Univers de poésie d'un auteur

Poème:À Marine

Le Poème

Marine, François, Nicolas
Trois coureurs s’affrontaient sur la piste d’un stade
Sous l’œil d’un bookmaker spécialiste en trucage.
Quand soudain à mi-course Marine s’envola
Laissant François le pitre et Petit Nicolas
Loin derrière, haletants, visiblement à bout.
Mais notre bookmaker avait prévu le coup.
A chaque tour suivant, avant chaque passage
Sous les pieds de Marine il tirait les sondages,
De grossières ficelles qui la ralentissaient
Pour qu’elle retrouve enfin sa place de dernier.
Mais la foule s’émut, dévala les gradins
Et l’infâme tricheur s’enfuit avec les siens.
Il paraît que depuis ils vivent loin là-bas,
Au milieu des papous, François et Nicolas.

La gauche et le bourgeois
La gauche et le bourgeois un beau jour s’entendirent
Pour surpeupler la France, en secret, sans rien dire.
Le surnombre amena peu à peu la misère…
L’un eut des électeurs, l’autre des bas salaires.
Le bourgeois déclara que le peuple était sien,
« Pas du tout » dit la gauche « sans lui je ne suis rien »
« Et sans lui moi non plus » rétorqua le bourgeois
Alors il faudrait voir dit la gauche aux abois
Qui des deux à pouvoir sur ces moutons bêlants.
Ils s’attablèrent donc, devisèrent longtemps
Pour découvrir lequel était plus exigeant
Et profitait le mieux du stupide bétail.
A la fin fut conclu un accord général
Qui donnait à chacun tour à tour l’usufruit
Des laines du troupeau, des agneaux des brebis.
Il s’avéra qu’un jour Marine en promenant
Découvrit tout à coup le sort des pauvres gens.
Elle alla vers la gauche, alla vers le bourgeois,
Exprima sa colère, et ils dirent cela :
« Côtoyer le troupeau c’est marcher dans la bouse »
Mais nous étions alors en l’an 2012.
Marine décida de prendre le pouvoir
Et jeta ces deux-là aux orties de l’Histoire.

MARINE
Une brise MARINE a soufflé ce matin.
Elle a soufflé partout, tout au long des chemins.
« Debout » disait la brise à tous les braves gens,
« Debout, allez les gars, debout, tous, en avant ! ».
Alors le paysan s’étira, se leva
Et le maçon partit, gamelle sous le bras.
Le patron se planta devant son atelier
Et sourit au passage à tous ses ouvriers.
Et puis le fonctionnaire se saisit d’un dossier,
Et l’écolier finit, enfin, par s’éveiller.
« Debout ! » disait la brise.
Le bedeau accorda son vieil orgue et s’en fut,
Et le marin-pêcheur vérifia son chalut.
L’instituteur nota la date au tableau noir,
Le routier alluma son moteur et ses phares,
La caissière compta un à un ses billets,
L’infirmière enfila sa blouse immaculée.
« Debout ! » disait la brise.
Le commerçant fébrile fit quelques pas dehors,
Le pilote s’assit à son tableau de bord,
Le chercheur insomniaque se versa un café,
Le boulanger sortit la nouvelle fournée,
Le typo mit en page les dernières rumeurs,
Le soldat, impeccable, salua les couleurs.
« Debout ! » disait la brise.
Pendant que le dealer, le voleur, le violeur,
Racketteur, proxénète, politicien menteur,
Le siffleur insolent des hymnes nationaux,
L’incendieur de drapeau, d’autobus ou d’autos,
Ou l’agresseur de prof, le rappeur insultant,
Dormait paisiblement, dormait profondément.
« Debout ! » disait la brise.
Puis, elle se fit vent, le vent se fit tempête,
La tempête ouragan…
Qui balaya d’un coup dormeurs et malfaisants.
Une légère brise a soufflé ce matin…
Une brise MARINE…
Enfin,
Il était temps !
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PostScriptum

