Poème:Petits Poèmes…

Au silence, de tes regards
Un premier pas se redoute
Et, s’attend, il se désire…
Amour à dire, un plaisir
Qui n’est que le triste…
Rêve, mon cauchemard



Dans le petit livre de mon existence,
Il y a ces fantômes du passé…
Qui ne sont, en des regards attristés
Que, des larmes évitées, des vides
De mon enfant perdu en conscience



Je n’ai jamais réussi…
A écrire les mots qu’il faut
Pour éteindre les défauts
De mon âme, qui regrette cette Vie

Je me laisse dans l’oubli
Des regards, qui rendent les maux
De mon cœur aussi beaux
Que les lettres d’un esprit…

Et, à jamais, je reste ainsi
Pour lire les écrits dévots
Des éphémères faux…
D’une histoire à la Vie

Je ne peux vivre ici
Et, là-bas, en des autres mots
Qui ne soient pas de trop…
Pour panser les plaies d’un petit



Bavardage de la pensée,
Qui court dans tous les sens
Prenant la voix perturbée
De mon seul enfant…

Et, jouant du silence regretté
Pour donner un cœur du temps
A la pitié des nuits hantées,
Par ces rêves mourants…



Devant la petite morte,
Une rupture est scellée…
Il n’y a plus de doute,
Les cœurs ne sont à regretter

Déjà, s’oublient les pleurs,
Alors même que sonne le destin
Emportant les doux matins,
De l’être du cœur…

Bientôt, les cris enfouis,
Briseront les glaces familiales
Et laisseront courir la querelle
Je n’en suis…

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Ramènes moi, dans le temps
Qui reste en l’ombre du silence

Loin des pas fragiles de mon cœur,
Qui s’inspire à l’encre des pleurs…

De ma Vie, qui s’animait d’innocence
Laisse moi retrouver mon enfant…

Ecoutes moi, les soirs de sang,
Dans l’écrit d’une autre élégante

Qui ranime les flammes du triste,
De cette larme des peurs, un doute

Entendu, à l’étoile pensante…
Qui se regarde partir au présent