Poème:Journal Intime

16 mai
Il est 3h du mât, et les mots s’écoulent sur le papier.
Combien de temps n’ai-je pas dormi ?
Je ne sais plus, il n’y a plus un bruit.
Tu as claquer la porte.
Un beau jour, comme ça.
En quelques sorte tu avais tout préparer déjà.
J’imagine tout ce qui aurai pu être dit.
Sans crier, ni pleurer.
J’imagine tout ces non-dit
Que l’on aurai dut s’envoyer.
Mais déjà le jour ce lève et la nuit s’achève.
Je dois me préparai, les enfants vont bientôt ce réveiller.

7h café serré, encore en pleure de ces nuits agités.
Je fais de mon mieu pour cacher ce visage gonflé.
Par les pleures, mais les images défilent à touts heures.
Je ne comprend toujours pas,
Ce qui à pu ce passer,
Ont étaient si bien
Durant ces années.
21h journée terminé, je t’ais vue cet après-midi
Lui offrir des fleurs, devant le café.
Ce fut un bonheur pour elle de t’embrassais.
J’en suis rester meurtrie,
Au fond de mes pensées.
Je dois t’oubliais…
17 mai
1h du mât.
Encore une nuit à t’écrire.
Je ne sais pas pourquoi je continue.
Seule mes enfants me redonne le sourir.
Comme un fantôme je ère dans la nuit.
Tournant mille question sur ma vie.
Je t’ai téléphoner aujourd’hui.
Entendre ta voix, c’est tout ce que j’avais envie.
Bien sur elle était la j’imagine.
T’embrassant avec amour
Je devine.
7h je regarde ma montre,
Trop tôt pour se lever.
Pas le choix je dois m’absentai.
Je ne t’écrirais plus ces décider.
Je tourne la page.
Te laissant à ces côtés.

Journal intime.