Poème:Colère
Le Poème
Il n’y a rien à faire
Elle crépite en moi
Comme un feu de bois
Faut il la contrôler
De peur de l’exposer
Faut il la libérer
De peur d’être jugée
Faut il la raisonner
De peur d’être influencée
Faut il la partager
Afin d’être conseillée
Finalement cette colère
Ne peut que vous plaire
Car objectivement
C’est un sentiment
Poète Choupette
Choupette a publié sur le site 12 écrits. Choupette est membre du site depuis l'année 2016.Lire le profil du poète ChoupetteSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Colère
tout=va=de=tra=vers 5il=ny=a=rien=à=faire 6
el=le=cré=pite=en=moi 6
com=me=un=feu=de=bois 6
faut=il=la=con=trô=ler 6
de=peur=de=lex=po=ser 6
faut=il=la=li=bé=rer 6
de=peur=dê=tre=ju=gée 6
faut=il=la=rai=son=ner 6
de=peur=dêtre=in=fluen=cée 6
faut=il=la=par=ta=ger 6
a=fin=dê=tre=con=seillée 6
fi=nale=ment=cet=te=co=lère 7
ne=peut=que=vous=plai=re 6
car=ob=jec=ti=ve=ment 6
cest=un=sen=ti=ment 5
Phonétique : Colère
tu va də tʁavεʁil ni a ʁjɛ̃ a fεʁə
εllə kʁepitə ɑ̃ mwa
kɔmə œ̃ fø də bwa
fo il la kɔ̃tʁole
də pœʁ də lεkspoze
fo il la libeʁe
də pœʁ dεtʁə ʒyʒe
fo il la ʁεzɔne
də pœʁ dεtʁə ɛ̃flɥɑ̃se
fo il la paʁtaʒe
afɛ̃ dεtʁə kɔ̃sεje
finaləmɑ̃ sεtə kɔlεʁə
nə pø kə vu plεʁə
kaʁ ɔbʒεktivəmɑ̃
sεt- œ̃ sɑ̃timɑ̃
Syllabes Phonétique : Colère
tu=va=də=tʁa=vεʁ 5il=ni=a=ʁjɛ̃=a=fεʁə 6
εl=lə=kʁe=pitə=ɑ̃=mwa 6
kɔ=mə=œ̃=fø=də=bwa 6
fo=il=la=kɔ̃=tʁo=le 6
də=pœʁ=də=lεk=spo=ze 6
fo=il=la=li=be=ʁe 6
də=pœʁ=dε=tʁə=ʒy=ʒe 6
fo=il=la=ʁε=zɔ=ne 6
də=pœʁ=dε=tʁə=ɛ̃f=lɥɑ̃se 6
fo=il=la=paʁ=ta=ʒe 6
a=fɛ̃=dεtʁə=kɔ̃=sε=je 6
fi=nalə=mɑ̃=sε=tə=kɔlεʁə 6
nə=pø=kə=vu=plε=ʁə 6
kaʁ=ɔb=ʒεk=ti=və=mɑ̃ 6
sε=tœ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃ 5
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
Difficile à contrôler ce sentiment BIEN RESSENTI B;
merci à vous messieurs,
de vos avis précieux
bibi choupette
IL FAUT APPRENDRE A RIRE DANS LA COLÈRE;
Magnifique j’adore
La colère nous fait passer par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel,
consomme beaucoup d’énergie et n’aide pas toujours...
Amitiés
J’aimerais tant savoir d’où provient la colère.
Où naît-elle ? Elle croît, envahissant mon cœur,
S’emparant de ma tête, abolissant honneur,
Discernement, un feu brulant comme l’Enfer.
Où prend-elle sa force ? Quelles sont ses racines ?
Quel démon la régit, filtrant les émotions,
En direction du pire, augmentant la pression,
Une force qui fait que ma raison décline ?
Je ne sais pas, hélas. Mais je connais sans fard
Le mal qu’elle peut faire à ceux qu’elle a pour cible,
Impuissants prisonniers d’un orage indicible.
Moi l’oppresseur je veux, même s’il est trop tard
Laisser couler pour eux les larmes du poète
Pour demander pardon et dire " je regrette ".