Notre pauvre monde est totalement pourri par le DIEU-COMMERCE, un Dieu-fou qui ne respecte rien ni personne, ni les races, ni les peuples, ni les nations, ni les cultures, qui s’amuse à surpeupler la planète et à mélanger les ethnies les plus incompatibles du monde pour avoir le plus de consommateurs possible, un Dieu qui joue à surpeupler, à sur-polluer, à sur-métisser et à sur-creuser les inégalités pour faire des affaires, des affaires, des affaires, des affaires et encore des affaires, un Dieu cruel et inhumain qui règne en maître incontesté, en tyran absolu, partout.
Partout on n’entend plus que le mot « marché », « marché de ceci », « marché de cela », « perte d’un marché », « ouverture d’un marché », on n’entend plus que les mots « plus cher », « moins cher », « bon marché », « meilleur marché », ou, « c’est la loi du marché », bref, le citoyen n’existe plus… seul le marché existe.

Face au Dieu-Commerce et à sa noblesse innombrables de prêtres et de fidèles terrifiants, autoritaires, impitoyables et châtieurs de commerçants, marchands, négociants et d’hommes d’affaires devant qui tout le monde a fini par baisser la tête… face à ces monstres, les seuls à s’opposer, c’est-à-dire LES NATIONALISTES font figure de héros.
Chaque nationaliste, aujourd’hui peut se considérer comme un héros.
N’OUBLIONS PAS QUE LES REVOLUTIONNAIRES DE 1789 FURENT DE PURS NATIONALISTES.
Quand ils ont mis à bas l’aristocratie du sang ils ne pensaient pas aux espagnols, aux anglais, aux italiens, aux siciliens, aux allemands, aux russes, aux tchétchènes, aux azéris, aux algériens ou aux turcs… ils pensaient à eux, purement et simplement à eux, à leur beau pays de France et aux Français.

LES NATIONALISTES SONT LES HEROS DES TEMPS MODERNES.

Poeme de Blanc

Poète Blanc

Blanc a publié sur le site 1 écrit. Blanc est membre du site depuis l'année 2012.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: À Marinema=ri=ne=fran=çois=ni=co=las 8
trois=cou=reurs=saf=fron=taient=sur=la=pis=te=dun=stade 12
sous=lœil=dun=book=ma=ker=s=pé=cia=listeen=tru=cage 12
quand=sou=dain=à=mi=course=ma=ri=ne=sen=vo=la 12
lais=sant=fran=çois=le=pitre=et=pe=tit=ni=co=las 12
loin=der=rière=ha=le=tants=vi=si=ble=ment=à=bout 12
mais=no=tre=book=ma=ker=a=vait=pré=vu=le=coup 12
a=cha=que=tour=sui=vant=a=vant=cha=que=pas=sage 12
sous=les=pieds=de=ma=rine=il=ti=rait=les=son=dages 12
de=gros=sières=fi=cel=les=qui=la=ra=len=tis=saient 12
pour=quel=le=re=trouveen=fin=sa=pla=ce=de=der=nier 12
mais=la=fou=le=sé=mut=dé=va=la=les=gra=dins 12
et=lin=fâ=me=tri=cheur=sen=fuit=a=vec=les=siens 12
il=pa=raît=que=de=puis=ils=vi=vent=loin=là=bas 12
au=mi=lieu=des=pa=pous=fran=çois=et=ni=co=las 12

