Poème:George1

C’était au printemps 1952,
Quand Francine sentie les premières contraction, Charle laboures ses champs et ne pu être présent ce jour là.
Pascale, sa sœur aînée lui donna les premiers soin en attendant le docteur,
Que sa fille Marie-Lou était partie chercher en ville, avec la vieille cariole,
Qui avait du mal à avancer. Après 3longues heures de route, Marie-Lou trouva enfin le toubib
, &Quot ; Dr Stanley&quot ; , en la voyant arrivai il compris de suite,
Il prit sa trousse et sans un mot il monta dans son automobile, une vieille catrel bleu et roula à toute vitesse, en 30minute il était sur place.
La tête du bébé commencé déjà à sortir. Francine du haut de ces 20ans fut très courageuse, le toubib la félicita et l’encouragea.
C’est ainsi que le petit george Charle Brinex venu au monde.
C’était le 17 avril 1952, il peser 50cm pour 3, 850kg… Francine en été fière, son petit george roux comme de la rouille, rempli de petite tâche de rousseur, brailler tout en cherchant le sein de sa mère…
Marie-Lou, avait trouver Charle et elle le ramener à la maison, ses yeux brilla de larmes lorsqu’il vit le spectacle qui s’offrait à lui
. Son fils était né, et en parfaite santé, sa femme le nourrissait, le sourir et la joie illuminée la pièce ou la nuit commençait à tomber…
Pascale et Marie-Lou répartis à la ville, laissant les nouveaux parents admirer leur progéniture. 6mois George commençait à avoir ces première dents,
Les nuits ce faisaient longues pour le jeune couple et Francine devenait de plus en plus fatigués, tellement fatigués qu’un matin elle n’arriva plus à se lever.
Charle toucha son front, il était bouillant, il prit George dans ses bras le déposa dans son berceau.
Il coura jusqu’à la ville en quête du docteur il était au domicile des Dutcle,
Qui, malheureusement souffraient de la même fièvre que Francine.
Cette année la fût la pire de toute, femmes, hommes, enfants mouraient d’une maladie dont on ne connaissaient pas encore le nom, et qui ne pouvaient se soignés…
. Ce jour là Francine ferma les yeux, posa sa tête entre les bras de Charle, embrasse son petit George et lui chuchota des mots, que seul lui pouvait entendre.
La lumière ne brillait plus, elle s’était éteinte en même temps que Francine.
Charle éleva seul son fils, l’emmenant avec lui dans les champs, en ville les gens l’admirers et disaient de lui qu’il était un homme brave et courageux, mais triste et solitaire.
Il refusait de se remarier. Il regardait sont fils unique grandir. …