Poème:Malpertuis
A Propos du Poeme
Inspiré du livre de Jean Ray : Malpertuis
littérature fantastique
Le Poème
Très haute, se perdant dans la ruelle sombre,
Les pieds baignant dans l’eau d’un ruisseau de ténèbres,
Pignons torturés qui semblent trembler de fièvre,
Fenêtres closes sur des Erèbes sans nombre.
Suant la peur coulant le long des murs lépreux,
La bâtisse frémit à la vue des horreurs
Qu’elle abrite en son sein, quelle funeste erreur
Son maître a fait jadis, quel pari dangereux.
Sur le toit, posé tout près d’un vieux clocheton,
Un fantôme de suie, aux ailes déployées,
Crispe serres d’argent, et semble un envoyé
Des monstres de l’Olympe, horrible rejeton.
Il balance la tête et dans sa chevelure
S’allument nuées d’yeux des serpents qui s’y terrent.
Le visage est de nuit, mais un bruit de tonnerre
Sort de la gueule ou dort formidable denture.
Une autre ombre s’en vient se poser à côté.
Elle ouvre ses yeux verts aux pouvoirs terrifiants
Aux prunelles glacées qui tuent en pétrifiant
Tout être qui les voit, en froide cruauté.
Au travers des carreaux, sertis de plomb, livides,
De fugaces lueurs vont et viennent, tremblantes,
S’éteignent brusquement, et plainte déchirante
Désespérée, répond au long des salles vides
Aux rares fenestrons où pointe une clarté
Viennent se dessiner ombres cauchemardesques,
Qui semblent réunies en un congrès grotesque,
Géant bestial, femmes démons, gnome édenté.
Puis très tard dans la nuit, quand tout entre en repos,
La plus haute croisée s’éclaire et s’ouvre alors.
Un très grand vieillard au regard pailleté d’or
Commence à méditer sur son passé enclos.
Comment, lui, Roi des Dieux, et tous ses compagnons,
Se sont trouvés réduits à cette mascarade.
De leur crépuscule, il ne comprend la charade,
Eux non plus et cela les rend bien trop grognons.
La fenêtre se clôt, et tous les feux s’éteignent.
L’écharpe du brouillard estompe les contours
De la maison damnée, tandis qu’aux alentours,
La nuit sinistre étend pour un moment son règne.
Dans le parc où nul n’a posé ses brodequins
Depuis des décennies, abandonné, sauvage,
À minuit cloche sonne en un aigre ramage
Dans ruines du couvent des moines Barbusquins
Et Malpertuis frissonne à ces échos atroces,
Se tassant pour cacher passé abominable,
Et pour protéger ses secrets inavouables,
Sur le toit veille harpie aux mâchoires féroces.
Le 24 janvier 2008
Les pieds baignant dans l’eau d’un ruisseau de ténèbres,
Pignons torturés qui semblent trembler de fièvre,
Fenêtres closes sur des Erèbes sans nombre.
Suant la peur coulant le long des murs lépreux,
La bâtisse frémit à la vue des horreurs
Qu’elle abrite en son sein, quelle funeste erreur
Son maître a fait jadis, quel pari dangereux.
Sur le toit, posé tout près d’un vieux clocheton,
Un fantôme de suie, aux ailes déployées,
Crispe serres d’argent, et semble un envoyé
Des monstres de l’Olympe, horrible rejeton.
Il balance la tête et dans sa chevelure
S’allument nuées d’yeux des serpents qui s’y terrent.
Le visage est de nuit, mais un bruit de tonnerre
Sort de la gueule ou dort formidable denture.
Une autre ombre s’en vient se poser à côté.
Elle ouvre ses yeux verts aux pouvoirs terrifiants
Aux prunelles glacées qui tuent en pétrifiant
Tout être qui les voit, en froide cruauté.
Au travers des carreaux, sertis de plomb, livides,
De fugaces lueurs vont et viennent, tremblantes,
S’éteignent brusquement, et plainte déchirante
Désespérée, répond au long des salles vides
Aux rares fenestrons où pointe une clarté
Viennent se dessiner ombres cauchemardesques,
Qui semblent réunies en un congrès grotesque,
Géant bestial, femmes démons, gnome édenté.
Puis très tard dans la nuit, quand tout entre en repos,
La plus haute croisée s’éclaire et s’ouvre alors.
Un très grand vieillard au regard pailleté d’or
Commence à méditer sur son passé enclos.
