Poème:Phoenix À Deux Visages

C’était pendant que je traversais une violente tempête. . Une tempête de neige… Une tempête de feu… tantôt haut. . Tantôt basse… . Tantôt la mer était calme… tantôt elle était violente
Un chien à l’allure magnifique vient me réconforter… Il n’avait pas de maître, il avait perdu son maître
Était-ce parce que le chien m’aimait ou était parce qu’il était esseulée ?
La fourrure de ce chien était extrêmement agréable au toucher
Tant que je me demandais si ce chien resterait toujours avec moi
Avec un pelage si doux, qui ne voudrait pas l’adopter ?

Au début, je ne voulais pas m’attacher à ce chien, mais il restait collé à moi
Je le repoussais, mais il restait collé à moi

Je poursuivais un autre animal, un phœnix à deux visages, l’un faux, l’un vrai
Je voulais ce phœnix, je voulais être au côtés de ce phœnix, même s’il était faux, même si son côté vrai me terrifiait
J’attendais si longtemps de rencontrer ce fameux phœnix que je ne me souciais s’il était faux ou pas
Tant que le phœnix est là, tout va bien pour moi

Le phœnix m’a abandonné, tout va mal, tout va pour le mal
Seul la présence du phœnix pourrait me réconforter, mais il n’est pas là, le phœnix est absent

Esseulée, le chien m’a de nouveau tendu la patte… Je n’ai pas refusé
J’ai aidé le chien à se nourrir
J’ai aidé le chien à nouveau courir
Le chien m’a toujours promis de rester là
Le chien m’a fait une promesse cette fois

Même si la présence du chien n’est pas suffisante pour combler le manque produit par le phœnix, au moins il m’empêche de me faire emporter par cette tempête
Mais…
Mais… .
Mais…
Mais… .
Comme je l’avais prédit, le chien commence à vouloir partir
Le chien commence à trouver d’autres congénères
Le chien commence à trouver d’autres maîtres
Qui est tout à fait logique vue la douceur de sa fourrure
Je ne m’intéresse pas à sa fourrure, ce que je veux c’est ce chien

Mais sans ce chien, il ne reste que… . la… tempête…