Poème:Priere A Une Déesse

Je regardait le ciel doux et humide j’aimais vraiment cela que manquait-t-il lorsque la nature semblait heureuse ? peut être la présence d’une femme a mes cotés mais pas n’importe quelle femme Myriadelle… ce n’est qu’une utopie un rêve qui peut coûter cher très cher comme pour mon ami kalisgaust… la fureur des Dieux peut être terrible pour nous simple mortelle. Quand je pense a cela je reste nostalgique une telle puissance qui reste là qui nous écrase et nous domine souriant et fatal a la fois !

Au ma déesse ai-je déjà poussé votre âme a me haïr je ne penses pas ! Mais mon amis qu’a t-il fait de mal un baiser ? L’amour est un pêcher depuis quand ? Je ne comprend pas les Dieux et heureusement j’en suis si Loing quel serait un monde que je gouvernerais ? Sans doute sans aucun sens puis-je en donner un pour ma propre vie sans être aveugle face a ce qui me fait face ? j’aimerai que ma vie soit une plaine que je pourrais contempler du lever du soleil jusqu’à son coucher. mais la vie n’est pas si simple, un état d’âme et la plaine se voit pousser des colline qui cache la vue. des sentiments surgissent nous restons la sans rien sans tout.

Au ma déesse je me recommande a vous je me demande quelle est la force de votre âme qu’elle puissance peut avoir celle qui n’a pas de lever pas de coucher ? Celle qui est immobile fruit de tous les désir d’un mortel ? Tant de question sans réponse je ne suis qu’un mortel et pour ne pas vous ennuyer je dois être unique car vous en avez vu passer des mortels sous vos doux yeux qu’ais -je de plus qu’eux sans doute rien… je vous suis peut être indifférent en tout cas je dois trouver quelque chose qui fera vibrer votre cœur pour espérer non vous émouvoir mais tout au moins vous surprendre. la flamme qui déclenchera l’intérêt plus ou moins superficiel d’une déesse pour son priant… Quoique je puisse rester des heures voire qui sait une infinité devant un couché d’étoile si j’en avait la possibilité.

Tant de question mais je peut aussi vous offrir ces rimes preuve peut être d’une imagination je ne les considère pas supérieur a la prose mais je ne sais pas ce qui vous touche le plus fond ou forme, un peu des deux est-ce assez sûrement pas un fil de soie n’est jamais assez long jamais assez doux pour une déesse tel que vous mais celui que je possède couvrira une partie de votre sublime corps.

Au soleil Au lune donnée moi votre force faite élever ma parole
Toucher les cieux divin mots divine âme que nous possédons
Pour la gloire de Myriadelle, pour sa beauté moi qui l’ais vu
Pour l’honneur qu’elle ma fait laissez envoler mon chant

Je vous aime mais plus que sa je vous mon âme mais encore le sens de ma vie
Je jure d’accomplir votre volonté un voyage de mon âme
Une vie qui reste dans l’indicible qui ne fait rien qui reste floue
Un cœur qui bat au fil des saison au file de votre cœur ma déesse

Mon bras se porte le long de mon corps ma vie reste a vos pieds
Je ne me lasse pas de vous imaginez lorsque je vous ai vu
Une beauté fatale entouré de ce voile entouré de ce charme
Au douce lumière pénètre mon âme élève ma conscience pour la gloire de ma déesse

Je prie pour vous je prie pour moi je prie pour le salut de nos âmes
Je prie pour les étoiles dans le ciel si je peux les aidées
Je prie pour mon utopie pour ces fleures a mes pieds
Je prie pour la vie, l’amour l’amitié ces choses qui font de nous des hommes

Au doux poème gloire a ma déesse que serait-il sans passion
Que serait la vie sans passion, une étoffe au vent qui vas qui vient
Que serait cette étoffe sans le vent qui la pousse que serait ma vie sans vous
Que serait une étoffe sans sa couleur sans ce qui fait ce qu’elle est ?

J’aimerai un jours avoir une réflexion avec vous moi qui les chéries ces douces pensées. Je n’aime rien autant que les profondes réflexion sauf peut être vous. Mais avec vous quels bonheur que de choisir une sujet de montrez ce que vos mon âme et la votre fleure éclose au vent. Moi qui ne suis qu’une germe au soleil… J’aimerai voir le soleil se coucher sous vos yeux la rosé sur votre corps que de pensées sensuelles mais sans trace de désir sexuel mais plutôt vital.

Vraiment ces étoiles qui brille avec sur fond ce vide insensé qu’est le ciel, que cache-t-il ma vie ? La votre Myriadelle ? Je ne me lasse pas de voir cette eau qui coule a mes pieds je l’envie de voir les hommes grandir faiblir mourir et se moquer de la sorte sans impudence. Cette eaux est tout comme vous sauf qu’elle disparaîtra comme nous tous mais que deviendrez vous sans priants ? Sans personnes qui pense a vous, j’aimerais discuter avec vous en voyant la fin du monde a nos pieds, mais qu’est ce sinon des rêves divin ?

