Prose:Pedre La Vie.

CELUI QUI PERDUT SA VIE EN SE NOYANT.

Tout se passe bien,
Pour lui, Dans sa vie,
Il resussaut,
Tout ce qu’il entreprit.

Une nuit de sortie,
La premiere et la dernière,
Fetant l’anniversaire de sa soeur,
Et tout étant peu de t et méfiant,
Sauf cette nuit la,
Ou tout le monde dansait,
On lui mis de la drogue dans son verre,
Lui avait bu son vers,
Sans rien n’était,
Car il ne savait rien.

E fin de soirée,
Il voulu rentre chez lui seul,
Marchant au long,
De ce élevé,
La Garonne,
Il tomba,
Se nous,
Par faute de force,
Qu’il n’avait plus,
À cause de ces drogues,
En cette année 2001,
Ou tout lui souriait.

SUITE DE CETTE POESIE ORECEDENTE.

Lors de cette année la 2001,
Les terroriste,
Attentat aux tours jumelles,
De New york,
Ou certaines personnes,
Desempareew se jetteretent,
Comme si elles étaient,
Des marionnettes.

Ces avions encastes dans ces tours,
Étaient comme des oiseaux,
Qui ne voyaient pas,
A travers les vitres,
Ou se sentant malade,
À en vouloir en finir,
En se jettent sur des monuments,
Pour s’y massacrer.

Ces tours fondirent,
Comme si,
Elles étaient en carton,
Comme des jouets d’enfants,
Ou comme des puzzles mal faut,
Qu’on Démolies,
Sans pitie,
Ni ame.