Poème:C’été Moi… Stupide Monde

Elle courait vitte fuyant la peur,
Trébuchant sur les étoiles, accrochée a vos erreurs,
Elle se cachait derriere la nuit, retenait ses larmes san fr de bruit,
Et chaque soir elle partait, en ettoufant ses cris…

Elle entendait son souffle brisait votre silence,
Vos pas qui la suivait ont tués ceux des anges,
Et les murs qui regardaient on tout laissé ecrit,
On voit encore les chaines d’un passé évanoui…

Sa douleur était belle au coin de vos sourir,
Pendant quelle revait du ciel a chaqun de vos rire,
C’était sa prison, la clé était perdu,
Les yeux fermés, vos ames étaient déja pendues…

Un soir elle est parti plus loin que ses barrieres,
Elle a franchit les dangers qui pourissaient la terre,
Et on revoit encor vos yeux figés vers le temps,
Votre silence est devenu mort entouré de tout son sang…

Et c’est un soir comme sa que vous l’avez tué,
Emprisonnée par vos lois, elle était possédait,
Voila quelle vous rend tout, esprit qui vous suit,
Un cauchemard qui commence et elle qui sourit…

Sa tombe est belle, 15 roses arrivent sous la pluie,
Mais écoutez ces sanglots… oui, c’est son age aujourd’hui,
Levez la tete, la réalité mon tura,
C’est ma mere qui pleure et cette fille c’était moi…

Fin.
Lejosne alizée