Comment, lui, Roi des Dieux, et tous ses compagnons,
Se sont trouvés réduits à cette mascarade.
De leur crépuscule, il ne comprend la charade,
Eux non plus et cela les rend bien trop grognons.
La fenêtre se clôt, et tous les feux s’éteignent.
L’écharpe du brouillard estompe les contours
De la maison damnée, tandis qu’aux alentours,
La nuit sinistre étend pour un moment son règne.
Dans le parc où nul n’a posé ses brodequins
Depuis des décennies, abandonné, sauvage,
À minuit cloche sonne en un aigre ramage
Dans ruines du couvent des moines Barbusquins
Et Malpertuis frissonne à ces échos atroces,
Se tassant pour cacher passé abominable,
Et pour protéger ses secrets inavouables,
Sur le toit veille harpie aux mâchoires féroces.
Le 24 janvier 2008
Poète Daniel46
Daniel46 a publié sur le site 47 écrits. Daniel46 est membre du site depuis l'année 2021.Lire le profil du poète Daniel46Syllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Malpertuis
très=hau=te=se=per=dant=dans=la=ruel=le=som=bre 12les=pieds=bai=gnant=dans=leau=dun=ruis=seau=de=té=nèbres 12
pi=gnons=tor=tu=rés=qui=sem=blent=trem=bler=de=fièvre 12
fe=nê=tres=clo=ses=sur=des=e=rè=bes=sans=nombre 12
suant=la=peur=cou=lant=le=long=des=murs=lé=preux 11
la=bâ=tis=se=fré=mit=à=la=vue=des=hor=reurs 12
quel=lea=brite=en=son=sein=quel=le=funes=te=er=reur 12
son=maître=a=fait=ja=dis=quel=pa=ri=dan=ge=reux 12
sur=le=toit=po=sé=tout=près=dun=vieux=clo=che=ton 12
un=fan=tô=me=de=suie=aux=ai=les=dé=ployées 11
cris=pe=ser=res=dar=gent=et=sem=ble=un=en=voyé 12
des=mons=tres=de=lo=lym=pe=hor=rible=re=je=ton 12
il=ba=lan=ce=la=tête=et=dans=sa=che=ve=lure 12
sal=lu=ment=nuées=dy=eux=des=ser=pents=qui=sy=terrent 12
le=vi=sage=est=de=nuit=mais=un=bruit=de=ton=nerre 12
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uneau=tre=om=bre=sen=vient=se=po=ser=à=cô=té 12
el=le=ouvre=ses=yeux=verts=aux=pou=voirs=ter=ri=fiants 12
aux=pru=nel=les=gla=cées=qui=tuent=en=pé=tri=fiant 12
tout=ê=tre=qui=les=voit=en=froi=de=cruau=té 11
au=tra=vers=des=car=reaux=ser=tis=de=plomb=li=vides 12
de=fu=ga=ces=lueurs=vont=et=vien=nent=trem=blan=tes 12
sé=tei=gnent=brus=que=ment=et=plain=te=dé=chi=rante 12
déses=pé=rée=ré=pond=au=long=des=sal=les=vi=des 12
aux=rares=fe=nes=trons=où=poin=te=u=ne=clar=té 12
vien=nent=se=des=si=ner=ombres=cau=che=mar=des=ques 12
qui=sem=blent=ré=u=nies=en=un=con=grès=grotes=que 12
