Poème:A Toi Qui M’a Aimé

De part un amour partagé,
Une vie brisé,
Une fille sans espoir sombre
Dans une ombre errante.
Auprès de ce cœur effacé,
Elle se noie de chagrin au bord
D’un abîme disséminé ;
Une éternelle attente annonce
La mort d’une illusion languissante.
Une espérance inouie envahit
Par une sensation d’humilité,
De peur et de haine dans son propre cœur.
Un songe fraternel, un seul, celui de le revoir.
C’est une perte qui ne lui est syninyme que de pleurs.
La fille flotte dans un charnel cyclone de désespoir.
Les jours, les heures passent, la vie demeure.
Que nos amours, nos âmes, nos corps nous reviennent.
Un pas, un seul, ne s’effectuera-t-il donc pas,
Même dans nos cœurs ?