Poème:Amitiée À Découvrir

Oh ma Jojo, mes trois petits point préféré,
Moi qui souvent, t’avais pris pour une forcené,
Non, non je t’assure comme moi une folle allié,
Mais bien sur, c’est qui fait de toi une Jojo adoré…
Celle qui se prend parfois un peu la tête,
Têtu comme une mule, dans sa lancer, qui ne s’arrête,
Qui veut remonter le moral de tous, toi tu es prête,
Allume les projos, aller viens à deux on ira faire la fête !

Oui, allons nous amuser, tu le mérites bien,
Toujours la pour écouter les autres, tu viens,
Et tu nous redonnes le sourire de la joie,
Même quand je me prends la tête avec moi,
Tu me faire rire quand je me fais têtue,
Je suis toujours contente de ta venue,
Et tu me rends heureuse, alors arrêtes de te tromper,
De ne pas croire en l’amour et surtout en l’amitié !

Pourquoi croire en l’amitié, si elle ce fini,
Alors qu’on c’était dis à la mort à la vie,
Ce n’est pas l’objet ou le thème du poème,
Alors arrêtons de parler de mes problèmes.
Allons s’amuser encore un peu, sur cette piste de danse,
Ou allons sur la patinoire glissé et surtout tomber, la chance,
Tu me diras, on fera les fofolles, a glissé toute la nuit,
A en rire, à la fin, on tombera en silence, s’endormant sans un bruit.

Désolé, mais je ne peux te laisser croire çà,
Arrête de penser à cette chose qui te fait peur,
Même quand tu seras morte, elle existera,
Peut-être sans se parler mais toujours dans ton cœur,
Nous irons à la plage, nous nous mettrons à danser,
A sourire et à rire, et je te montrerais comment aimer,
C’est possible, il suffit juste d’y croire un peu,
Et alors, de ton cœur, sortira un vrai feu.

Laisse moi croire se que je veux, c’est ma liberté,
Je veux pas d’amour ni plus jamais de l’amitié,
Ça me fait trop mal, rien qu’a y pensé, alors arrête,
Je suis trop sensible et ça causera ma perte.
Je ne veux plus en parler, c’est fini, et ça restera comme ça,
Dans l’eau on commencera à s’éclabousser,
Et puis peut être nous prendrons des cours de plonger,
Tu verras toute cette vie sous l’eau, tu verra c’est magnifique là-bas.

Devant toi qui es trop forte pour mon esprit,
Je me rabaisse, je ne peux pas te faire penser,
Quelque chose que moi même je sais qui est fini,
Mais gardons toujours au fond le pouvoir d’aimer.
Nous irons nager dans les fonds marins des océans,
Qui nous ferons oublier tout notre vivant,
Nous, nous enfoncerons jusqu’à trouver le plus beau,
Jusqu’à trouver la fleur de l’amitié dans l’eau.