la=gau=che=et=le=bour=geois 7
la=gauche=et=le=bour=geois=un=beau=jour=sen=ten=dirent 12
pour=sur=peu=pler=la=france=en=se=cret=sans=rien=dire 12
le=sur=nombre=a=me=na=peu=à=peu=la=mi=sère 12
lun=eut=des=é=lec=teurs=lau=tre=des=bas=sa=laires 12
le=bour=geois=dé=cla=ra=que=le=peuple=é=tait=sien 12
pas=du=tout=dit=la=gauche=sans=lui=je=ne=suis=rien 13
et=sans=lui=moi=non=plus=ré=tor=qua=le=bour=geois 13
a=lors=il=fau=drait=voir=dit=la=gauche=aux=a=bois 12
qui=des=deux=à=pou=voir=sur=ces=mou=tons=bê=lants 12
ils=sat=ta=blè=rent=donc=de=vi=sè=rent=long=temps 12
pour=dé=cou=vrir=le=quel=é=tait=plus=exi=geant 11
et=pro=fi=tait=le=mieux=du=stu=pi=de=bé=tail 12
a=la=fin=fut=con=clu=un=ac=cord=gé=né=ral 12
qui=don=nait=à=cha=cun=tour=à=tour=lu=su=fruit 12
des=lai=nes=du=trou=peau=des=a=gneaux=des=bre=bis 12
il=sa=vé=ra=quun=jour=ma=rine=en=pro=me=nant 12
dé=cou=vrit=tout=à=coup=le=sort=des=pau=vres=gens 12
elle=al=la=vers=la=gauche=al=la=vers=le=bour=geois 12
ex=pri=ma=sa=co=lère=et=ils=di=rent=ce=la 12
cô=toyer=le=trou=peau=cest=mar=cher=dans=la=bouse 12
mais=nous=é=tions=a=lors=en=lan=deux=mil=le=douze 12
ma=ri=ne=dé=ci=da=de=pren=dre=le=pou=voir 12
et=je=ta=ces=deux=là=aux=or=ties=de=lhis=toire 12

ma=ri=ne 3
une=bri=se=ma=ri=ne=a=souf=flé=ce=ma=tin 12
elle=a=souf=flé=par=tout=tout=au=long=des=che=mins 12
de=bout=di=sait=la=briseà=tous=les=bra=ves=gens 12
de=bout=al=lez=les=gars=de=bout=tous=en=a=vant 13
a=lors=le=pay=san=sé=ti=ra=se=le=va 11
et=le=ma=çon=par=tit=ga=mel=le=sous=le=bras 12
le=pa=tron=se=plan=ta=de=vant=son=a=te=lier 12
et=sou=rit=au=pas=sa=ge=à=tous=ses=ou=vriers 12
et=puis=le=fonc=tion=naire=se=sai=sit=dun=dos=sier 12
et=lé=co=li=er=fi=nit=en=fin=par=sé=veiller 12
de=bout=di=sait=la=bri=se 8
le=be=deau=ac=cor=da=son=vieil=or=gueet=sen=fut 12
et=le=ma=rin=pê=cheur=vé=ri=fia=son=cha=lut 12
lins=ti=tu=teur=no=ta=la=date=au=ta=bleau=noir 12
le=rou=tier=al=lu=ma=son=mo=teur=et=ses=phares 12
la=cais=si=è=re=comp=ta=un=à=un=ses=billets 12
lin=fir=mièreen=fi=la=sa=blou=se=im=ma=cu=lée 12
de=bout=di=sait=la=bri=se 8
le=com=mer=çant=fé=brile=fit=quel=ques=pas=de=hors 12
le=pi=lo=te=sas=sit=à=son=ta=bleau=de=bord 12
le=cher=cheur=in=som=nia=que=se=ver=sa=un=ca=fé 13
le=bou=lan=ger=sor=tit=la=nou=vel=le=four=née 12
le=ty=po=mit=en=page=les=der=niè=res=ru=meurs 12
le=sol=dat=im=pec=ca=ble=sa=lua=les=cou=leurs 12
de=bout=di=sait=la=bri=se 8
pen=dant=que=le=dea=ler=le=vo=leur=le=vio=leur 12
ra=cket=teur=proxé=nè=te=po=li=ti=cien=men=teur 12
le=sif=fleur=in=so=lent=des=hym=nes=na=tio=naux 12
lin=cen=dieur=de=dra=peau=dau=to=bus=ou=dau=tos 12
ou=la=gres=seur=de=prof=le=rap=peur=in=sul=tant 12
dor=mait=pai=si=ble=ment=dor=mait=pro=fon=dé=ment 12
de=bout=di=sait=la=bri=se 8
puis=el=le=se=fit=vent=le=vent=se=fit=tem=pête 12
la=tem=pê=te=ou=ra=gan 7
qui=ba=lay=a=dun=coup=dor=meurs=et=mal=fai=sants 12
une=lé=gè=re=bri=se=a=souf=flé=ce=ma=tin 12
u=ne=bri=se=ma=ri=ne 7
en=fin 2
il=é=tait=temps 4
Phonétique : À Marinemaʁinə, fʁɑ̃swa, nikɔla
tʁwa kuʁœʁ safʁɔ̃tε syʁ la pistə dœ̃ stadə
su lœj dœ̃ bukmake spesjalistə ɑ̃ tʁykaʒə.
kɑ̃ sudɛ̃ a mi kuʁsə maʁinə sɑ̃vɔla
lεsɑ̃ fʁɑ̃swa lə pitʁə e pəti nikɔla
lwɛ̃ dəʁjεʁə, alətɑ̃, vizibləmɑ̃ a bu.
mε nɔtʁə bukmake avε pʁevy lə ku.
a ʃakə tuʁ sɥivɑ̃, avɑ̃ ʃakə pasaʒə
su lε pje də maʁinə il tiʁε lε sɔ̃daʒə,
də ɡʁɔsjεʁə fisεllə ki la ʁalɑ̃tisε
puʁ kεllə ʁətʁuvə ɑ̃fɛ̃ sa plasə də dεʁnje.
mε la fulə semy, devala lε ɡʁadɛ̃
e lɛ̃famə tʁiʃœʁ sɑ̃fɥi avεk lε sjɛ̃.
il paʁε kə dəpɥiz- il vive lwɛ̃ la ba,
o miljø dε papus, fʁɑ̃swaz- e nikɔla.

