Poème:Cette Vérité Troublante

Refermée sur ma prison de verre
Je croyais que sur moi se résumait l’enfer
Tu caches si bien ton jeux
On ne croierait que tu n’as jamais aussi souffert
Car toi tu est entré dans le monde de tous ceux
Qui autefois n’avais voulu que ta peau

En moi se tiraille cette nouvelle vérité
Quel choc se fut je dois à présent l’avouer
Je n’y aurais jamais pensé
Toi qui m’as si souvent sauvé

Quelle grande marque de confiance
Car même ton père est dans l’ignorance
Je félicite ton courage
D’avoir su tourner la page

Mes yeux s’embuent, car j’y ai cru
Que notre amitié ne se soudait seulement
Qu’à mes problèmes d’écervellés

C’est pourtant si clair
Tout s’explique en un instant
Merci un million de fois
Je m’excuse d’avoir douter de toi
Ces parole ne s’envelont pas vers la mer
Cet instant me restera, tant déchirant fut-il

Je t’offrirais un millier de fleurs
Mais elles ne réussiraient pas à chasser tes malheurs
J’espère que tu vois dans ton cœur
Que tu as eu raison de me parler de tout ça
Puis que cette confidence restera notre
Comme tu l’as si bien fait pour moi