɑ̃tje ʁətʁuvəʁa sa plasə ɑ̃ sεt ɑ̃dʁwa e la buklə səʁa bukle.
ʒalε mə ʁiske a la kεstjɔ̃ də savwaʁ sə ki sə tʁuvε o dəla də sεtə sεllylə eklεʁe u ʒə mə tʁuvε, kɑ̃ ʒə fy pʁi dœ̃ vεʁtiʒinø tuʁbijɔ̃ də lymjεʁə də la kulœʁ dœ̃n- aʁk ɑ̃ sjεl. ʒɑ̃tɑ̃dε malɡʁe tu la vwa ki puʁsɥivε, kɔmə si ɔ̃ lizε mε pɑ̃se, » ty lə soʁa tuʒuʁz- ase to, mɔ̃n- ami, məsjø plɑ̃k ε pase paʁ isi osi mε nε pa ʁəpaʁti, di twa kil ɑ̃n- a apʁi plysz- ɑ̃n- œ̃ miljεmə də səɡɔ̃də kɑ̃n- ynə vi də ʁəʃεʁʃə ! ty nε pa a ta plasə isi, dy mwɛ̃ pa ɑ̃kɔʁə, ynə leʒεʁə eʁœʁ kɔsmikə sɑ̃ dutə. «
alɔʁ, dœ̃ tɔ̃ ki nə sufʁε okœ̃ kɔmɑ̃tεʁə, la vwa mɛ̃tima sεt ɔʁdʁə : » vas ! «, lə tuʁbijɔ̃ sakseleʁa, e ɑ̃pɔʁte dɑ̃z- ynə enεʁʒi ɛ̃kʁwajablə, ʒə mə ʁətʁuvε seɑ̃sə tənɑ̃tə o pje dy vjø kʁist dy kalvεʁə paʁ u ʒetεz- ɑ̃tʁe. ʃɑ̃səlɑ̃, lə kœʁ a lɑ̃vεʁ, ʒə vis səlɥi si tuʁne la tεtə vεʁ mwa avεk œ̃ suʁiʁə bjɛ̃vεjɑ̃. sɑ̃n- etε də tʁo, ʒə kʁys bjɛ̃ mevanuiʁ də stypœʁ, də teʁœʁ, də tu sə kɔ̃ pø bjɛ̃ epʁuve ɑ̃ paʁεj mɔmɑ̃.
puʁ la səɡɔ̃də fwa də sεtə ʒuʁne, kə di ʒə, də sεtə nɥi, u plyto də sεz- ɛ̃stɑ̃ syspɑ̃dys dɑ̃z- œ̃ tɑ̃z- u ʒə nə distɛ̃ɡε plys ʁjɛ̃ də nɔʁmal, puʁ la səɡɔ̃də fwa dɔ̃k, ʒə sɑ̃ti mε ʒənu ʃɑ̃səle e ʒə ʃys luʁdəmɑ̃ dɑ̃z- ynə ɛ̃kɔ̃sjɑ̃sə tɔtalə, fasə kɔ̃tʁə teʁə.
mɔ̃n- eta nə dyʁa pa fɔʁ lɔ̃tɑ̃z- asyʁemɑ̃ kaʁ deʒa, də vaɡ paʁɔlə vənɥ dœ̃n- o dəla ipɔtetikə u dutʁə tɔ̃bə, kɑ̃ savε ʒə, ɑ̃plisε ma povʁə kaboʃə. ynə vwa mə paʁlε kɔmə o ʁalɑ̃ti aʁtikylɑ̃ ʃakə mo kɔmə puʁ lə dekɔ̃poze, e mwa, dekɔ̃poze osi pø εtʁə, ʒemεʁʒε penibləmɑ̃ dε bʁymə dy tɑ̃ !