la ɡoʃə e lə buʁʒwa
la ɡoʃə e lə buʁʒwaz- œ̃ bo ʒuʁ sɑ̃tɑ̃diʁe
puʁ syʁpəple la fʁɑ̃sə, ɑ̃ sεkʁε, sɑ̃ ʁjɛ̃ diʁə.
lə syʁnɔ̃bʁə aməna pø a pø la mizεʁə…
lœ̃n- y dεz- elεktœʁ, lotʁə dε ba salεʁə.
lə buʁʒwa deklaʁa kə lə pəplə etε sjɛ̃,
« pas dy tut » dit la ɡoʃə « sɑ̃ lɥi ʒə nə sɥi ʁjən »
« εt sɑ̃ lɥi mwa nɔ̃ plys » ʁetɔʁka lə buʁʒwa
alɔʁz- il fodʁε vwaʁ di la ɡoʃə oz- abwa
ki dε døz- a puvwaʁ syʁ sε mutɔ̃ bεlɑ̃.
il satablεʁe dɔ̃k, dəvizεʁe lɔ̃tɑ̃
puʁ dekuvʁiʁ ləkεl etε plysz- εɡziʒɑ̃
e pʁɔfitε lə mjø dy stypidə betaj.
a la fɛ̃ fy kɔ̃kly œ̃n- akɔʁ ʒeneʁal
ki dɔnε a ʃakœ̃ tuʁ a tuʁ lyzyfʁɥi
dε lεnə dy tʁupo, dεz- aɲo dε bʁəbi.
il saveʁa kœ̃ ʒuʁ maʁinə ɑ̃ pʁɔmənɑ̃
dekuvʁi tut- a ku lə sɔʁ dε povʁə- ʒɑ̃.
εllə ala vεʁ la ɡoʃə, ala vεʁ lə buʁʒwa,
εkspʁima sa kɔlεʁə, e il diʁe səla :
« kotwaje lə tʁupo sε maʁʃe dɑ̃ la buzə »
mε nuz- esjɔ̃z- alɔʁz- ɑ̃ lɑ̃ dø milə duzə.
maʁinə desida də pʁɑ̃dʁə lə puvwaʁ
e ʒəta sε dø la oz- ɔʁti də listwaʁə.