Au rêve divin que cacher vous derrière vous ?
Au gloire de tout les instants que voulez vous ?
Nous sommes a vous nous somme ici pour ces nuées
Nuées de tout temps de toute tendresse cachée

Que désirez vous ma déesse la voie a suivre
Je ne peut rien faire sans le soleil, le givre
Je voudrais rester là éternellement a vos pieds
Je voudras ne plus voir la lune le soleil se couché

Je ne puis qu’être peureux qu’être humain qu’être déçu
Déçu de ne pas vous contempler infiniment sa être déchu
Ma vie qu’elle est t-elle je vais mourir sans le savoir
Je ne peut restez là je dois avancer la déesse pour ne pas choir

Ma déesse toutes ces pensés sont pour vous chargée de mes émotions de ma tendresse de ma faiblesse acceptez les je vous prie. Moi qui prie dans l’ombre dans la lumière la votre. Vous qui éclairée ma vie ne vous arrêter pas sinon je ne serait plus. Mes sentiments ne faiblirons pas tant que vous resterez la près de nous, humains. Il ne sont pas tous digne de vous j’espère un jours l’être et alors j’aurais accomplit ma seule vision que j’ais du bonheur !

Une prière pour toute ces âmes qui ne sont plus
Une prière pour mes frère et sœur
Une prière pour l’éternité, l’immortalité
Et enfin elle vous sont toutes destinées reine des reines beauté des beautés vous qui éclipsé Éclipsé

Après un temps Balthasar regarda autour de lui… partout régnait la désolation, la mort le désarroi… il eu un regard vers le ciel mais ne vue que la terrible noirceur de cet enfer ! Sa déesse était peut être la mais il ne sentais plus son aura… Avait elle perdue confiance en lui ?
Après tout c’était normal il n’avait pas put protégé son amour mais sa vie ni l’objet de sa destiné !
En pensant a cela il vit un fantôme bondir sur lui, il riposta ! Il en avait marre de ce jeu, marre de la vie. Il était fatigué de ce retrouver au seuil de la mort en permanence ! Il ne devait plus douter pour au moins respecter la seule volonté qu’il puisse tenir face a sa déesse ! Le spectre s’éloigna et se fondit dans l’obscurité de ce triste lieu !

Au grande déesse regardez moi, je ne suis plus rien, une chose froide morte et qui est las de la vie las de mener ces combats stupide et éternel des humains ! C’est un triste jour, j’ai perdu ce que vous m’aviez confié j’ai tout perdu ce jours la !
Ma faiblesse ne ma permis de lutter pour la plume je n’ais put que la perdre ! Je n’avais pas la force de lutter contre Althurnae, il a été plus fort que moi, et je suis désolé ! désolé de vous offrir ce pitoyable spectacle de l’agonie d’un homme qui na rien réussi de sa vie hormis votre protection !

L’auberge va fermer, les OD se dirige vers elle pour la piller la brûler ! Nous ne pouvons résister nous sommes trop faible ! Ce n’est pas une lamentation, ma voix est plaine de rancœur a cette pensée ! Je me suis rendu compte de ma faiblesse, en ce triste jours !
J’ai tout perdue mon auberge que je ne pourrais défendre face au mal ! ma plume que vous m’avez aidée a conquérir, le peu de confiance dont j’était pétri !
Tout s’évapore il ne me reste plus rien ; le vide le néant, je ne ressent plus que la colère ! ma déesse accordez moi la pardon je suis en train de me perdre dans la haine, plus le temps passe plus je méprise ces humains je ne souhaite plus que leur mort !

A ces mots de chaudes larmes ruisselèrent sur ce qu on pourrais appeler le visage de Balthasar

Il ne me reste plus que votre amour et j’ais peur de ne pas pouvoir lui aussi le protéger ! J’ai échoué en tout ! Pourrais-je conserver le peu d’attention que vous me portez ? Répondez moi déesse je vous en supplie il me faut une réponse, avant de m’éteindre je me consume peu a peu ! Mon cœur est en train de voler en cendre et mon âme reflètent les restes de ma misérables apparence ! Si jamais vous ne m’aidez pas je vais périr comme un gueux au fond de son trou, je sais que ces paroles sont sombre mais l’heure en est bien choisie !

C’est l’histoire d’un homme, celle de tout un chacun ! Il se promenait des rêves en têtes la joie aux lèvres ! Il voulait aider une humanité aider les gens autour de lui. Mais il rencontra un problème les gens ne voulaient pas d’aide pas de bienveillance ! Il n’accorde de l’importance qu’au meurtre la haine ! Cet homme resta ému devant cette constatation, il vit que tous ces désirs ne servaient a rien, il ne pourrait rien faire pour ces rêves alors il pria ! Sa voie ce fit entendre et le tira du néant lentement mais sûrement !

Déesse vous êtes ma seule réussite je me remet a vous !