Poème:Amis, Ennemis

Mon cœur est libre, mon cœur est seul
Brisé, émietté, alors j’ai les idées pas très nettes.
Après un échec, je veux, comme beaucoup, finir seul
Mais avant de faire une connerie, je comptabilise mes amis d’Internet.

Ami, Amour, jouet, traître, frère…
Tant de mot qui me qualifie depuis de cette aventure,
J’ai vécu tant de chose, que je ne pourrais en faire marche arrière.
Même si certain de mes actes me torturent.
Je vais me les écrire ici au fur et à mesure.

Il y a cette fille pour qui je suis un traître,
Car malgré ce besoin de conseil, je l’ai sermonné.
A croire que je me prenais pour son maître.
Mais je sais que je ne suis pas à pardonner.
D’ailleurs je ne le demande pas,
Car son secret est venu dans une autre conversation.
Pourquoi j’ai sorti sa ? Franchement je ne sais pas
De toute façon je ne mérite plus son pardon.

Et cette jeune femme en début d’année,
Elle était beaucoup pour moi, je n’étais rien pour elle,
Dans sa vie, je n’avais qu’une place dans son coffre à jouet,
Et quand j’ai su sa, j’ai voulus faire croire que je jouai aussi avec elle.

Y a aussi ce jeune héros, venu sauver l’honneur de sa belle.
Il m’a gueulé dessus car je me vantai de jouer avec elle.
Mais aujourd’hui il ma bloqué sur MSN.
Et pour moi, il ne doit avoir que haine.

Malgré mes conneries, une autre jeune femme m’a troublé
Car dans sa gentillesse et sa beauté je pensais l’avoir trouvé.
Ce que chaque être humain recherche,
Cette personne qu’il pourrait aimer
Mais une fois de plus, ma gueule, j’ai encore ouvert,
Et notre amour ne passera pas l’hiver
Elle a trouvé son homme en deux semaines,
Mais malgré que cela me fasse de la peine,
Je suis fier, d’avoir été dans son cœur et d’y rester comme un frère.

Il y a aussi cette jeune fille, dont j’ai eu un début dur.
A cause de mot, de demande faite contre son égard,
Malgré ce qu’elle dit son cœur est si pure
J’espère pouvoir croisé, un jour, son regard
Pour voir s’il est si dure,
Où si c’est celui d’une jeune femme qui recherche quelque chose appart.

Mes amis… Mes ennemies… Mes sœurs…
Je vois comment vous m’aimez, ou me haïssez,
Dans vos phrases, j’y lis votre amitié, votre rancœurs,
Mais dans mon passé, présent et futur, vous y êtes tissés,
Je ne demande pas des félicitations,
Pour ces quelques vers faites en improvisation
Ni même un pardon,
Pour ceux qui se croient mes ennemis, que mes excuses soient bidons.

Tant de personnes m’ont parlées,
Tant de personnes sont dans mon cœur,
Tant de personnes m’ont détestées,
Tant de personnes m’ont pardonnées mes erreurs…
Sur Internet mes amis, je pourrais les compter à la pelle…
Alors qu’en réel je les compte sur mes deux mains,
Mes maintenant mes conneries de mourir sont mises a la poubelle.

Mais il y a encore du monde à citer,
Comme mon ange Caliméro,
J’aurai beau toujours essayer mais mon intelligence, par rapport a la sienne, sera ridiculisée,
Malgré nos peu de converse, je les adore, elle et son ego (^^’’)

Il y a, dans ces nouveaux amis, cette jeune poétesse,
Je connais peu d’elle, de ces joies, de ces peines.
Dans ces poèmes, elle joue avec les mots en toute finesse,
Des poèmes, elle en est la reine.

Tant de personnes, mais trop peu de temps,
Certain ne sont pas cité mais je les aime autant…