maʁinə
ynə bʁizə maʁinə a sufle sə matɛ̃.
εllə a sufle paʁtu, tut- o lɔ̃ dε ʃəmɛ̃.
« dəbut » dizε la bʁizə a tus lε bʁavə ʒɑ̃,
« dəbu, ale lε ɡaʁ, dəbu, tus, ɑ̃n- avɑ̃ ! ».
alɔʁ lə pεizɑ̃ setiʁa, sə ləva
e lə masɔ̃ paʁti, ɡamεllə su lə bʁa.
lə patʁɔ̃ sə plɑ̃ta dəvɑ̃ sɔ̃n- atəlje
e suʁi o pasaʒə a tus sεz- uvʁje.
e pɥi lə fɔ̃ksjɔnεʁə sə sεzi dœ̃ dɔsje,
e lekɔlje fini, ɑ̃fɛ̃, paʁ sevεje.
« dəbu ! » dizε la bʁizə.
lə bədo akɔʁda sɔ̃ vjεj ɔʁɡ e sɑ̃ fy,
e lə maʁɛ̃ pεʃœʁ veʁifja sɔ̃ ʃaly.
lɛ̃stitytœʁ nɔta la datə o tablo nwaʁ,
lə ʁutje alyma sɔ̃ mɔtœʁ e sε faʁə,
la kεsjεʁə kɔ̃ta œ̃n- a œ̃ sε bijε,
lɛ̃fiʁmjεʁə ɑ̃fila sa bluzə imakyle.
« dəbu ! » dizε la bʁizə.
lə kɔmεʁsɑ̃ febʁilə fi kεlk pa dəɔʁ,
lə pilɔtə sasi a sɔ̃ tablo də bɔʁ,
lə ʃεʁʃœʁ ɛ̃sɔmnjakə sə vεʁsa œ̃ kafe,
lə bulɑ̃ʒe sɔʁti la nuvεllə fuʁne,
lə tipo mit ɑ̃ paʒə lε dεʁnjεʁə ʁymœʁ,
lə sɔlda, ɛ̃pεkablə, salɥa lε kulœʁ.
« dəbu ! » dizε la bʁizə.
pɑ̃dɑ̃ kə lə dəale, lə vɔlœʁ, lə vjɔlœʁ,
ʁakεtœʁ, pʁɔksenεtə, pɔlitisjɛ̃ mɑ̃tœʁ,
lə siflœʁ ɛ̃sɔle dεz- imnə nasjɔno,
lɛ̃sɑ̃djœʁ də dʁapo, dotɔbysz- u doto,
u laɡʁesœʁ də pʁɔf, lə ʁapœʁ ɛ̃syltɑ̃,
dɔʁmε pεzibləmɑ̃, dɔʁmε pʁɔfɔ̃demɑ̃.
« dəbu ! » dizε la bʁizə.
pɥi, εllə sə fi vɑ̃, lə vɑ̃ sə fi tɑ̃pεtə,
la tɑ̃pεtə uʁaɡɑ̃…
ki balεja dœ̃ ku dɔʁmœʁz- e malfəzɑ̃.
ynə leʒεʁə bʁizə a sufle sə matɛ̃…
ynə bʁizə maʁinə…
ɑ̃fɛ̃,
il etε tɑ̃ !
Syllabes Phonétique : À Marinema=ʁi=nə=fʁɑ̃=swa=ni=kɔ=la 8
tʁwa=ku=ʁœʁ=sa=fʁɔ̃=tε=syʁ=la=pis=tə=dœ̃=stadə 12
su=lœj=dœ̃=buk=ma=ke=spe=sja=listə=ɑ̃=tʁy=kaʒə 12
kɑ̃=su=dɛ̃=a=mi=kuʁsə=ma=ʁi=nə=sɑ̃=vɔ=la 12
lε=sɑ̃=fʁɑ̃=swa=lə=pitʁə=e=pə=ti=ni=kɔ=la 12
lwɛ̃də=ʁjε=ʁə=a=lə=tɑ̃=vi=zi=blə=mɑ̃=a=bu 12
mε=nɔ=tʁə=buk=ma=ke=a=vε=pʁe=vy=lə=ku 12
a=ʃa=kə=tuʁ=sɥi=vɑ̃=a=vɑ̃=ʃa=kə=pa=saʒə 12
su=lε=pje=də=ma=ʁinə=il=ti=ʁε=lε=sɔ̃=daʒə 12
də=ɡʁɔ=sjεʁə=fi=sεl=lə=ki=la=ʁa=lɑ̃=ti=sε 12
puʁ=kεl=ləʁə=tʁuvə=ɑ̃=fɛ̃=sa=pla=sə=də=dεʁ=nje 12
mε=la=fu=lə=se=my=de=va=la=lε=ɡʁa=dɛ̃ 12
e=lɛ̃=fa=mə=tʁi=ʃœʁ=sɑ̃f=ɥi=a=vεk=lε=sjɛ̃ 12
il=pa=ʁε=kə=dəp=ɥi=zil=vi=ve=lwɛ̃=la=ba 12
o=mi=ljø=dε=pa=pus=fʁɑ̃=swa=ze=ni=kɔ=la 12

