Poème:L’objet.

Je suis pied et poings liées deriere mon écran de verre,
Une larme coule, elle est d’acier et tranche, tranche mes veinnes,
Je sais que les illusion, toutes oréolées de souvenirs son vaines,
Tu m’en à fait voire de toutes les couleurs, mais tu ne m’a donner que les vertes…

Je n’ai plus envi de te conaitre, mais je le veux,
C’est en moi, j’en ai besoin, de ta seule amitiée,
Mais je n’ai plus envi d’etre un jouet, un jeu,
Qu’un couple même construit utilise comme pare feux…

Alors s’en est fini, même si je pleur, je vais partir,
L’on oubli jamais rien, tu le sais, ELLE le dit,
On vit avec, donc bien sur je n’oubli,
Et si tu poste encore des poemes ici, je viendrait les lires,

Je comblerais un peut le grand creux qui est née en souvenir de toi,
Mais j’effacerait ton nom, c’est sur, tu ne sera plus là,
Je souffre et j’ai tres mal, mais au revoir aussi…
Je te laisserait d’autres commentaires, gages d’oubli…