gé=ant=bes=tial=fem=mes=dé=mons=gnome=é=den=té 12
puis=très=tard=dans=la=nuit=quand=tout=entre=en=re=pos 12
la=plus=haute=croi=sée=sé=clai=reet=sou=vre=a=lors 12
un=très=grand=vieil=lard=au=re=gard=pail=le=té=dor 12
commen=ce=à=mé=di=ter=sur=son=pas=sé=en=clos 12
com=ment=lui=roi=des=dieux=et=tous=ses=com=pa=gnons 12
se=sont=trou=vés=ré=duits=à=cet=te=mas=ca=rade 12
de=leur=cré=pus=cule=il=ne=com=prend=la=cha=rade 12
eux=non=plus=et=ce=la=les=rend=bien=trop=gro=gnons 12
la=fe=nê=tre=se=clôt=et=tous=les=feux=sé=teignent 12
lé=char=pe=du=brouil=lard=es=tom=pe=les=con=tours 12
de=la=mai=son=dam=née=tan=dis=quaux=a=len=tours 12
la=nuit=si=nistre=é=tend=pour=un=mo=ment=son=règne 12
dans=le=parc=où=nul=na=po=sé=ses=bro=de=quins 12
de=puis=des=dé=cen=nies=a=ban=don=né=sau=vage 12
a=mi=nuit=clo=che=sonne=en=un=ai=gre=ra=mage 12
dans=rui=nes=du=cou=vent=des=moi=nes=bar=bus=quins 12
et=mal=per=tuis=fris=sonne=à=ces=é=chos=a=troces 12
se=tas=sant=pour=ca=cher=pas=sé=a=bo=mi=nable 12
et=pour=pro=té=ger=ses=se=crets=i=na=vou=ables 12
sur=le=toit=veille=har=pie=aux=mâ=choi=res=fé=roces 12
le=vingt=qua=tre=jan=vi=er=deux=mil=le=hu=it 12
Phonétique : Malpertuis
tʁε-otə, sə pεʁdɑ̃ dɑ̃ la ʁyεllə sɔ̃bʁə,lε pje bεɲɑ̃ dɑ̃ lo dœ̃ ʁɥiso də tenεbʁə,
piɲɔ̃ tɔʁtyʁe ki sɑ̃ble tʁɑ̃ble də fjεvʁə,
fənεtʁə- klozə syʁ dεz- əʁεbə sɑ̃ nɔ̃bʁə.
sɥɑ̃ la pœʁ kulɑ̃ lə lɔ̃ dε myʁ lepʁø,
la batisə fʁemi a la vɥ dεz- ɔʁœʁ
kεllə abʁitə ɑ̃ sɔ̃ sɛ̃, kεllə fynεstə eʁœʁ
sɔ̃ mεtʁə a fε ʒadi, kεl paʁi dɑ̃ʒəʁø.
syʁ lə twa, poze tu pʁε dœ̃ vjø kloʃətɔ̃,
œ̃ fɑ̃tomə də sɥi, oz- εlə deplwaje,
kʁispə seʁə- daʁʒe, e sɑ̃blə œ̃n- ɑ̃vwaje
dε mɔ̃stʁə- də lɔlɛ̃pə, ɔʁiblə ʁəʒətɔ̃.
il balɑ̃sə la tεtə e dɑ̃ sa ʃəvəlyʁə
salymɑ̃ nye diø dε sεʁpɑ̃ ki si teʁe.
lə vizaʒə ε də nɥi, mεz- œ̃ bʁɥi də tɔneʁə
sɔʁ də la ɡələ u dɔʁ fɔʁmidablə dɑ̃tyʁə.
ynə otʁə ɔ̃bʁə sɑ̃ vjɛ̃ sə poze a kote.
εllə uvʁə sεz- iø vεʁz- o puvwaʁ teʁifjɑ̃
o pʁynεllə ɡlase ki tɥe ɑ̃ petʁifjɑ̃
tut- εtʁə ki lε vwa, ɑ̃ fʁwadə kʁɥote.
o tʁavεʁ dε kaʁo, sεʁti də plɔ̃, lividə,
də fyɡasə lɥœʁ vɔ̃ e vjεne, tʁɑ̃blɑ̃tə,
setεɲe bʁyskəmɑ̃, e plɛ̃tə deʃiʁɑ̃tə
dezεspeʁe, ʁepɔ̃t- o lɔ̃ dε salə vidə
o ʁaʁə fənεstʁɔ̃z- u pwɛ̃tə ynə klaʁte
vjεne sə desine ɔ̃bʁə- koʃəmaʁdεsk,
ki sɑ̃ble ʁeyniz- ɑ̃n- œ̃ kɔ̃ɡʁε ɡʁɔtεskə,
ʒeɑ̃ bεstjal, famə demɔ̃, ɲɔmə edɑ̃te.
pɥi tʁε taʁ dɑ̃ la nɥi, kɑ̃ tut- ɑ̃tʁə ɑ̃ ʁəpo,
la plys-otə kʁwaze seklεʁə e suvʁə alɔʁ.