la=ɡo=ʃə=e=lə=buʁ=ʒwa 7
la=ɡoʃəe=lə=buʁ=ʒwa=zœ̃=bo=ʒuʁ=sɑ̃=tɑ̃=di=ʁe 12
puʁ=syʁ=pə=ple=la=fʁɑ̃sə=ɑ̃=sε=kʁε=sɑ̃=ʁjɛ̃=diʁə 12
lə=syʁ=nɔ̃bʁə=a=mə=na=pø=a=pø=la=mi=zεʁə 12
lœ̃=ny=dε=ze=lεk=tœʁ=lo=tʁə=dε=ba=sa=lεʁə 12
lə=buʁ=ʒwa=de=kla=ʁakə=lə=pə=plə=e=tε=sjɛ̃ 12
pas=dy=tut=dit=la=ɡoʃə=sɑ̃=lɥi=ʒə=nə=sɥi=ʁjən 13
εt=sɑ̃=lɥi=mwa=nɔ̃=plys=ʁe=tɔʁ=kalə=buʁ=ʒwa 12
a=lɔʁ=zil=fo=dʁε=vwaʁ=di=la=ɡoʃə=o=za=bwa 12
ki=dε=dø=za=pu=vwaʁ=syʁ=sε=mu=tɔ̃=bε=lɑ̃ 12
il=sa=ta=blε=ʁe=dɔ̃k=də=vi=zε=ʁe=lɔ̃=tɑ̃ 12
puʁ=de=ku=vʁiʁ=lə=kεl=e=tε=plys=zεɡ=zi=ʒɑ̃ 12
e=pʁɔ=fi=tε=lə=mjø=dy=sty=pi=də=be=taj 12
a=la=fɛ̃=fy=kɔ̃=kly=œ̃=na=kɔʁ=ʒe=ne=ʁal 12
ki=dɔ=nε=a=ʃa=kœ̃=tuʁ=a=tuʁ=ly=zyf=ʁɥi 12
dε=lε=nə=dy=tʁu=po=dε=za=ɲo=dε=bʁə=bi 12
il=sa=ve=ʁa=kœ̃=ʒuʁ=ma=ʁinə=ɑ̃=pʁɔ=mə=nɑ̃ 12
de=ku=vʁi=tu=ta=ku=lə=sɔʁ=dε=po=vʁə=ʒɑ̃ 12
εllə=a=la=vεʁ=la=ɡoʃə=a=la=vεʁ=lə=buʁ=ʒwa 12
εk=spʁi=ma=sa=kɔ=lεʁə=e=il=di=ʁe=sə=la 12
ko=twa=je=lə=tʁu=po=sε=maʁ=ʃe=dɑ̃=labuzə 12
mε=nu=ze=sjɔ̃=za=lɔʁ=zɑ̃=lɑ̃=dø=mi=lə=duzə 12
ma=ʁi=nə=de=si=da=də=pʁɑ̃=dʁə=lə=pu=vwaʁ 12
e=ʒə=ta=sε=dø=la=o=zɔʁ=ti=də=lis=twaʁə 12

