Slam:Le Prince Et Sa Colombe.

De sa blancheur,
La colombe éblouit le prince,
Qui en devient tout en ardeur,
Fou d’elle et de sa silhouette mince.

Étant si dur dans le passé,
Elle eût réussi à le rassuré,
Et à le tranquilisé tel un petit être,
À peine né de la douceur à paraître,
Encore au fond de son coeur qui pése,
Contre balance sur cette aise,
Loin de ce passé démoniaque,
De ce prince aux anciennes allures acardiaques.

Désormais dans le droit chemin,
Il donne l’effet aphrodisiaque,
À cette colombe qui roucoule dans un bain,
Comme si elle était parmi les astres héliaques,
Au milieu de ce ciel qui brille,
Aux couleurs des étoiles et soleil qui s’intillent.

Désormais aussi pour cette colombe si blanche,
Qui transperce le coeur de ce prince apaisé,
Elle vit en paix,
Entre amour et générosité,
Romanesque dans un superbe mélange,
De passion et de louanges.

Tant de louanges,
Qu’il l’appelle meme « mon ange »,
À sa colombe qui se mis à rougir,
Souvent comme elle n’a eût à le subir,
Par l’intimidation envers un homme,
Qu’elle pouvait éprouver par des arômes,
De sensualité pour lui plaire d’avantage,
Selon leurs physique d’un jeune age.

De leurs jeune age mate,
Apparait dessous de telles sensibilités,
Qu’ils en définissent d’avoir hâte,
De vivre sous le même toit pour roucouler,
Ensembles des jours à venir heureux,
Dans leurs petit nid soyeux,
Comme peuvent l’être les plumes une à une,
De cette colombes en haut de cette dune.