Poème:Un Jour ! Moi ! Il Y A Bien Longtemps… … … . . !

Un amour j’étais aux yeux de mes parents.
Moi ! en dehors de nos murs j’étais juste un enfant.
Un bout ! oui juste un bout, bon a s’asseoir sur un banc.
Perdu et égaré dans ce grand bâtiment de la tendresse parentale.
A mes yeux, j’entrais dans un monde décadent.

Rien ne semblait juste, c’en était hallucinant.
Je freinais mes larmes d’un tissus inexistant.
J’étais paralysé, tétanisé, j’en devenais inconscient.
Une femme, un homme, qu’importe pour moi, c’était des méchants.
J’étais toisé comme un animal, j’en devenais rampant.

Cette entrée en scolarité devait m’aidé a devenir grand.
Dans ma tête c’était une cohue de bons et mauvais arguments.
Mes faits et gestes étaient perçus avec ressentiments.
Mes dires, mes paroles m’étais rendues en échos désolants.
De jour en jour et d’obligations, j’en devint obéissant.
De mois en mois d’abnégations j’en fus reconnaissant.

D’années en années de résignation je devins adolescent.
Je n’étais ni bon ni mauvais, je n’étais même pas charmant.
Je jonglais avec l’insouciance à chaque instant.
Mais hélas ! avec assurance je faisais fit de ne pas être solvant.

Aujourd’hui, la sagesse et la réclusion aidant,
Je peux, sans compromis, la lucidité étant,
Qu’il faut aller chercher l’intelligence là ou est la connaissance,
S’en sera payas, j’en devint obéissant.
De mois en mois d’abnégations j’en fus reconnaissant.

D’années en années de résignation je devins adolescent.
Je n’étais ni bon ni mauvais, je n’étais même pas charmant.
Je jonglais avec l’insouciance à chaque instant.
Mais hélas ! avec assurance je faisais fit de ne pas être solvant.

Aujourd’hui, la sagesse et la réclusion aidant,
Je peux, sans compromis, la lucidité étant,
Qu’il faut aller chercher l’intelligence là ou est la connaissance,
S’en sera payant.