Poème:Toi Qui Lis Mon Poème

Ceux qui ne crient pas leur amour
N’aiment pas vraiment !
Et moi, je crierai de toutes mes forces
Pour que,
Les oiseaux cessent de chanter,
Les rivières s’arrêtent de couler,
Les vents s’empêchent de souffler
Afin de m’entendre te dire
Je t’aime

Je t’aime et je m’importe avec
Le palpitement de tes cils,
Quand tu es heureuse
Le ruissellement de tes larmes chaudes,
Quand tu es triste
Le tremblement de ton petit corps frêle,
Quand tu es inquiète

Je t’aime en vivant avec l’espoir
De toucher tes lèvres de merveille,
De gouter leur saveur sensuelle
De poser ma tête sur ta tendre poitrine
Pour écouter les battements de ton cœur
Cette musique éternelle
D’enlacer ta taille gracile
Pour atteindre ton âme sublime

Je t’aime et je ne cesserai de t’aimer
Même si cette flamme est
Un mur infranchissable,
Un rêve irréalisable

Je t’aime et personne ne m’empêchera
De te choyer,
De te chérir
De tomber,
Pour que tu te relèves
De mourir,
Pour que tu vives

Je t’aime et je t’aimerai toujours
Toi, qui lis mon poème