œ̃ tʁε ɡʁɑ̃ vjεjaʁ o ʁəɡaʁ pajte dɔʁ
kɔmɑ̃sə a medite syʁ sɔ̃ pase ɑ̃klo.
kɔmɑ̃, lɥi, ʁwa dε djø, e tus sε kɔ̃paɲɔ̃,
sə sɔ̃ tʁuve ʁedɥiz- a sεtə maskaʁadə.
də lœʁ kʁepyskylə, il nə kɔ̃pʁɑ̃ la ʃaʁadə,
ø nɔ̃ plysz- e səla lε ʁɑ̃ bjɛ̃ tʁo ɡʁɔɲɔ̃.
la fənεtʁə sə klo, e tus lε fø setεɲe.
leʃaʁpə dy bʁujaʁ εstɔ̃pə lε kɔ̃tuʁ
də la mεzɔ̃ damne, tɑ̃di koz- alɑ̃tuʁ,
la nɥi sinistʁə etɑ̃ puʁ œ̃ mɔmɑ̃ sɔ̃ ʁεɲə.
dɑ̃ lə paʁk u nyl na poze sε bʁɔdəkɛ̃
dəpɥi dε desεni, abɑ̃dɔne, sovaʒə,
a minɥi kloʃə sɔnə ɑ̃n- œ̃n- εɡʁə ʁamaʒə
dɑ̃ ʁɥinə dy kuvɑ̃ dε mwanə baʁbyskɛ̃
e malpεʁtɥi fʁisɔnə a sεz- eʃoz- atʁɔsə,
sə tasɑ̃ puʁ kaʃe pase abɔminablə,
e puʁ pʁɔteʒe sε sεkʁεz- inavuablə,
syʁ lə twa vεjə-aʁpi o maʃwaʁə feʁɔsə.
lə vɛ̃t- katʁə ʒɑ̃vje dø milə ɥit
Syllabes Phonétique : Malpertuis
tʁε-o=tə=sə=pεʁ=dɑ̃=dɑ̃=la=ʁy=εl=lə=sɔ̃bʁə 12lε=pje=bε=ɲɑ̃=dɑ̃=lo=dœ̃=ʁɥi=so=də=te=nεbʁə 12
pi=ɲɔ̃=tɔʁ=ty=ʁe=ki=sɑ̃=ble=tʁɑ̃=ble=də=fjεvʁə 12
fə=nε=tʁə=klo=zə=syʁ=dε=zə=ʁε=bə=sɑ̃=nɔ̃bʁə 12
sɥɑ̃=la=pœ=ʁə=ku=lɑ̃=lə=lɔ̃=dε=myʁ=le=pʁø 12
la=ba=ti=sə=fʁe=mi=a=la=vɥ=dε=zɔ=ʁœʁ 12
kεlləa=bʁitə=ɑ̃=sɔ̃=sɛ̃=kεl=lə=fy=nεs=tə=e=ʁœʁ 12
sɔ̃=mεtʁə=a=fε=ʒa=di=kεl=pa=ʁi=dɑ̃=ʒə=ʁø 12
syʁ=lə=twa=po=ze=tu=pʁε=dœ̃=vjø=klo=ʃə=tɔ̃ 12
œ̃=fɑ̃=to=mə=də=sɥi=o=zε=lə=de=plwa=je 12
kʁispə=se=ʁə=daʁ=ʒe=e=sɑ̃=blə=œ̃=nɑ̃=vwa=je 12
dε=mɔ̃s=tʁə=də=lɔ=lɛ̃pə=ɔ=ʁi=blə=ʁə=ʒə=tɔ̃ 12
il=ba=lɑ̃=sə=la=tεtə=e=dɑ̃=sa=ʃə=və=lyʁə 12
sa=ly=mɑ̃=ny=e=di=ø=dε=sεʁ=pɑ̃=ki=si=te=ʁe 14
lə=vi=zaʒə=ε=də=nɥi=mε=zœ̃=bʁɥi=də=tɔ=neʁə 12
sɔʁdə=la=ɡə=lə=u=dɔʁ=fɔʁ=mi=da=blə=dɑ̃=tyʁə 12
ynəo=tʁə=ɔ̃=bʁə=sɑ̃=vjɛ̃=sə=po=ze=a=ko=te 12
εllə=uvʁə=sε=zi=ø=vεʁ=zo=pu=vwaʁ=te=ʁi=fjɑ̃ 12
o=pʁy=nεl=lə=ɡla=se=ki=tɥe=ɑ̃=pe=tʁi=fjɑ̃ 12
tu=tε=tʁə=ki=lε=vwa=ɑ̃=fʁwa=də=kʁɥo=te 11
o=tʁa=vεʁ=dε=ka=ʁo=sεʁ=ti=də=plɔ̃=li=vidə 12
də=fy=ɡa=sə=lɥœʁ=vɔ̃=e=vjε=ne=tʁɑ̃=blɑ̃=tə 12
se=tε=ɲe=bʁys=kə=mɑ̃=e=plɛ̃=tə=de=ʃi=ʁɑ̃tə 12
