Poème:Rien Que Pour Toi

Si tu étais l’eau
Je me désaltérerai
Que de cette eau là
Si tu etais la nuit
J’empecherai le soleil de se levé
Pour rester avec toi
Si tu etais une riviere
Je m’y baignerai pour
Sentir tes carresses sur moi
Si tu etais l’air
Je ne respirerai que par toi
Si tu etais un arc en ciel
J’irai te trouver et
Je te serrerai dans mes bras
Si tu etais le soleil
Je t’empecherai de te coucher
Pour te garder près de moi
Mais voilà t’es rien de tout ça
Mais sa m’empechera pas de t’aimer
Sculte moi faconne moi de tes doigts
Joue avec tous mes sens met les en emoi
Comme un artiste en pleine inspiration creatrice
Déclenche moi des tempetes devastatrices
Sentir ton index qui lentement m’effleure
Pour attiser les cendres de mon feu interieur
Fait rougir ma peau sous les longues flammes
De tes yeux ou langui mon image de femme
Sculte moi faconne moi du bout des cils
Que je frissonne sous leur battement gracile
Entendre ta respiration lente qui s’active
Quand la mienne devient si lascive
Sentir ton pouce redessiner ma bouche boudeuse
Entrouvrir les levres sous tes caresses sinueuses
Je t’implore d’y introduire ta langue impertinente
Pour une joute gourmande presage d’une suite exitante
Sculte moi faconne moi de ton odeur epicé
Je desir avidement te lecher, te gouter
Melangeons ensemble nos parfums charnels
Dans un corps a corps passionnel sentir ta paume
Chaude recouvrir mes rondeurs
Qui se tende sous l’exquise chaleur
De tes pressions insolentes qui se promene
De mes epaules denudées a mes hanches pleine
Sculte moi faconne moi de tes levres sensuelles
Sous l’humidité de ta bouche je me rebelle
La pointe de mes seins ne peux retenir l’envie de se dresser
Sous la moiteur de ta langue experimentée
Sentir ton majeur me parcourir partout
Outrageusement qui descend et remonte sur mes cuisse
Negligemment faire naitre en moi se besoin indecent
De les ouvrir pour pouvoir enfin t’y acceullir
Sculte moi faconne moi de ton regard magnetique
Je veux etre l’esclave de ton emprise erotique
Transforme moi au gré de tes fantaisies
Pour que sous ton corps

Je cris ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! …