ma=ʁi=nə 3
y=nə=bʁi=zə=ma=ʁinə=a=su=fle=sə=ma=tɛ̃ 12
εl=lə=a=su=fle=paʁ=tu=tu=to=lɔ̃=dεʃə=mɛ̃ 12
də=but=di=zε=la=bʁizəa=tus=lε=bʁa=və=ʒɑ̃ 12
də=bu=a=le=lε=ɡaʁ=də=bu=tus=ɑ̃=na=vɑ̃ 13
a=lɔʁ=lə=pε=i=zɑ̃=se=ti=ʁa=sə=lə=va 12
e=lə=ma=sɔ̃=paʁ=ti=ɡa=mεl=lə=su=lə=bʁa 12
lə=pa=tʁɔ̃=sə=plɑ̃=ta=də=vɑ̃=sɔ̃=na=tə=lje 12
e=su=ʁi=o=pa=sa=ʒə=a=tus=sε=zu=vʁje 12
e=pɥi=lə=fɔ̃k=sjɔ=nεʁə=sə=sε=zi=dœ̃=dɔ=sje 12
e=le=kɔ=lje=fi=ni=ɑ̃=fɛ̃=paʁ=se=vε=je 12
də=bu=di=zε=la=bʁi=zə 8
lə=bə=do=a=kɔʁ=da=sɔ̃=vjεj=ɔʁɡ=e=sɑ̃=fy 12
e=lə=ma=ʁɛ̃=pε=ʃœʁ=ve=ʁi=fja=sɔ̃=ʃa=ly 12
lɛ̃s=ti=ty=tœʁ=nɔ=ta=la=datə=o=ta=blo=nwaʁ 12
lə=ʁu=tje=a=ly=ma=sɔ̃=mɔ=tœʁ=e=sε=faʁə 12
la=kε=sjε=ʁə=kɔ̃=ta=œ̃=na=œ̃=sε=bi=jε 12
lɛ̃=fiʁ=mjεʁəɑ̃=fi=la=sa=blu=zə=i=ma=ky=le 12
də=bu=di=zε=la=bʁi=zə 8
lə=kɔ=mεʁ=sɑ̃=fe=bʁilə=fi=kεl=kə=pa=də=ɔʁ 12
lə=pi=lɔ=tə=sa=si=a=sɔ̃=ta=blo=də=bɔʁ 12
lə=ʃεʁ=ʃœʁ=ɛ̃=sɔm=njakə=sə=vεʁ=sa=œ̃=ka=fe 12
lə=bu=lɑ̃=ʒe=sɔʁ=ti=la=nu=vεl=lə=fuʁ=ne 12
lə=ti=po=mit=ɑ̃=paʒə=lε=dεʁ=njε=ʁə=ʁy=mœʁ 12
lə=sɔl=da=ɛ̃=pε=ka=blə=sal=ɥa=lε=ku=lœʁ 12
də=bu=di=zε=la=bʁi=zə 8
pɑ̃=dɑ̃kə=lə=də=a=le=lə=vɔ=lœʁ=lə=vjɔ=lœʁ 12
ʁa=kε=tœʁ=pʁɔk=se=nεtə=pɔ=li=ti=sjɛ̃=mɑ̃=tœʁ 12
lə=si=flœʁ=ɛ̃=sɔ=le=dε=zim=nə=na=sjɔ=no 12
lɛ̃=sɑ̃=djœʁ=də=dʁa=po=do=tɔ=bys=zu=do=to 12
u=la=ɡʁe=sœʁ=də=pʁɔf=lə=ʁa=pœʁ=ɛ̃=syl=tɑ̃ 12
dɔʁ=mε=pε=zi=blə=mɑ̃=dɔʁ=mε=pʁɔ=fɔ̃=de=mɑ̃ 12
də=bu=di=zε=la=bʁi=zə 8
pɥi=εl=lə=sə=fi=vɑ̃=lə=vɑ̃=sə=fi=tɑ̃=pεtə 12
la=tɑ̃=pε=tə=u=ʁa=ɡɑ̃ 7
ki=ba=lε=ja=dœ̃=ku=dɔʁ=mœʁ=ze=mal=fə=zɑ̃ 12
y=nə=le=ʒε=ʁə=bʁizə=a=su=fle=sə=ma=tɛ̃ 12
y=nə=bʁi=zə=ma=ʁi=nə 7
ɑ̃=fɛ̃ 2
il=e=tε=tɑ̃ 4

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Commentaire Sur La Poesie

Auteur de Poésie
17/03/2012 14:32Mikie95

Bien qu’en total déssacord avec le propos je souligne quand même la qualité littéraire des textes.

Poème Société
Du 16/03/2012 18:55

L'écrit contient 575 mots qui sont répartis dans 3 strophes.