de=zεs=pe=ʁe=ʁe=pɔ̃=to=lɔ̃=dε=sa=lə=vidə 12
o=ʁaʁə=fə=nεs=tʁɔ̃=zu=pwɛ̃=tə=y=nə=klaʁ=te 12
vjε=ne=sə=de=si=ne=ɔ̃=bʁə=ko=ʃə=maʁ=dεsk 12
ki=sɑ̃=ble=ʁe=y=ni=zɑ̃=nœ̃=kɔ̃=ɡʁε=ɡʁɔ=tεskə 12
ʒe=ɑ̃=bεs=tjal=famə=de=mɔ̃=ɲɔ=mə=e=dɑ̃=te 12
pɥi=tʁε=taʁ=dɑ̃=la=nɥi=kɑ̃=tu=tɑ̃tʁə=ɑ̃=ʁə=po 12
la=plys-otə=kʁwa=ze=se=klε=ʁəe=su=vʁə=a=lɔʁ 12
œ̃=tʁε=ɡʁɑ̃=vj=ε=jaʁ=o=ʁə=ɡaʁ=paj=te=dɔʁ 12
kɔ=mɑ̃sə=a=me=di=te=syʁ=sɔ̃=pa=se=ɑ̃=klo 12
kɔ=mɑ̃=lɥi=ʁwa=dε=djø=e=tus=sε=kɔ̃=pa=ɲɔ̃ 12
sə=sɔ̃=tʁu=ve=ʁed=ɥi=za=sε=tə=mas=ka=ʁadə 12
də=lœʁ=kʁe=pys=kylə=il=nə=kɔ̃=pʁɑ̃=la=ʃa=ʁadə 12
ø=nɔ̃=plys=ze=sə=la=lε=ʁɑ̃=bjɛ̃=tʁo=ɡʁɔ=ɲɔ̃ 12
lafə=nε=tʁə=sə=klo=e=tus=lε=fø=se=tε=ɲe 12
le=ʃaʁ=pə=dy=bʁu=jaʁ=εs=tɔ̃=pə=lε=kɔ̃=tuʁ 12
də=la=mε=zɔ̃=dam=ne=tɑ̃=di=ko=za=lɑ̃=tuʁ 12
la=nɥi=si=nistʁə=e=tɑ̃=puʁ=œ̃=mɔ=mɑ̃=sɔ̃=ʁεɲə 12
dɑ̃=lə=paʁk=u=nyl=na=po=ze=sε=bʁɔ=də=kɛ̃ 12
dəp=ɥi=dε=de=sε=ni=a=bɑ̃=dɔ=ne=so=vaʒə 12
a=min=ɥi=klo=ʃə=sɔnə=ɑ̃=nœ̃=nε=ɡʁə=ʁa=maʒə 12
dɑ̃=ʁɥi=nə=dy=ku=vɑ̃=dε=mwa=nə=baʁ=bys=kɛ̃ 12
e=mal=pεʁ=tɥi=fʁi=sɔnə=a=sε=ze=ʃo=za=tʁɔsə 12
sə=ta=sɑ̃=puʁ=ka=ʃe=pa=se=a=bɔ=mi=nablə 12
e=puʁ=pʁɔ=te=ʒe=sε=sε=kʁε=zi=na=vu=ablə 12
syʁ=lə=twa=vε=jə-aʁ=pi=o=ma=ʃwaʁə=fe=ʁɔsə 12
lə=vɛ̃t=ka=tʁə=ʒɑ̃=vj=e=dø=mi=lə=ɥ=it 12
Historique des Modifications
17/06/2021 09:09
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
18/06/2021 12:23Blanche
très beau récit qui est plaisir à lire ! Blanche
19/06/2021 18:31Poldereaux
Quelle magnifique idée d’exprimer en un poème la trame d’un roman fantastique . Je n’ai pas lu le roman de mon compatriote , mais je suis intimement convaincu , lisant votre poème , qu’il surpasse cette atmosphère délétère étouffante , par l’intensité des mots , du vocabulaire ! Sans hésiter....... un .... 
.
Poème Fantastique
Du 17/06/2021 08:38
L'écrit contient 388 mots qui sont répartis dans 13 strophes.