ʒuvʁi lεz- iøz- e ʒə vis œ̃n- ɑ̃ʒə blɔ̃ pɑ̃ʃe o dəsy də mwa. œ̃n- ɑ̃ʒə vεty də vεʁ palə avεk œ̃ stetɔskɔpə a la mɛ̃. dəʁjεʁə, ʒɑ̃tɑ̃dε ma dusə mwatje diʁə : » sεt- ɑ̃ vulɑ̃ ʁəmεtʁə œ̃ livʁə də vylɡaʁizasjɔ̃ siifikə dɑ̃ la bibljɔtεkə, kil ε tɔ̃be ɑ̃ ba də la ʃεzə, ʒə lɥi avε di də pʁɑ̃dʁə leʃεllə mεz- il nə mekutə ʒamε.
e mwa ki etε pεʁsɥade avwaʁ fʁole lε mistεʁə də lynivez- e avwaʁ paʁle o ɡʁɑ̃t- aʁʃitεktə, kεllə dezijyzjɔ̃, ʒetε sɛ̃pləmɑ̃ tɔ̃be kɔmə ynə pɔmə. ɡʁɑ̃dœʁ e dekadɑ̃sə !
dəɡʁe dəɡʁe dəɡʁe dəɡʁe
asteʁiskə asteʁiskə lə myʁ də plɑ̃k ε la fʁɔ̃tjεʁə ɑ̃tʁə lə mɔ̃də fizikə e lə mɔ̃də matematikə pyʁ. sεtə fʁɔ̃tjεʁə ε la limitə dy tɑ̃z- ɑ̃tʁə lavɑ̃ e lapʁε biɡbɑ̃ɡ. sεtə mɑ̃bʁanə, ɑ̃fεʁme dɑ̃ lə konə dεspasə tɑ̃, kɔ̃tjɛ̃ tu lynivez- e puʁtɑ̃, εllə a ynə tajə ɑ̃kɔʁə plys pətitə kə sεllə dœ̃n- atɔmə. dɑ̃ sə myʁ, lε məzyʁə nεɡziste plys, tut- εt- ɑ̃n- evɔlysjɔ̃ kɔ̃stɑ̃tə. bjɛ̃ ɑ̃tɑ̃dy, səla ʁεstə ynə teɔʁi kaʁ nu nə lavɔ̃ pa ɑ̃kɔʁə veʁifje, mε tus lε siifik sɔ̃ dakɔʁ puʁ vwaʁ lə mɔ̃də ɛ̃si. sə myʁ ε fε dɛ̃fɔʁmasjɔ̃z- e dy sεkʁε də lynive. wikipedja asteʁiskə asteʁiskə
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
01/11/2012 18:19Eden33
aucune indulgence !!
J’ai tout simplement gobé jusqu’au bout et avec la gourmandise telle une enfant capricieuse qui serait tentée de lire encore et encore !
Volià, je saurai pour le mur de planck
grand merci,
01/11/2012 18:29Tulipe Noire
Jolie histoire pleine de suspens, qui m’a emporté vers un autre monde c’est vrai Existant, merci mon ami Loup gris et pour te dire que tu as une véritable belle plume qui sait raconter, , merci.
01/11/2012 18:47Loup Gris
Gmlavie, j’aime bien ce que tu me dis là, si ça t’a plus, c’est super, merci.
01/11/2012 18:49Loup Gris
Tulipe noire, content que le dénouement de cette petite série t’ai plu, merci de l’avoir appréciée.
01/11/2012 19:50Nouga
super la saga
a la prochaine
02/11/2012 17:55Loup Gris
Merci Luky d’avoir aimé ce petit conte bizarre. Amitiés, Loup
A toi aussi Nouga, mes amitiés d’avoir terminé la saga!
01/01/2013 07:29La Petite Etoile
Tu es un remarquable conteur en plus de nous apprendre des notions en physique ! ^^
Tu as un bon style d’écriture, très fluide qui donne envie de lire la suite.
Ce qui serait intéressant maintenant ce serait de faire l’analyse et l’interprétation de ce rêve ! ^^
Moment de lecture fort agréable
Amitié,
La Petite Etoile
02/01/2013 17:07Loup Gris
Merci d’avoir lu ce texte, la Petite Etoile, merci de ta générosité au sujet de mon style, heureux que cette petite histoire t’aie plue, amitiés, Loup
Prose Désordre
Du 01/11/2012 17:59
L'écrit contient 800 mots qui sont répartis dans 2 strophes.